Vous n'êtes pas identifié(e).
Wah, ça en fait, de la lecture pour la réouverture !
J'espère qu'on aura vite un nouveau thème de la part de Freaka ^^
En attendant :
Elsa - J'aime beaucoup ce que tu as fait du thème ! Tu le gardes en thème principal et récurent de l'histoire, mais tu arrives à partir dans une histoire de vols, de mystères, de tromperies... Bravo ^^
Par contre, je vois mal ton "résumé complet" adapté en bd..
J'imagine plus facilement l'histoire de Moka qui enquête sur le vol, et découvre ce "résumé" petit à petit... Mais je me trompe peut-être ^^ Toi, tu imaginerais l'histoire débuter à quel moment ? Avec qui en personnage principal ?
(Je peux pas m’empêcher d'imaginer tes persos avec les visages de ceux de 2019 X,D)
Lufo - C'est.... O____O ....... Glauque !!! J'adore XD
J'ai lu le résumé avant de voir écrit "drame", donc, je ne m’attendais pas du tout à cette chute XD
J'aurais du mal à critiquer ou à vous donner des conseils, j'imagine que zorga sera plus utile que moi sur ce coup-là ^^
Lufo: Bah, je pense que vu qu'il y a eu la fermeture des topics, on va tous être un peu indulgent si les projets sont posté un petit peu en retard.
Suicidée, carrément? OO' Ce n'est pas plus simple de démissionner et de chercher un boulot moins contrariant...? Et le type n'aurait pas du avoir un changement de comportement après un évènement pareil, étant donné qu'il est plutôt bonne pâte en dehors du thé?
Sinon, j'ai beaucoup aimé! ^^ Je m'attendais à lire une romance naïve, alors j'ai été surprise (positivement) par la fin! ♫ Et ton histoire a également l'avantage d'être courte ce qui n'est pas rien. (Je trouve que c'est plus dur d'écrire une bonne histoire courte qu'une bonne histoire longue)
Wekake: Merci! ♫
En fait, je ne l'ai pas vraiment envisagé sous forme de scénario de bande-dessinée (je sais, c'est le thème du topic, mais hé!) mais sous forme de conte, par ce que je venais d'en lire quelques uns et c'est une forme que j'utilises rarement donc... J'avais envie d'esssayer.
Sinon, dans ma tête, l'histoire commencerait avec Moka, plus âgé, qui proposerait une tasse de thé ou de café au lecteur puis raconterait l'histoire comme un conte. (Je l'avais écris en entier, mais la deuxième partie me plaisant moins et l'ensemble devenant vraiment long, je n'ai posté que la première) Mais encore une fois, c'est un scénario plus adapté à une nouvelle qu'à une bande-dessinée. ^^'
Ooh, tu peux les imaginer avec les personnages de 2019 mais... Contrairement au héro de ce manga, Moka est loin d'être aussi gentil que l'on peut le croire... XD
On peut imaginer diverses raisons pour laquelle la précédente servante s'est suicidée. Peut-être qu'elle était comme Cloe, extrêmement serviable, et que les critiques étaient donc comme des coups de poignard qui ont fini par l'achever. Ou peut-être ne pouvait-elle pas quitter son travail à cause de problèmes d'argents. J'ai préféré laisser le bénéfice au lecteur d'imaginer.
Pour ce qui est du comportement de Theodore, il ne remarque tout simplement pas que c'est de sa faute. Il pense bien faire en encourageant, et personne n'ose lui dire les quatre vérités, et il n'a pas fait le rapprochement avec le suicide (qui aurait pu être pour n'importe quelle cause, comme les problèmes d'argents justement). Au final, Theodore a tendance à ne pas être sûr terre, dû à son regard généralement tourné vers le passé. J'ai d'ailleurs oublié de préciser ce détail.
En tout cas, merci de vos critiques, cela m'encourage beaucoup. Il me semblait d'ailleurs que c'est plutôt les histoires longues qui sont difficiles à faire, car il faut généralement un scénario ou au moins un univers suffisamment complexe et cohérent pour ne pas lasser le lecteur à la longue (véritable tare des longs manga, Naruto et Bleach sont de bons exemples). Pour le glauque, disons que... j'ai cette manie de faire des fins... ni tout blanc, ni tout noir. Si vous allez voir mes histoires sur deviantart, vous verrez que la plupart des histoires courtes que j'ai écrites ont des fins plus complexes que le simple "tout est bien qui finit bien" ou "tout est bien qui finit mal". Là par exemple, on peut se demander si c'est une bonne fin en se disant que Theodore a pu retrouver son thé "divin", ou au contraire une mauvaise fin car Theodore est mort et Cloe sera certainement arrêtée pour meurtre. Ou même les deux. A vous d'en juger.
Au passage Elsa, j'ai lu ton scénario et je l'ai trouvé très intéressant. J'aime beaucoup ce genre d'histoire me rappelant ces bon vieux Fantomasque et autres Détective Conan (avec Kaito Kid).
