Toutes ces armes par terre, tous ces débris, ces corps meurtris et sans vie, venaient envahir mon âme en peine, pourtant bien à l’abri dans ma chair. Ces visions de l’horreur, situées de toute part, colories ma vie d’un noir, un noir total qui ne me laisse pas le moindre indice de ce qui se passait ici. Bien que le soleil fût présent, je respirais la sueur des arbres et l’odeur putrides des cadavres en liquéfaction. Puis, j'ai vue au loin, une armure vide s'approcher de moi. Il n’y avait plus une seule échappatoire à ce moment-là. Brusquement, elle s’approchait de moi à grand pas, pour fondre sur moi...
XxHaexX 20sept.2013
Partagé entre la facination et le doute O.O
Avec ton illustration sa met tout de suite la scéne en en téte