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voila j'est fait un rps sur l’univers de code breaker et je voudrais que vous me donniez vos avis merci
petite expliquation Toki et un code breaker une personne doter de pouvoir qui son au service de l'éden une organisation de lute contre le crimes. Toki lui poséde le pouvoir du magnétisme et l'idrogarum et un liquide qu'il peu utiliser a sa guise le dur sire le liquéfier ex...... Ogami et un autre code breaker et Sakurakoji et "le spécimen rare" pars quelle peu anihiller les pouvoir des code breaker. voila pour le moment ses tous qui me vien alors si vous avez besoin de plus d'expliquation n’hésiter pas
KAMI
Ce jour était le jour fatidique. Le plan avait été vu et revu, nous ne pouvions pas nous tromper. J'allais enfin prendre la place qui me revenait de droit. Il ne restait plus qu'à attendre qu'il pointe le bout de son nez.
TOKI
Ce jour-là, j'avais rendez-vous avec Hein pour une nouvelle mission : profiter qu' Ogami avait perdu ses pouvoirs et qu'il était toujours en compagnie de Sakurakoji pour arriver à l'Eden.
- Tu es en retard, dit Heike.
- Ne sois pas si coincé, je n'ai que 15 minutes de retard.
- Tu sais très bien la punition que je réserve à ceux qui sont en retard. Un sourire s'esquisse sur le visage de Toki.
- Tu croies vraiment que je ne me saurai pas me faire pardonner? Lui dis-je en faisant glisser ma main sous la chemise de Heike. Il y eut une étincelle dans ses yeux. Je savais que ce genre de réponses lui plaisait. Car ce qu'il aimait, ce n'était pas tant l'acte, mais la domination qu'il implique.
En face de moi, Heike était en train de faire ce qu'il aimait le plus : le ligotage. Il m'attacha à l'un des pilier de la salle.
Puis il glissa sa main dans mon pantalon.
- détends-toi. Me chuchota-t-il à l'oreille, d'un ton cynique, avant de la mordre. Puis il me retira son pantalon et souleva mes jambes à hauteur de ses hanches.
-Haaa!
Il n'y allait pas de Main morte ! Il était brusque, mais ça ne me dérangeait pas. Tant que je le laissais me dominer, il faisait de moi une sorte d'idole à l'affut de ses désirs.
Un quart d'heure plus tard, lorsqu'il eut fini, il se tenait devant moi. Il prit le pantalon qui se trouvait sur mes chevilles et me dit :
- Pour ta mission, il s'agit d'un groupe mafieux qui braque une banque. Tu dois les empêcher de tuer les otages. Mais ne traines pas, ta mission devrait déjà avoir commencé. Et il partit en me laissant la… mais j'ai l'habitude, j'ai pris le coup pour me détacher. Et je partis pour ma mission.
Je me rendis vers l'adresse marquée sur le dossier et arrivé là-bas, le silence régnait et l'atmosphère était lourde et pesante. J' étais arrivé au lieu de ma mission.
Je rentrai à l'intérieur. Ce que j'y trouvai n'était autre qu'un charnier de corps -ceux des policiers qui étaient morts en essayant de libérer les otages- avec une odeur si particulière de chair cuite. Mais les choses ne faisaient que commencer.
Puis je sentis comme un air de déjà-vu.
- Oui, c'est comme ça qu'il…
Clac! Un claquement me sortit de mes pensées. Je me dirigeai vers la source du bruit pour voir ce qui l'avait provoqué.
KAMI
Je le vis entrer dans la banque, il avait une cigarette au bout des lèvres. Il passa à coté des cadavres, sans même ciller. Tout d'un coup, une expression de détresse se dessina sur son visage. Se souvenait-il? Cette pensée me fit tressaillir.
Je fis tomber l'une des cloisons qui tenaient encore debout. Le bruit que je provoquai le fit se diriger vers moi. Il fallait trouver quelque chose.
TOKI
-Ne me faites pas de mal! Dit une voix tremblante qui provenait de derrière ce qu'il restait d'une cloison. J'y trouvai un garçon d'à peu près mon âge, recroquevillé dans un coin. Il me regarda et dans son regard il y avait quelque chose de familier. Mais je n'avais pas le temps de m'occuper de lui. Je devais d'abord finir mon travail. Je décidais de revenir à lui plus tard.
KAMI
ça avait marché. Il m'avait pris pour l'une des victimes. Mais maintenant il fallait voir si il pouvait s'en sortir.