Edit : histoire de vous dégoûter :troll: Après avoir découvert ce topic, et m'être dit que je voulais participer, il m'a fallu à peine 1h ou 2 pour imaginer ce scénario.
Dernière modification par lufo (01 Jul, 2015 11:49:13)
Lufo: Que les critiques soient la goutte qui aie fait déborder le vase, ça, je peux l'envisager, mais qu'elles aient suffit seule à la pousser au suicide, ce n'est (pour moi) pas crédible.
Oui, c'est vrai qu'il a très bien pu penser n'y être pour rien. ^^
Moi, je trouve justement que c'est plus dur de susciter de l'intéret sur une histoire limitée dans le volume, et donc dans le nombre de personnage, l'approfondissement de ceux-ci et le nombre d'évènements et péripéties possibles. Après, pour une série comme Naruto, il s'agit d'un problème commercial: même si la série était prévue pour être longue au début et qu'elle n'aurait pas lassés beaucoup de lecteurs, elle a été rallongée un peu artificiellement par les éditions qui mettent la pression sur leurs "auteurs aux oeufs d'or". Donc, pour moi, ce genre de série représentent un cas à part. ^^'
Pour moi, c'est une mauvaise fin (mauvaise dans le sens "bad end", pas dans le sens "mal écrite", hein!), mais ça vient sans doute du fait que je ne crois pas qu'il y ai quelque chose après la mort. Du coup, ça me semble plutôt triste.
D'un autre côté, j'aime bien ce genre de fin de temps en temps, par ce que s'il n'y avait que des happy end... Ca deviendrait vite ennuyeux.
Thank you! ♥ J'aime beaucoup Détective Conan, moi aussi! ^^
Ha, ha, ce n'est pas avec ça que tu risques de me dégoûter! XD Moi, les histoires se construisent presque inconsciemment dans ma tête! J'ai juste à les mettre sur papier quand elles sont prêtes! ^^ ♫
Dernière modification par Elsa Kisiel (01 Jul, 2015 12:42:19)
Bah, tu sais après il existe toutes sortes de personnes sur cette terre. Je ne serais pas étonné d'apprendre qu'il y ait des dépressifs qui peuvent se suicider au moindre truc de travers, surtout quand après des mois, voir des années de travail acharné, tout ce que tu obtiens est du "passable". Diverses facteurs ont pu y contribuer aussi, sinon elle aurait simplement pu démissionner comme tu as dit.
C'est là la magie de cette fin, en fonction du point de vue et/ou des croyances, elle peut être good, bad, ou les deux.
C'est exactement la même chose pour moi. Parfois, d'un coup, un truc apparaît dans ma tête, et vlan ! Je me retrouve avec une histoire complète ! Depuis que j'ai commencé à en imaginer au collège, j'ai arrêté de compter.
Je commence par annoncer le thème de Juillet-Août : "Dvorak - Symphonie du nouveau monde" (https://www.youtube.com/watch?v=ySYc8oEuVcM)
Amusez-vous bien
---
Elsa > Ta présentation est vraiment intrigante. Le seul problème, c'est qu'elle est incomplète. Tu exposes ici la situation de départ, très en détails, mais tu t'arrêtes à cette première étape alors qu'il en existe 4 autres :
La 2, l'évènement perturbateur. Il s'agit vraisemblablement de la revanche de Moka, ancienne victime. mais tu ne l'exposes que dans la présentation des personnages.
La 3, les péripéties
La 4, l'élément de résolution
La 5, l'état final
C'est donc dommage que tu te sois arrêté si tôt car le peu que tu as mis m'a bien accroché ! Bon courage pour le prochain thème
Lufo > La dynamique de ton histoire est intéressante, néanmoins, l'intrigue comporte quelques faiblesses.
Elsa en relève une : se suicider parce que son employeur n'aime pas notre thé, c'est difficile à croire, surtout à notre époque. Je pense qu'il aurait fallu montré qu'il existe une autre raison derrière. Par exemple, Theodore pourrait avoir un charisme naturel très fort qui rend ses encouragements, même faibles, très encourageants et créé une sorte de "dépendance". À chaque tasse de thé servie, on reçoit beaucoup de critiques mais l'encouragement est tel que l'on sent malgré tout que l'on s'améliore, donc on a envie de continuer.
Ensuite, la réaction finale de Cloé relève franchement de la psychopathie. Ça m'a d'ailleurs rappelé ce célèbre test psychiatrique :
C'est l'histoire d'une jeune fille. Aux funérailles de sa mère, elle aperçoit un jeune homme qu'elle ne connaissait pas. Elle le trouve fantastique, l'homme de ses rêves quoi. C'est le coup de foudre, elle en tombe éperdument amoureuse. Quelques jours plus tard, la jeune fille tue sa propre sœur.
À la fin, on pose la question: Pour quel motif a-t-elle tué sa sœur?
Et il paraîtrait que les psychopathes répondent assez facilement à cette énigme : Elle espérait que le gars se pointerait de nouveau aux funérailles.
