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En chaque guerrier, il y a un désir de mort...

Quand on est devenu le numéro 1, et qu'on domine tout le monde, une lassitude s'installe, ainsi qu'une certaine arrogance. Plus de défi, plus de challenge, la vie perd son sens. Perdre, quand on est le meilleur, c'est la plus belle chose qui soit, car ça veut dire qu'on peut encore se s'améliorer, dépasser ses limites.
Cette défaite sera pour Chayan, j'en suis sûr, le point de départ d'une nouvelle vie. De nouveau conscient qu'il y a des gens plus forts que lui à travers le monde, il va reprendre sa quête pour réellement devenir le numéro 1. Une quête sans fin, mais dans laquelle il n'est plus seul. Après tout, son commando, c'est aussi sa famille.

said:Perdre, quand on est le meilleur, c'est la plus belle chose qui soit

Ok, va dire ça a Mayweather .

Pas sur qu'il soit d'accord^^.

Bon je savais que la défaire allait le faire évoluer vu le personnage c'était un peu obligatoire. Par contre, j'ai pas vu venir le fait qu'il le prenne aussi bien Oo Pour il pleure de joie dans le sens qu'il se sent décharger d'un lourd fardeau qu'il s'était auto imposé.
Maintenant qu'il a perdu il n'a plus à avoir peur de la défaite qui agissait davantage comme un poison pour lui qu'un truc qui le poussait à être meilleur. Il n'a aussi plus a avoir peur de trouver plus fort que lui maintenant qu'il a concrétement trouvé plus fort que lui.
Ensuite, que le commando reste entier moins sûr, c'est aussi possible qu'il reste ensemble qu'il se sépare. Enfin, pour moi.

Je ne m'attendais pas du tout a ça.
Il est content d'avoir perdu son combat et échouer sa mission.

il manque des pages ou j'suis fou ?

Ah putain, c'est pas le même perso...! J'ai pas du tout compris la transition et j'ai surtout pas reconnu le personnage, my bad, mais ce chapitre est un peu trop long si tu veux mon avis ! Tu aurais gagné à resserrer ton cadrage pour dynamiser l'action et réduire le nombre de page

L'ennuie c'est qu'en réalité tu obtiens l'effet inverse. Plus tu va mettre de grosse case et moins on va les remarquer tellement elle seront courante ^^' Et comme à dit Nico tu as au final plus ralentit l'action qu'autre chose. Pour donner un exemple si tu vois une scène gore, la première fois tu sera pas bien et sans doute choqué, mais si ça devient la routine tu ne va même plus y faire attention. (Oui le parallèle est extrême mais c'est pour donner une image de ce que ça fait d'abuser d'élèment).

Bon je vais pas trop entrer dans le détail parce que je veux pas non plus en rajouter des couches et je te sens un peu fermé à la critique. Je vais mettre le minimum et synthétiser.

Je ne sais pas d'où tu tiens que si par exemple tu fais 5 pages sur un combat, puis 5 pages sur un autre et ainsi de suite ça signifie que le même temps s'est écoulé, sache que c'est faux. Si tu penses que mettre un dessin par page pour que le lecteur tourne les pages plus vite et que cela accélère le rythme c'est faux.

Au niveau de la narration je trouve que ça ne marche pas mais alors pas du tout. C'est dommage parce que les persos et l'histoire sont plutôt cools. Par exemple je trouve ça super que Chayan pleure, sourit face à la défaite. Mais c'est tellement mal amené que ça fait flop.

Vraiment désolé de ce post pas sympa. Une fois cet arc fini, bosse ta mise en page avant d'attaquer le suivant.

Tout dépend aussi de l'effet qu'on veut donner.
Pour l'exemple du gore, tout dépend de l'intention. Si on veut que ça reste choquant dès que ça apparaît il faut le faire intervenir rarement. Si au contraire on veut en donner une idée de banalité dans un univers violent, ça peut faire sens d'en user souvent.

Pour ce qui est des combats à coup de grandes cases, ça s'est déjà vu dans le milieu du comics américain. Dans le numéro 4 de Savage Dragon, par exemple, Erik Larsen a dessiné un combat particulièrement important (un chapitre entier) uniquement avec des splash pages et ça fonctionnait très bien (au point que je n'ai pas percuté immédiatement que ça n'était que des splash pages). Après, la quantité de pages d'affilée comme ça, le choix du plan, le rythme de l'action, la quantité de texte et le format papier ou web et le rythme de publication jouent aussi sur la fluidité de la narration.

Dans le cas présent, je pense que ça passe mieux si on lit tout le chapitre d'un coup plutôt qu'au compte goutte (mais le fonctionnement du web saturé nous oblige à employer une politique de publication au compte goutte si on veut apparaître dans les mises à jour souvent). C'est pour ça que de mon côté je reste une amatrice de papier.

Le pauvre… Il a pété une durite…