TOKI
Lorsque je montai à l'étage je vis quinze hommes armés en compagnie d'otages croyant que, grâce à ces derniers, ils ne seraient pas inquiétés. L'un d'eux me vit.
- EH LES GARS!!! Il n'eut pas le temps d'en dire plus. Je le tuai avec l'Hydragyrum, mon attaque spéciale.
- Rendez-vous, ou dans cinq secondes vous êtes morts…
Les autres se tournèrent vers moi et tirèrent des coups de feu inutiles.
- C'est toi qui va mourir! On va te réduire en bouillie!
Les balles qu'ils m'assénerent causèrent leur mort.
- La justice est trop fade pour les ordures que vous êtes.
Puis un homme, qui se trouvait caché derrière plusieurs otages, se redressa et je compris pourquoi les corps en bas étaient brûlés. Il tenait à la main un bazooka.
-Prends ça, connard! RHAAA!!!
- Les ordures, ça se nettoie.
La charge du bazooka fit une grande explosion derrière moi. Mais celui qui le tenait était mort, éventré par le métal de son arme.
KAMI
Je me tenais à l'entrée. d'ici, j'entendais tout ce qui se passait : les tirs des armes, puis le bruit de l'explosion… Je savais que cela ne mènerait à rien, mais j'avais besoin de leur mort pour pouvoir me rapprocher de lui, le code breaker. Même dans mes pensées, ce mot semblait se moquer de moi.
TOKI
Sans me soucier des otages je descendis voir le garçon de tout à l'heure et je le retrouvais là ou je l'avais laissé, comme s'il m'attendait. Sauf qu'il était debout, de dos. Il se retourna et m'adressa un regard rempli de tristesse. Comme une supplication.
KAMI
Quel crétin il fait ! Mais à cet instant, je me rendis compte que ce qu'il voyait n'était pas moi, mais il le voyait lui. A travers mes traits. Et lorsqu'il partit, je le suivis sans qu'il ne me pose de question. Il me fit rentrer chez lui.
TOKI
Il rentra chez moi. Le silence qui régnait commençait à me peser car plus je le regardais, plus je trouvais qu'il lui ressemblait et ça commençait à me gêner, même si cette ressemblance était aussi la raison pour laquelle je l'avais laissé me suivre.
- Tu t'appelles comment?
- Je m'appelle Kami.
Je me mis à rire à l'écoute de ce nom.
- Quel nom spécial! J'espère que tu ne vas pas te transformer et me bouffer.
KAMI
Sa réaction par rapport à mon nom m'avait vexé. C'était mon père, la seule personne que j'avais jamais respectée, qui m'avait nommé ainsi.
- Ne te moque pas de mon nom! Et Toki, ce n'est pas un nom banal, non plus!
TOKI
- Je ne vois pas pourquoi tu t'énerves. Si je rigolais, c'est juste parceque ça m'a fait remonter des souvenirs…
- des souvenirs de quoi?
-des souvenirs dont il ne faut pas parler.
Cette question m'avait énervé, sa main m'avait fait repenser à la belle époque ou je vivais avec ma soeur quand elle me poursuivait dans notre maison avec un aimant à la main, et qui m'appelait son "petit Kami". Souvenir heureux qui me faisait plus de mal que de bien. Au fur et à mesure de la soirée, j'avais entamé la conversation qui me rappela la sensation de l'âpres-midi.
KAMI
Je voyais à son expression qu'il commençait à être vulnérable. Je devais gagner un peu plus sa confiance.
- Pourquoi fais-tu cette tête? Me dit-il en posant sa main sur la mienne.
- Non, ça va. Juste des pensées qui me hantent.
- C'est par rapport à tout à l'heure ? Je suis désolé de t'avoir remémoré des souvenirs si douloureux.
- Bah, ce n'est rien... j'y aurais sûrement pensé de toutes manières.
TOKI
J'ai vu tout d'un coup un sourire illuminer son visage. Je crois que j'ai rougi parce qu'il a ri. J'ai ri avec lui. Au cours de la soirée, je lui posai cette question :
- Tu comptes dormir ici?
- Oui, pourquoi, tu ne veux pas?
- Fais comme tu veux.
La nuit tomba. Je préparais le canapé pensant lui laisser mon lit.
- Qu'est-ce que tu fais ? Me demanda t-il.
- Je vais dormir sur le canapé, je te laisse le lit.
Il me regarda avec des yeux bizarrement tendres.