Que Cloé soit psychopathe n'est pas gênant. Au contraire, tout au long de l'oeuvre, on viendrait à penser que Cloé est entre les mains d'un employeur légèrement cinglé pour s'apercevoir au final qu'elle l'est encore plus. Mais au fil de l'oeuvre, il faudrait prévoir des indices, même très légers (actions/pensées étranges de Cloé au cours du récit) quant à son état pour ne pas que ce twist ne soit trop abrupt.
Au final, rien d'insurmontable comme faiblesses !
Bon courage pour la suite
(There is no such thing as) Simple Love est mon premier essai manga mais j’espère que vous saurez passer outre mon amateurisme et que vous apprécierez les histoires de Benjamin, Chloé, Alice et les autres.
è. Ô what ?
c'est quoi le thème ?
*~o~♥: "Others" :♥~o~*
Merci. En fait, tu as parfaitement tout relevé. C'est juste que j'ai évité d'aller trop dans les détails, de peur que ça devienne trop long (sinon j'aurais pu écrire l'équivalent d'un chapitre entier). Mais à vrai dire, ce que tu décris sur Theodore est parfaitement ce que je pensais (le côté cinglé en moins, il est juste mélancolique ^^). Idem pour Cloe, comme je l'ai dit, elle est très serviable, et donner à Theodore le thé qu'il veut en devient vite son objectif n°1, au point de la mener à accomplir cet acte à la fin. Elle en devait une à Theodore de l'avoir acceptée alors que personne ne voulait d'elle, elle pense donc bien faire en lui offrant la possibilité de reboire ce thé divin.
Cool le thème, la symphonie du Nouveau Monde de Dvorak. J'adore cette symphonie ! Je la trouve épique !
Thé/Café
*Titre*: Le dernier thé
*Informations sur l'univers*: C'est notre monde, du moins en apparence car il existe plusieurs dimensions. Certains êtres, inconnus des humains sont les seuls au courant de cela, on les nommera ici "Immortels". Ils vivent dans notre monde en majorité mais aussi dans un qui leur est propre : une sorte d'ile céleste, géométrique, blanche, trop blanche même et peu habitée en somme. Ils ont pour caractère commun de se sentir généralement supérieur aux mortels. De plus, ils possèdent la capacité de contrôler la mémoire des mortels, pouvant ainsi leur faire oublier une possible découverte à leur sujet ou au sujet du système de dimensions. Les immortels ont la particularité de ne pouvoir être tué par une seule et unique substance : le café. (^_^)
*Présentation rapide des personnages principaux*:
Amélie : Jeune femme d'une vingtaine d'année, serveuse dans un café. Elle est assez innocente et peu préoccupée par le monde qui l'entoure, elle est tout à fait adaptée à sa vie quotidienne et à sa clientèle qu'elle connait très bien.
Tout au long de l'histoire, elle va éprouver une certaine solitude qui va la conduire à se refermer sur elle même. Cela va aussi lui permettre de mûrir, animée par le désir simple de retrouver une vie normale.
Victor : Scientifique Immortel qui vient faire des expériences sur les humains. Ce personnage est assez flou et mystérieux, on peut tout de même constater une sorte de paranoïaque et peu courageux dans le privée, il veut sauver les apparences.
Romain: Jeune homme, habitué du café où travaille Amélie. Il est très riche, assez intelligent (pour sècher les cours) un peu déconnecté de la réalité, enthousiaste et sympathique. Dans les autres dimensions, il est tout à fait différent, par exemple il boit du café alors qu'il l'y est "normalement" allergique.
Synopsis: Parfois notre vie peut tenir à un seul détail; l'habitude d'aller dans tel ou tel lieu, de prendre un thé plutôt qu'un café... Amélie ne se doutait pas combien en l'espace de quelques jours, son existence allait être boulversée par l'arrivée d'êtres inconnus de tous et par la magie d'une révélation parfumée à la menthe...
*Résumé complet*:
Une nouvelle personne est engagée dans le café d'Amélie. La jeune femme lui explique comment fonctionne le service. Elle fait allusion à moment donné à un client, Romain, venant tous les jours et buvant systématiquement du thé. Flashback où Amélie, à sa rencontre avec Romain lui demande pourquoi il vient toujours dans ce café et ne prend jamais de café. Il lui explique donc qu'il est allergique. A la fin de la journée, elle retrouve Lucien, son copain, ils se baladent. C'est là qu'ils se font kidnapper.
Amélie et Lucien se retrouvent dans le laboratoire d'un homme de la quarantaine à l'allure austère et imposante mais chez qui on sent une sorte de faille, de déséquilibre (Victor). Il y a aussi là 13 autres humains. Amélie, Lucien et les autres personnes subissent des injections infligées par le scientifique ce qui provoque des réactions étranges chez eux. Cette substance est en fait du sang d'immortel. Tout le monde se tord de douleur dans des positions assez bizarres pour que leur simple vue rende mal à l'aise. Amélie est la seule épargnée par cette réaction douloureuse et elle fuit. Dans sa fuite, on lui tire une balle dans la tête et elle meurt sur le coup.
