Mirage 2000 aux couleurs de Flammemeraude.
Il est l'un des 12 appareils vendu en sous main par le trafiquants Buthler. Flammemeraudeles utiliseras très peut à cause difficulté de maintenance et par manque de carburéacteur. Difficultés liées au passage à l'Olympe du trafiquants Buthler suite à une offre plus alléchante de la part de ces derniers.
On est presque certain que trois d'entre eux furent détruits dans le combat entre Az et Quarina pour le contrôle de Flammemeraude. La position et l'état des 9 autres appareils ainsi que des lots de pièces détachés et de munitions reste pour l'heure inconnue.
buthler 16mars2019
Comment ça la peinture n'est pas sèche ? Où vois-tu une coulure ? Que j'aille me la faire rembourser tout de suite.
Merci.
Surtout ceux qui m'emploie, même si mes marges sont tout à fait correctes.
buthler 17mars2019
Le mirage 2000 possède deux canon de 30mm (125 obus par canon) et peut emporter 6300 kg de charges : des missiles air-air, air-sol, air-mer, divers types de bombes. La version N été même équipé de missiles nucléaires. Il pouvaient en outre être équipé de trois réservoirs externe pour augmenter son rayon d'action.
Sandymoon 17mars2019
Voilà qui est alléchant. Mais est-ce qu'il peut tourner sur énergie verte, i.e. Cristal de Flammemeraude ? On peut adapter le moteur ?
buthler 17mars2019
Non, il lui faut du kérosène pour tourner. Ou alors remplacer le réacteur, mais comme un avion est conçu autour d'un réacteur il faut soit que le réacteur possède des caractéristiques proches du Snecma M53-P2, soit concevoir un nouvel appareil
Sandymoon 18mars2019
OK... Bon alors je verrai pour concevoir un nouveau type d'avion pour fonctionner avec un cristal de Flammemeraude dans ce cas. ????
Sandymoon 18mars2019
En gros ça fournit de l'électricité à très haute densité, comme le vaisseau qu'Az avait "piloté"…
buthler 20mars2019
Il y bien un projet de turboréacteur électrique, mais j'ai un peu de mal à voir comment il fonctionne. Et vu qu'il n'y a qu'un seul papier sur le principe général pour le moment on ne sait pas quel serait ses performances.
Ça n'a pas l'air très fiable ces Chassa-bomba. Et puis je n'ai pas de fournisseur Ork.
Hurleguerre 21mars2019
Justement: la fiabilité et Az, ca fait deux. Je pense qu'elle devrait avoir un équipement adapté à son style.
buthler 24mars2019
Ça a existé, a la fin de la seconde guerre mondiale les allemands on développés des prototypes ou des petites série d'intercepteur utilisant des moteurs fusées. Du fait des difficultés a faire atterrir de telles engins, surtout en temps de guerre. Ils ont eu l'idée de faire sauté le pilote en parachute et d'éjecter le moteur (lui aussi sous parachute) pour les récupérer et les monter sur de nouvelles cellules.
Povlaka 24mars2019
Trop bonne idée sauf qu'il faut pas que le pilote se prenne le moteur sur le coin de la figure, vu que ça devait pas être automatisé à cette époque, du genre le moteur doit être éjecté par le pilote avant de sauter de l'avion, non ?
buthler 24mars2019
Le parachutage avait lieux au-dessus de l'Allemagne et toute la DCA le regarder tomber, donc si personne ne l'avait criblés de balles pendant la descente la récupération n'était pas trop difficile.
En réalité dans la majorité des cas l'appareil se séparait en deux, une partie contenant le moteur qui était extrait par un parachute automatique et l'autre partie contenant le pilote qui devait se débrouillé pour sortir du cockpit et sauté en parachute avant de s'écraser. Il y avait quand même pas mal d'accidents, mais sa rester plus simple que de poser un appareil sans train atterrissage (ces appareils décollé soit avec un train largable, une rampe de lancement ou directement largué depuis un avion porteur pour des questions de masse.) sachant que sa stabilité en vol était horrible du fait que ses réservoir soit vide (centre de gravité très mal placé) et que son moteur soit coupé puisque à cours de carburant (avec des ailes et un fuselage conçu pour être performant à des vitesse de plusieurs centaines de km/h). Le fait que personne n'est réutilisé l'idée au combat suggère malgré tout qu'il s'agit plus d'une mesures désespérés qu'autre chose. Tous ces appareils étant d'ailleurs issu du programme d'urgence chasseurs (Jägernotprogramm) commencé le 3 juillet 1944. Rien que le nom indique clairement que c'est pas la joie.
Povlaka 24mars2019
Intéressant, et les pilotes qui se lançaient dans ces expériences techniques avaient du cran. Ils devaient avoir conscience des risques élevés.
buthler 24mars2019
Tu sais vu que c'était la guerre, les risques étaient partout. Après il y a un pas mal de pilotes d'essais qui ce sont tués sur des prototypes développés pour franchir le mur du son après la guerre. Mais pilotes d'essai a toujours était un métier dangereux.
Sandymoon 16mars2019
Et puis la peinture verte dessus n'est pas encore sèche. :D
Excellent Buthler !! :D