- Tu sais, nous ne sommes plus des enfants, tu vas dormir avec moi! Et il partit dans la chambre.
KAMI
Ma comédie commençait à porter ses fruits. Je le suivis, je m'assis sur le bord du lit. Il fit de même. Et dès qu'il fut à coté de moi, je glissais ma main sous sa chemise. Je sentais son souffle court sur ma nuque. Je me retournai et plongeai mon regard dans le sien.
TOKI
A cet instant, je sus à qui il me faisait penser : à celui que j'avais perdu, et la seule envie qui me traversait était de le consumer dans le foyer d'une passion dévorante.
Je le déshabillai et ôtai mes vêtements. Sur le lit, nos deux corps musclés frottant l'un contre l'autre provoqua une chaleur intense. La sueur perlait comme des diamants sur nos corps. Mon souffle sur son torse et le sien dans ma nuque accentuaient la sensation de chaleur, et ses légers gémissements me faisaient frémir de plaisir.
Le lendemain matin j'étais couché dans le lit, sa tête posée sur mon torse, une cigarette à la main. A cet instant, je me remplis d'un bonheur que je savais illusoire, car je m'efforçais de revivre une idylle qui s'était finie trop tôt lorsque mon amant avait disparut.
Je savais que ça finirait mais que pour le moment il fallait que j'en profite. Des demain, je devais retourner voir Heike pour le compte rendu de ma mission.
Je glissai doucement du lit sans le réveiller.
KAMI
Ce matin, à mon réveil, il n'était plus là. Je pouvais enfin arrêter cette comédie, mais ce qui commençait à m'étonner, c'est que j'y prenais goût. J'avais enfin trouvé quelqu'un pour combler ma solitude, mais je ne devais pas oublier mon objectif.
TOKI
Lors de mon entretien avec Heike:
- Tu me déçois, Toki. Tu n'as pas su tuer ta cible. Mais sais-tu ou elle se trouve, au moins?
- Oui, je compte régler ça demain.
- Bon... mais si tu n'y arrives pas, je devrai faire un rapport.
- Ne t'en fais pas. Une lueur sombre recouvrit mon visage. Ce sera réglé.
Puis, je repartis. Je voulais retrouver Kami parce que demain le rêve allait se terminer.
Quand je fus rentré à l'appartement, il prenait une douche. Je n'ai pu m'empêcher d'aller le rejoindre.
L'eau qui coulait le long de son dos faisait ressortir sa musculation. Je le plaquai contre la parois de la douche, tout en lui faisant écarter légèrement les cuisses.
-Hum...
Ce petit gémissement ! Il n'en fallait pas plus pour augmenter encore plus mon désir. Je le péterai et il en poussa un autre. La moiteur suave de nos deux corps en proie à la passion me rappela tant de souvenirs tout aussi douloureux que ceux de ma soeur.
KAMI
Vers midi je me mis à preparer le déjeuner. Toki me regardait d'un air mélancolique.
-Qu'est-ce qu'il t'arrive ? Depuis que tu es rentré de ta promenade je te trouve bizarre.
- Demain je dois faire un travail et je voudrais que tu viennes avec moi.
- Si tu veux... c'est quoi comme travail?
- Je te ferai la surprise.
- Ok.
Je lui souris à nouveau avec cet air enfantin qui lui rappelle tant celui qu'il a perdu.
Cette nuit-là nous sommes restés allonges l'un contre l'autre et cela me suffisait car cette nuit serait la dernière.
TOKI
Le lendemain, lorsque je me réveillai, il n'était plus là. Je me suis demandé pendant un instant s'il n'était pas parti, mais ce n'était pas le cas.
Il se trouvait dans la cuisine.
- Qu'est-ce que tu fais? Je me frottai les yeux à cause de la lumière soudaine.
- Je prépare des sandwich. Comme je ne savais pas ce que tu aimais, j'en ai fait un de chaque. Tu n'auras qu'à choisir.
Il se lécha les doigts, ce qui me provoqua des arrières pensées, mais ce n'était pas le moment. Il était temps de lui montrer qui j'étais et ce que j'avais fait.
- Oui tu as bien fait. Partons tout de suite.
- Quoi, déjà?
- Oui, il y a une longue route à faire.
KAMI
Je savais que cette vie illusoire que j'avais crée allait se terminer et que l'un de nous allait mourir.
Le trajet fut long. L'impression de longueur était renforcée par un silence pesant. Le silence avant la tempête. Je regardais par la fenêtre et voyais défiler les paysages, mais ce moment de calme presque irréel allait prendre fin.