Amélie se réveille (dans une autre dimension mais cela nous ne le savons point en tant que gentil lecteur) alors chez elle, dans son lit, sans aucun souvenir de la veille après avoir quitté le café. Elle met cette petite amnésie sur le compte d'une soirée trop alimentée en alcool. Peu soupçonneuse, elle se rend au travail et constate que la pancarte du café a changé. Elle prend son service et sert son thé habituel à Romain. Ce dernier, lui demande alors un café comme il en prend toujours d'après ses dires. Amélie, indécise et surprise l'interroge au sujet de son allergie, allergie dont le jeune homme ne semble n'avoir jamais entendu parler.
Après son travail, la jeune femme prit l'initiative d'appeler Lucien car il ne se présentait pas à leur rendez-vous habituel en soirée. Il n'y eut aucune sonnerie, le numéro de téléphone n'était plus attribué. Amélie, prise d'une très mauvaise intuition, courut à l'adresse de Lucien. Il apparu à cet instant devant ses yeux un flash où elle le vit mourir, le corps tordu effroyablement. (ce qui s'est passé la veille et dont elle n'a pas de souvenir). Pétrifiée, elle voit que la maison de Lucien est à présent un rond point. Elle va voir la police, essaye vainement d'appeler des proches, fouille des archives, des photos de classes, des traces écrites...mais c'est comme si il n'avait jamais existé que dans sa mémoire.
S'en suit beaucoup de péripéties assez classiques niveau construction... (mais je ne sais pas si je dois les mettre donc dites le moi et je les rajouterai...)
A la fin, Amélie, retrouve Victor, le scientifique qui la traquait (dans les péripéties). La certitude de la mort de Lucien et de la remise en cause du fonctionnement d'un monde qui malgré sa banalité était rassurant, travaille la jeune femme et l'a brisé. Très impulsive et hors d'elle même, elle torture Victor, par vengeance et pour savoir, mettre une vérité sur sa vie. Elle découvre notamment que sa survie aux injections n'est due qu'à une erreur de dosage et se sent encore plus illégitime d'être la seule survivante.
Le cœur et l'âme en charpie, elle finit par lui demander de la ramener dans sa dimension et de lui effacer la mémoire, jugeant que c'est la seule chose à faire.
Je suis désolée de le sortir si tard mais j'ai eu beaucoup de travail mais bon ça passe...
Freakazoid: En fait, j'ai écris l'histoire en entier sur mon ordinateur, mais j'aimais moins la deuxième partie, maladroite et trop longue, donc je ne l'ai pas posté. (en revanche, si quelqu'un la veut par mp, c'est toujours possible)
Ensuite, le shéma narratif que tu exposes est le shéma classique. Je n'ai jamais dit que c'est celui-là que je suivais.
Sinon, le thème de juillet est plutôt intéressant mais je risque d'avoir un peu de mal... (Je n'ai jamais écris en fonction d'une musique... °~°) Enfin, je vais essayer! ^^
Dernière modification par Elsa Kisiel (02 Jul, 2015 08:58:20)
Chitsuko >
Ton pitch de départ m'a fait sourire (dans le bon sens). On commence avec quelque chose de très grandiloquent : des Immortels secrets avec des capacités hors du commun... qui ont pour final pour faiblesse une chose aussi bête que le café ^^
Par la suite, j'ai trouvé ta présentation un peu confuse. Dans la rubrique "Informations sur l'univers", on a plus l'impression de dimensions différentes que de mondes parallèles (la nuance est importante). Or, dans ton histoire, on semble pleinement être dans le monde parallèle.
Ensuite, quelle est la motivation de ton antagoniste (Victor) ? Quel est le but de ses expériences ?
Quelle est l'utilité du personnage de Romain à part de permettre à Amélie de se rendre compte que quelque chose cloche ? Il est présent dans ta liste de personnages mais il semble très secondaire au final contrairement à Lucien, petit ami d'Amélie.
Tu oublies également en cours de route ton histoire de faiblesse au café des Immortels qui apparaissait dans ta présentations de l'univers. Elle n'existe plus du tout dans ton intrigue. Dommage, c'était pourtant l'idée qui m'avait le plus intriguée dans ton pitch.
Finalement, je pense que ta faiblesse principale, c'est que tu n'as pas défini exactement quels thèmes tu souhaitais aborder via ton histoire, vers quoi se dirigeait ta protagoniste.
Dans l'écriture d'un scénario, il est vivement conseillé de savoir où l'on va avant de se lancer. Ça ne t'empêchera pas de changer en cours de route mais à chaque moment, tu dois avoir ta destination en tête. Résous ce problème et je suis persuadé que tu corrigeras pas mal de défauts que j'ai précédemment cité ;-)!
Bon courage à toi !
(There is no such thing as) Simple Love est mon premier essai manga mais j’espère que vous saurez passer outre mon amateurisme et que vous apprécierez les histoires de Benjamin, Chloé, Alice et les autres.
