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Et ces plantes qui agrandissent les fissures dans le béton en poussant à travers elle menace l'intégrité du bâtiments, non ?

Pas de traitements préventif alors, c'est dommage. Cette tour va donc finir par disparaitre.

C'est vrai, la faute à la deuxième loi de la thermodynamique.

Le but de la vie n'est-il pas de combattre l'entropie ?

Il est impossible de combattre l'entropie, on peut juste la contrecarrer localement au prix de plus d'entropie globale.

N'est-ce pas l'intérêt de l'intelligence ? Elle permet une meilleur compréhension de l'environnement, de s'affranchir de limites qu'on ne peut pas surpasser par l'évolution naturelle, et au final elle peut potentiellement permettre d'échapper à la fin de l'univers.

Le problèmes c'est qu'on touche au loi physiques, des limites qu'on ne peut pas (pour ce qu'on en sait actuellement) dépasser tout court. Nous sommes donc condamner à disparaitre avec l'univers.
Mais bon, rien ne nous empêche de mener un combat perdu d'avances après tout. C'est souvent ceux là les plus impressionnants.

C'est une vaste question.

Et un sujet peu abordé. Mais Isaac Asimov a écrit une nouvelle dessus intitulée justement "the last question", et j'aime beaucoup la réponse. Il existe une adaptation manga en oneshot:

ww.taadd.com/chapter/TheLastQuestion1/638369/

/templatetraining.princeton.edu/sites/training/files/the_last_question_-_issac_asimov.pdf

En vrai on pourrait même espérer aller au-delà de l'espérance de vie du soleil. Mais pour quitter notre univers ça va être compliqué. Et pour ça il nous faudra effectivement d'énorme quantité d'énergie, des quantités colossales.

Que de brutalité en vers ses pauvres plantes. x)