TOKI
Kami était plongé dans une rêverie, mais ce n'était plus le moment, nous étions arrivés.
- On est arrivé. J'avais essayé de le dire calmement, mais c'est sorti sèchement.
- Mais qu'est-ce que tu as à faire dans un endroit pareil ?
- Mon travail.
Je fis claquer la portière de la voiture. Juste en face de nous, nous pouvions lire la pancarte d'entrée pour "le cimetière des Camélias".
Nous marchions lentement vers l'endroit fatidique.
KAMI
Une fois arrivés, je lus le nom qui se trouvait sur la tombe. Je levai les yeux vers Toki et vis son visage froid, dénué de sentiment.
C'est maintenant que tout allait prendre fin.
- Tu croyais vraiment que je ne ferais pas le rapprochement entre toi et Daijin ?
- Tu savais depuis le début?
- Non. Je ne l'ai pas vu tout de suite, mais j'avais des soupçons et la ressemblance m'a sauté aux yeux lorsque tu as souris : tu as la même expression que ton frère.
Je me mis à rire d'un rire presque irréel.
- Mon frère et moi nous ne nous ressemblions pas.
- Oui, c'est vrai : ton frère ne méritait pas son sort, lui. Mais toi.... toi, tu as osé tuer ton propre frère!
TOKI
Je sentais que mon visage s'était durci.
- Tu parles de lui comme s'il ne méritait pas ce qui lui est arrivé, mais c'était loin d'être un saint !
- Il n'était peut-être pas un saint, mais tout ce qu'il a fait, il l'a assumé. Même toutes ses erreurs de parcours, il vivait avec.
- Moi je n'ai fait que prendre sa place, mais pour cela il fallait l'éliminer.
- Il ne voulait pas que tu prennes sa place parce que c'était trop dangereux. Il voulait te protéger et toi qu'est-ce que tu as fait? Tu as prémédité un carnage tout ça pour quoi? De l'argent ? Du pouvoir?
- Non, pour te tuer. Grace à ta mort, je deviendrai l'assassin du code breaker et prendrai la place qui me revient : celui de chef de la pègre. Et pour ça je ferai ce qu'il faut.
KAMI
En disant ça, je sortis un pistolet de ma ceinture et le pointai sur lui.
- ah ah ah ! Que comptes-tu faire ? Tu sais bien qu'aucune balle ne peut m'atteindre!
- Oui, je sais. Mais uniquement les balles en métal, n'est-ce pas?
Dès qu'il eut fini cette phrase, il tira. BANG!
TOKI
Je ne pus détourner la trajectoire et pris la balle en pleine épaule. Je compris ce qu'il avait voulu dire : cette balle n'était pas ordinaire.
- Tu vois, tu n'es pas si infaillible que ça. Au revoir, Toki!
- Ce que tu ne sais pas, c'est que le percuteur d'une arme est toujours constitué de métal.
- Et alors, qu'est-ce que tu veux que ça me fasse?
- Oeil pour oeil, dent pour dent... Et pour le mal, le marteau de la justice.
KAMI
-Comme... Argh!
Je ne pouvais pas finir ma phrase car durant le temps que j'avais pris à l'écouter, il avait modèle le percuteur de mon arme et l'avait fait traverser ma gorge.
Je m'effondrai au sol et me vidai de mon sang sur la tombe de mon frère.
Toki, lui, me regardait mourir sans détourner le regard.
TOKI
J' étais touché à l'épaule, le sang coulait le long de mon bras, mais j'étais soulagé.
Cela avait fait deux ans que je j'avais été à la recherche de l'assassin de Daijin.
Maintenant que justice était faite, je pouvais tourner la page sur cette partie de mon passé.
La seule envie qui me traversa l'esprit à ce moment, fut de m'en griller une.
Je m'éloignai donc, par cette douce journée de mars, une cigarette entre les lèvres.
FIN
Last edited by mangakahanna (16 Mar, 2012 11:23:12)
On peut très bien vénérer quelqu’un qui n’est pas du côté du bien. On peut même être conscient de cette noirceur… Mais la préférer à la solitude.
Je déplace dans la bonne catégorie
À l'époque quand je levais le doigt, il y avait 15 000 mecs qui gueulaient KAIOSHIN-SAMA ! Maintenant quand je lève le doigt c'est pour aller pisser...