Oui je pourrais te répondre mais je me suis imaginer beaucoup d'étape dans ma tête par exemple grâce à un sacrifice de romain Amélie va pouvoir découvrir Victor et il va aussi l'aider dans sa solitude car c'est la seul personne à qui elle va pouvoir parler de ses sorte de dimension (ou monde parallèle ... j'ai toujours des problème avec ça...) enfin voila j'ai pas peu tout mettre déjà que j'était en retard...
Et pour le nouveau thème c'est tout le morceau ou que le 4éme mouvement??
Dernière modification par chitsuko (02 Jul, 2015 17:46:10)
C'est tout le morceau !
Sinon, pour les retards, vous en faites pas trop. C'est un exercice, pas un concours
(There is no such thing as) Simple Love est mon premier essai manga mais j’espère que vous saurez passer outre mon amateurisme et que vous apprécierez les histoires de Benjamin, Chloé, Alice et les autres.
Genre : Drame
Information sur l’univers : Début 20ème siècle, Europe
Présentation rapide des personnages principaux :
• L’orchestre : constitué de toutes sortes de personnes et d’instruments
• Le trompettiste : musicien raté, reconvertit dans les assassinats ; ceux-ci ne l’avaient encore jamais confronté au monde de la musique et aux rêves qu’il poursuivait autrefois. La cinquantaine, petit, un peu laid.
• Le directeur du théâtre : Pour des histoires de pouvoir et d’influence, il cherche à faire assassiner un violoniste surdoué qui joue lors de la représentation, au sein de l’orchestre. Aime mener le jeu, soigne son apparence, a la cinquantaine.
• Le violoniste surdoué : Un physique tout à fait ordinaire mais une aisance musicale remarquable. C’est tout ce que l’on sait sur ce personnage.
Synopsis : Alors que la représentation du « Nouveau Monde », de Dvorak se joue sur scène, le gérant du théâtre et un tueur à gage discutent, dans les coulisses, de l’assassinat du violoniste vedette, trop doué pour son propre bien. Mais savoir interrompre avec brio la symphonie qui se joue s’avère plus difficile qu’il n’y parait pour le tueur, musicien raté, reconvertit dans le crime sous le nom du « trompettiste ».
Thèmes abordés : Musique, tueur à gage, spectacle.
Résumé complet :
• Acte 1 (0.00): Alors que l’orchestre entame avec brio le 4ème mouvement de la 9ème symphonie, le directeur du théâtre, conclut un accord avec un tueur à gage renommé qu’il convoqué dans son bureau richement décoré. Des échos de musique leur parviennent et le tueur, surnommé le « trompettiste », les apprécie avec extase. Il est vite rappelé à l’ordre par son employeur.
• Acte 2 (0.57): Le tueur prend place, dans une cachette aménagée au-dessus de la scène par le directeur. Il tente de viser le violoniste vedette, sa cible, mais celui ne cesse de se déplacer en jouant et, par hasard, les autres musiciens gène le tueur, le forçant à se déplacer sans cesse de façon burlesque.
• Acte 3 (1.49): Le violoniste s’avance pour entamer un solo ; il est facile à atteindre mais les pensées du tueur s’égare. Musicien raté, que n’aurait-il pas donné pour jouer un solo de trompette devant ce public attentif ! Mais ses piètres performances et son manque de talent l’ont poussé à remplacer l’instrument par l’arme, la musique par le crime.
• Acte 4 (2.28) : Le directeur s’impatiente ; quoi, la tâche n’est-elle toujours pas accomplie et l’homme mort ? Pourquoi l’orchestre continue-t-il de jouer ? Seul dans son bureau, il fait les cents pas.
• Acte 5 (2.52) : Le silence ; le violoniste cesse soudainement de jouer, plié en deux ; il rassure ses camarades d’un signe de la main et quitte la scène en vacillant ; ceux-ci se remettent à jouer, inquiets mais conscient de l’importance de cette performance. Ils ont raison de s’inquiéter ; la balle, tirée avec un silencieux, à traverser le ventre de l’artiste et celui-ci parvient à peine à atteindre les coulisses avant de s’effondrer.
• Acte 6 (4.00) : Le tueur entre dans les coulisses et fait face au violoniste agonisant. Il n’a plus beaucoup de temps, le mouvement arrive à sa fin. Il tire. Ignorant tout du drame qui s’est déroulé hors de la scène, l’orchestre joue les dernières notes du morceau. Lors des salutations à la fin de la représentation, à la surprise des spectateurs, le violoniste vedette fut absent.
• Après la fin de la musique : Le lendemain, on retrouva un homme pendu dans son appartement. « Mon plus grand regret, disait sa lettre d’adieu, fut d’avoir tenu le rôle principal dans cette médiocre représentation, orchestrée par un directeur qui n’avait compris l’importance de son violoniste. Moi-même, je ne m’en suis aperçu que trop tard. » On conclut à une déception musicale et l’affaire fut classée.
Notes supplémentaires:
• Le fait que le titre soit à moitié caché derrière les rideaux est voulu: c'est une allusion à la situation du "trompetistte" lui-même, caché derrière le décors, attendant son heure.
