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il fait froid là où j'ai atterit, la peuplade est étrange, beaucoup de botaniste, d'herboriste (on m'as proposé souvent une plante, ou ses produits dérivé) et ce qui semble être des penseurs philosophe (ils restent collé en groupe aux habitations).
Certains semblent être des guerriers (il y as une guerre des races entre eux, pourtant ils se ressemblent).
Ces guerriers sont habiles, rapides, mais se déplacent pour la plupart sans montures. Certains d'entre eux (des chefs je pense) utilisent des monture mécaniques, sur lequel un autre guerrier peux monter, mais ils ne semblent pas maitriser grandement ladite monture, car elle se cabre souvent.
Apparemment, ces villageois se battent contre des forces impériales, dont l'uniforme est d'un bleu foncé, orné de l'écusson, rayé de 3 couleurs.
Des nobles viennent pourtant assez souvent de lointaines contrées, pour commercer avec ces villageois. Encore plus étrange, je ne perçoit aucun champs, aucune machinerie, qui puisse permettre l'agriculture qui les fait vivre.
Ils m'ont donné un nom, quoi que même pour les nobles, ils utilisent ce même-mot "wesh", je me dit qu'en fait c'est comme cela qu'on nomme les voyageurs par ici. J'apprends un peu de leurs langue, à force de les entendre (surtout au contact des herboristes), c'est facile. Je sais déjà dire "que puis-je faire pour vous ?" :d) tu ve kèk choz ? (cependant il semblerais que cette phrase peux aussi signifier "viens dans mon échoppe").
Cher journal, je te laisse pour aujourd'hui, les commerçants, et les guerriers, ont parlé d'aller "niké samèrhe" à une "bicrave" et qu'ensuite on festoyrons en "bouillave une lopesa dans la veca" et qu'on joueras àun jeu où l'on feras tourner de la "bédave".
je ne sais point encore ce que c'est que tout cela, mais je vais le découvrir bientôt. Je reviendrais bientôt sur la Tau'ri.
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