Modérateur et amateur de Boobs
Vous voulez me faire plaisir ? Virez le Sud-Est ! Kaioshin suffira ! ^^
N'hésitez pas à me MP si vous avez une question ou un problème
Avant oui, mais maintenant qu'il y a une section Yaoi, tout ce qui s'y rapporte va là Que ce soit écrits, dessins, discussions... Tout quoi
À l'époque quand je levais le doigt, il y avait 15 000 mecs qui gueulaient KAIOSHIN-SAMA ! Maintenant quand je lève le doigt c'est pour aller pisser...
Modérateur et amateur de Boobs
Vous voulez me faire plaisir ? Virez le Sud-Est ! Kaioshin suffira ! ^^
N'hésitez pas à me MP si vous avez une question ou un problème
Chose promis chose dû Darling! 8D
*mode critique de ciné on*
alors... premier point, y a de bonnes choses. C'est facile à lire et les répliques brèves et courtes donnent du rythme. Après, je pense qu'il y a trop de "coucheries" et trop courte. Moi je pense qu'il vaut mieux une vrai scène romantique et sensuelle que des petits bouts récurant (maintenant ceux qui aiment moins le yaoi - ou dans une certaine limite- ne seront peut être pas de cet avis).
Sinon pus qu'un RP (les parties sont trop courte pour un RP) tu n'as pas essayé de l'écrire en format roman?
Last edited by Looveel (28 Mar, 2012 14:58:11)
oui ses sa le blaime au début se n'étais que du poin de vu de toki mes après j'ai vu que se ne s'écrivais pas comme sa alors je croie que je me suis embrouillais mes je lai finaliser alors voici la version pofiner
KAMI
Ce jour était un jour fatidique. Le plan avait été vu et revu, nous ne pouvions pas nous tromper. J'allais enfin prendre la place qui me revenait de droit. Il ne restait plus qu'à attendre qu'il pointe le bout de son nez.
-monsieur? Tous est prêt il ne manque plus que vous.
-bien.... Allons y.
TOKI
Ce jour-là, j'avais rendez-vous avec Hein pour une nouvelle mission :il profiter qu' Ogami avait perdu ses pouvoirs et qu'il était toujours en compagnie de Sakurakoji pour me surcharger de travaille, arriver à l'Eden. Je ne pouvais pas me douter que se jour étais le prélude du retour d'un passer oublier.
- Tu es en retard, dit Heike.
- Ne sois pas si coincé, je n'ai que 15 minutes de retard.
- Tu sais très bien la punition que je réserve à ceux qui sont en retard. Un sourire s'esquisse sur le visage de Toki.
- Tu croies vraiment que je ne me saurai pas me faire pardonner? Lui dis-je en faisant glisser ma main sous la chemise de Heike. Il y eut une étincelle dans ses yeux. Je savais que ce genre de réponses lui plaisait. Car ce qu'il aimait, ce n'était pas tant l'acte, mais la domination qu'elle implique.
En face de moi, Heike était en train de faire ce qu'il aimait le plus : le ligotage. Il m'attacha à l'un des pilier de la salle.
Puis il glissa sa main dans mon pantalon.
- détends-toi. Me chuchota-t-il à l'oreille, d'un ton cynique, avant de la mordre. Puis il me retira son pantalon et souleva mes jambes à hauteur de ses hanches.
-Haaa!
Il n'y allait pas de Main morte ! Il était brusque, mais ça ne me dérangeait pas. Tant que je le laissais me dominer, il faisait de moi une sorte d'idole à l'affut de ses désirs.
Un quart d'heure plus tard, lorsqu'il eut fini, il se tenait devant moi. Il prit le pantalon qui se trouvait sur mes chevilles et me dit :
- Pour ta mission, il s'agit d'un groupe mafieux qui braque une banque. Tu dois les empêcher de tuer les otages. Mais ne traines pas, ta mission devrait déjà avoir commencé. Et il partit en me laissant la… mais j'ai l'habitude, j'ai pris le coup pour me détacher. Et je partis pour ma mission.
Je me rendis vers l'adresse marquée sur le dossier et arrivé là-bas, le silence régnait et l'atmosphère était lourde et pesante. J' étais arrivé au lieu de ma mission.
Je rentrai à l'intérieur. Ce que j'y trouvai n'était autre qu'un charnier de corps -ceux des policiers qui étaient morts en essayant de libérer les otages- avec une odeur si particulière celle de chair cuite. Mais les choses ne faisaient que commencer. un air de déjà-vu me traversa l'esprit .