• Accablé de dettes (contractées lorsqu'il essayait de faire décoller sa carrière musicale) et ayant pour seule talent l'assasinat, le trompetistte est devenu un tueur renommé. Cependant, en tirant sur le violoniste, qui représente tout ce qu'il aurait voulu être, le trompetiste se rend compte que sa vie avait perdu son sens- du moins, celle que le mélomane qu'il était aurait voulu lui donner. Médiocre, seul, et accablé par ses crimes, il met fin à sa vie dans son petit appartement.
• Il a néanmoins été jusqu'au bout et a achevé le violoniste pour deux raisons: d'abord, en tant que professionnel, et car c'est la seule chose qu'il sait effectuer correctement, il tiens à assasiner les gens proprement et à aller jusqu'au bout de ses contrats. Ensuite, car il savait le violoniste condamné et a souhaité abréger ses souffrances.
• Le directeur ne fut jamais découvert, et pu se réjouir d'avoir fait éliminer ce jeune prodige, qui lui faisait de l'ombre, sans jamais être inquété. Les méchants ne perdent malheureusement pas toujours.
Dernière modification par Elsa Kisiel (05 Jul, 2015 12:12:38)
Titre : Vers un nouveau monde
Genre : Aventure
Informations sur l'Univers : Notre monde, durant 2012, avec une réalité historique remaniée
Synopsie : Un pilleur de tombes nommé Tom Kolíuv découvre sur le corps du célèbre compositeur Antonín Dvořák une mystérieuse clé. Il y a écrit sur cette clé "Carnegie Hall". Pensant que cette clé mène à quelque chose de grande valeur, Tom se rend aux Etats-Unis, dans le fameux Carnegie Hall. Avec l'aide de James Leron, un habitué des lieux, il découvre un coffre blanc. Dans ce coffre se trouve ce qui va pousser les deux hommes à parcourir les Etats-Unis pour faire la plus grande découverte de l'Histoire.
Personnages :
Tom Kolíuv : pilleur de tombes qui va devenir malgré lui explorateur après la découverte d'une clé sur le cadavre de Dvořák. Pour obtenir gloire et richesse, il est prêt à risquer sa vie. Enfin, pas trop quand même, car il reste assez trouillard et n'hésite pas à fuir le danger si il voit qu'il n'y a rien à gagner à part la mort. Petit, rondouillard et chauve, il est aussi bon vivant, buvant souvent, flirtant dès qu'il peut, et jouant à des jeux de hasard dès qu'il a un minimum d'argent. Et il a la mauvaise tendance à considérer comme des potes ceux qu'il rencontre pour la première fois...
James Leron : violoniste habitué de Carnegie Hall, et qui accepte d'aider Tom en pensant faire une grande découverte sur Dvořák. Grand et maigre, il est aussi très tête brûlée, n'hésitant pas à foncer tête baissée dans les pires situations. C'est malgré tout lui qui garde la tête froide lorsqu'il s'agit de réparer les gaffes de son compagnon. Il partage tout de même avec ce dernier la même passion des femmes, à la différence qu'il est plus gentleman dans ses manières.
Demmi Paurciom : chef d'un groupe criminel qui espère faire sien la découverte de Tom et James pour obtenir gloire et richesse. Mais il n'est pas très rusé, a deux mains gauches, et est plus petit que Tom, laissant donc ses hommes faire tout le boulot.
Les Gardiens : nom que Tom et James finissent par donner à un mystérieux groupe d'indigènes essayant de les empêcher de découvrir le secret de Dvořák. Leur manie de tendre des embuscades absolument partout poussera d'ailleurs Tom à devenir parano.
Thèmes abordés : Exploration, mystère, "fin du monde".
Résumé complet :
Tom Kolíuv, pilleur de tombes, découvre en fouillant le cadavre du grand compositeur Antonín Dvořák une clé avec marqué dessus "Carnegie Hall". Pensant que ça mène à une sorte de trésor, il s'y rend le plus tôt possible. Là-bas, il rencontre James Leron, un habitué des lieux qui, intéressé par cette découverte, décide de lui venir en aide. Après une longue recherche, ils finissent par découvrir sous la scène, juste en sous la place du chef d'orchestre, un coffre blanc. Grâce à la clé, ils parviennent à l'ouvrir pour découvrir qu'il y a à l'intérieur le premier mouvement d'une symphonie, ainsi qu'une autre clé avec une inscription dessus. Un message se trouve également dans le coffre, leur indiquant qu'ils sont sur le point de faire une grande découverte ! Tom y voit une véritable chasse au trésor et, poussé par l'appel du butin, il décide de continuer. James décide de le suivre, intéressé par ce que cache Dvořák. L'ennui, c'est qu'ils ont été entendu par une autre personne : Demmi Paurciom, qui y voit également une chasse au trésor qui le mènera vers gloire et richesse.
L'inscription de la clé les mènes vers une petite tribu d'indigènes au milieu d'une forêt. Leur chef accepte de guider Tom et James vers leur deuxième coffre et leur offre pour cela une escorte. L'escorte finit par les guider vers une caverne très bien cachée. Mais alors que les deux hommes sont sur le point d'y entrer, les indigènes qui leur servent d'escorte se retournent soudainement contre eux et leur annonce que l'humanité n'est pas prête avant de les attaquer. James et Tom réussissent à se cacher derrière un rocher. Un indigène s'approche alors d'eux avec un tomahawk, mais James parvient à lui prendre l'arme et à le retourner contre son agresseur. La situation devient alors une impasse pour Tom, James, et les indigènes, personne n'osant faire quoi que ce soit pouvant mener à une mort certaine. La situation se débloque lorsqu'un groupe d'hommes équipés d'armes à feu finissent par intervenir et éliminent une partie des indigènes (au prix tout de même de quelques morts) avant de faire fuir les survivants. Pensant que ce sont des alliés, Tom et James quittent leur cachette, pour finalement se faire capturer par les hommes armés qui leur ordonnent de les accompagner dans la grotte, au cas où il y aurait un piège.
Mais pas de pièges. Le groupe parvient sans problèmes à atteindre le fond de la grotte où se trouve, caché derrière une pierre incrustée au mur, le fameux coffre blanc. La clé l'ouvre comme prévu, et révèle son contenu : le second mouvement de la symphonie, et une autre clé avec une inscription dessus. Les hommes armés s'empressent aussitôt de les prendre avant de sortir de la grotte où ils sont pris en embuscades par des dizaines d'indigènes. Les deux camps voient de nombreuses pertes, et Tom et James en profitent pour reprendre les morceaux de la symphonie ainsi que la clé et des armes avant de s'enfuir.
Revenant de leurs émotions, Tom et James continuent leur aventure jusqu'à l'endroit indiqué par la clé : le lac Michigan, attaqués régulièrement par les hommes armés et les indigènes. Ils sont cependant devancés par les hommes armés, car certains de ceux qui avaient eu la clé et lu l'inscription ont survécu face aux indigènes. Ainsi, nombre d'entre eux sont éparpillés un peu partout autour du lac, ou dessus, à la recherche du coffre. Les indigènes semblent également de la partie, car James et Tom entendent les hommes armés se plaindre de leurs embuscades incessants qui prennent la vie de nombre d'entre eux. Les hommes armés finissent par découvrir le coffre, au fond du lac, et ne tardent pas à le remonter à la surface avant de l'envoyer dans un camp. James a alors un plan : il va jouer l'appât et Tom en profitera pour prendre le coffre et s'enfuir. Le plan fonctionne bien au départ, mais alors que Tom parvient à mettre la main sur le coffre, il se trouve que les indigènes ont également eu l'idée de profiter de l'agitation pour pénétrer dans le camp et prendre le coffre. Ces derniers attaquent aussitôt Tom qui n'a d'autre choix que de fuir, en aillant tout de même la bonne idée d'utiliser le coffre comme bouclier. Les indigènes finissent par se faire repérer par les hommes armés, et une nouvelle bataille s'engage autour de Tom qui doit passer de planque en planque pour éviter de subir un tir perdu. La situation se complique lorsqu'il se fait lui aussi repérer, devenant la cible numéro 1. L'arrivée de James sauve la situation, et les deux parviennent à fuir. Ils volent un de leur véhicule, et après une grosse course poursuite, ils parviennent à atteindre Chicago où ils sèment leurs poursuivants dans les rues. S'arrêtant dans une ruelle, ils ouvrent finalement le coffre contenant le 3è mouvement de la symphonie ainsi que la clé menant au coffre suivant.
Ça les ramène en fait en plein dans le camp d'indigènes. Cependant, le camp se révèle vide, laissant la liberté aux deux hommes de fouiller. Ils finissent par découvrir, dans la maison du chef, une trappe secrète menant à un souterrain. Suivant les galeries, les enfonçant plus sous terre, ils atteignent une vaste salle où se trouvent le coffre sur un piédestal, une immense porte au fond, et surtout, les indigènes, leurs armes tournées vers eux. Le chef des indigènes se trouve là aussi, et il s'avance avant d'expliquer la situation. Leur tribu a toujours été la gardienne de cet endroit. Leur mission est d'empêcher l'humanité de découvrir ce qu'il y a derrière cette porte tant qu'elle ne sera pas prête. Dvořák, qui est venu à leur rencontre pour les observer, s'est alors vu confier une mission par le chef de l'époque. Sur les murs de la salle se trouvent en effet une partition, qu'il faut jouer pour ouvrir la porte. Le chef a alors demandé à Dvořák de recopier cette partition avant de la séparer à diverses endroits affin de compliquer l'ouverture de la porte. Suite à cela, les indigènes ont détérioré les murs, de sorte à ce que la partition devienne illisible. Aujourd'hui, le chef actuel pense que l'humanité n'est toujours pas prête, et qu'ils ne doivent donc pas ouvrir la porte. Le chef leur révèle malgré tout, pour leur faire comprendre, que derrière la porte se trouve une grande source de connaissances qui changeront le monde. En bien, ou en mal, en fonction de la mentalité de ceux qui les utiliseront. Tom est très déçu que ce ne soit pas un trésor et décide de rebrousser le chemin. James lui, comprends ce que veut dire le chef et décide d'abandonner.
Mais arrivent alors Demmi Paurciom et ses hommes, qui avaient suivis Tom et James. Demmi est très intéressé par cette source de connaissance, et compte bien s'en emparer, ce qui n'est pas de l’avis des indigènes. Les indigènes se font malgré tout massacrer par les hommes de Demmi, qui oblige alors James à jouer avec son violon la partition. Mais un violon de suffi pas pour jouer une symphonie, alors Demmi enlève un peu partout des musiciens affin de former au bout de plusieurs semaines un grand orchestre et de les obliger à jouer. Et donc, la symphonie finie par être jouée, et les portes s'ouvrent. Derrière se trouve une vaste pièce où reposent des squelettes, qui ont la particularité d'avoir un crâne et des doigts très allongés. Au fond de la salle, l'un des squelettes tient dans ses mains un étrange objet noir de forme pyramidale. En face se trouvent aussi 14 piliers, 12 formant un cercle, et deux au centre dudit cercle, l'un plus grand que l'autre. Et une mystérieuse lumière part d'un cristal au plafond, et se dirige vers l'un des piliers du fameux cercle. Demmi entre dans la salle, et prend l'objet pyramidale avant de sortir de la salle avec. Mais au moment où il passe les portes, la pyramide rougit et émet une énorme chaleur qui transforme Demmi en un tas de centre en quelques secondes avant de s'envoler et de retourner dans les mains du squelette. Devant la mort de leur boss et le danger que représente cet objet, les sbires de Demmi s'enfuient, laissant Tom, James, et l'orchestre derrière eux. Tom s'en va à son tout. "Ce n'est plus mon affaire !"
James reste, et entre alors dans la salle et prend à son tour l'objet qu'il observe sous tous les angles avant de repérer un petit trou au sommet. Une lumière sort soudainement dudit trou et pénètre en James par les yeux. Il ne sait pas trop comment, mais cette lumière lui a permis de comprendre comment ça se passe : l'objet ne peut quitter la pièce. Pour qu'il délivre ses connaissances, il faut réunir 13 crânes de cristal ici même, sur ces piliers. L'objet lui-même devra être posé sur le pilier le plus haut, au centre du cercle. James sait que l'humanité n'est pas encore prête de recevoir ces connaissances, mais il sent qu'elle en a besoin. La situation devient petit à petit de plus en plus critique, à cause de la pollution, des guerres, des crises. Sans ces connaissances, l'humanité court à sa perte. Même si elle n'est pas prête, il espère néanmoins qu'elle finira par apprendre à les utiliser correctement. Il espère que ces connaissances mèneront à un nouveau monde.
Ainsi, quelques mois plus tard, le 21 décembre 2012, la symphonie que James a nommé "du Nouveau Monde" est une nouvelle fois jouée, les portes s'ouvrent, et de nombreuses personnes, essentiellement de renom, se réunissent dans cette salle. 13 d'entre eux portent les crânes de cristal, qu'ils posent selon les instructions de James sur les piliers. Enfin, James prend l'objet pyramidale des mains du squelette, et le pose sur le pilier le plus haut. La lumière partant du plafond va sur l'un des crânes. Ce crâne reflète la lumière sur un autre crâne, et ainsi de suite, jusqu'à ce que la lumière soit reflété sur le crâne au centre qui reflète à son tour la lumière sur la pyramide qui commence à briller. "Qu'aujourd'hui soit la fin de notre monde, et qu'un nouveau naisse !"
Divers : J'ai préféré ne pas donner de noms aux indigènes car je ne savais tout simplement pas comment les nommer (se souvient du vrai nom de Connor dans Assassin's Creed III). On se retrouve donc avec une aventure où l'histoire est légèrement remanié. Dvořák n'a pas créé cette symphonie du Nouveau Monde et ne l'a pas fait jouer. Il a juste été un "messager". Ici, la symbolique est vraiment dans le nom : "Nouveau Monde". La 9ème symphonie est vraiment la symphonie "du Nouveau Monde", et j'ai trouvé intéressant d'utiliser ce symbole.
Lufo: Merci! Je ne m'étais encore jamais prété à ce genre d'exercice, mais j'ai trouvé ça plutôt amusant!
Ah, tu as raison! Mais j'ai la flemme de changer... >>''
J'aime bien ton histoire. Surtout qu'elle colle bien au titre et à une partie de l'ambiance de la musique. (Ca me faisait parfois un peu penser à l'ost d'un film d'aventure)
Après, le scénario est un peu classique, mais c'est le genre de trucs qui fonctionnent bien. ^^
(et puis, les miennes ne sont pas très originales non plus... >>)
Dernière modification par Elsa Kisiel (05 Jul, 2015 17:58:54)
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