- Oui, c'est comme ça qu'il…
Clac! Un claquement me sortit de mes pensées. Je me dirigeai vers la source du bruit pour voir ce qui l'avait provoqué.
KAMI
Je le vis entrer dans la banque, il avait une cigarette au bout des lèvres et il afficher un expretion de dédain . Il passa à coté des cadavres, sans même ciller. Tout d'un coup, une expression de détresse se dessina sur son visage. Se souvenait-il? Cette pensée me fit tressaillir.
Je fis tomber l'une des cloisons qui tenaient encore debout. Le bruit que je provoquai le fit se diriger vers moi. Il fallait trouver quelque chose.
TOKI
-Ne me faites pas de mal! Dit une voix tremblante qui provenait de derrière ce qu'il restait d'une cloison. J'y trouvai un garçon d'à peu près mon âge, recroquevillé dans un coin. Il me regarda et dans son regard il y avait quelque chose de familier. Mais je n'avais pas le temps de m'occuper de lui. Je devais d'abord finir mon travail. Je décidais de revenir à lui plus tard.
KAMI
ça avait marché. Il m'avait pris pour l'une des victimes. Mais maintenant il fallait voir si ils pouvaient s'en sortir.
TOKI
Lorsque je montai à l'étage je vis quinze hommes armés en compagnie d'otages croyant que, grâce à ces derniers, ils ne seraient pas inquiétés. L'un d'eux me vit.
- EH LES GARS!!! Il n'eut pas le temps d'en dire plus. Je le tuai avec l'Hydragyrum, mon attaque spéciale. Je n'est pas envie de trener.
- Rendez-vous, ou dans cinq secondes vous êtes morts…
Les autres se tournèrent vers moi et tirèrent des coups de feu inutiles.
- C'est toi qui va mourir! On va te réduire en bouillie!
Les balles qu'ils m'assénerent causèrent leur mort.
- La justice est trop fade pour les ordures que vous êtes. Dit-je en cherchant du regard si il restait d'autre pourriture a faire disparaître.
Ses la qu'un homme, qui se trouvait caché derrière plusieurs otages, se redressa et je compris pourquoi les corps en bas étaient brûlés. Il tenait à la main un bazooka.
-Prends ça, connard! RHAAA!!!
- Les ordures,comme toi..... ça se nettoie.
La charge du bazooka fit une grande explosion derrière moi. Causent un trous béant dans la cloison, qui provoqua un grand souffle de poussière blanche. Mais celui qui le tenait était mort, éventré par le métal de son arme.
KAMI
Je me tenais à l'entrée. d'ici, j'entendais tout ce qui se passait : les tirs des armes et des cris poussait , puis le bruit d'une l'explosion qui fis vacillait les fondation de l'immeuble qui étais déjà dans un sale état… cela ne mènerait à rien, mais j'avais besoin de leur mort pour pouvoir me rapprocher de lui, le code breaker. Même dans mes pensées, ce mot semblait se moquer de moi.
TOKI
Sans me soucier des otages je descendis voir le garçon de tout à l'heure et je le retrouvais là ou je l'avais laissé, comme s'il m'attendait. Sauf qu'il était debout, de dos. Il se retourna et m'adressa un regard rempli de tristesse. Comme une supplication.
KAMI
Quel crétin il fait ! Mais à cet instant, je me rendis compte que ce qu'il voyait n'était pas moi, mais il le voyait lui. A travers mes traits. cela mes insupportable, Et lorsqu'il partit, je le suivis sans qu'il ne me pose de question. Il me fit rentrer chez lui. Cette ressemblance qui me repugnier aller me servir.
TOKI
Il rentra chez moi. Le silence qui régnait commençait à me peser car plus je le regardais, plus je trouvais qu'il lui ressemblait et ça commençait à me gêner, même si cette ressemblance était aussi la raison pour laquelle je l'avais laissé me suivre.
- Tu t'appelles comment?
- Je m'appelle Kami.
Je me mis à rire à l'écoute de ce nom.
- Quel nom spécial! J'espère que tu ne vas pas te transformer et me bouffer.
KAMI
Sa réaction par rapport à mon nom m'avait vexé. C'était mon père, la seule personne que j'avais jamais respectée, qui m'avait nommé ainsi.
- Ne te moque pas de mon nom! Et Toki, ce n'est pas un nom banal, non plus!
Il avais les yeux clos sa tête se reposer sur son poing. Et lorsqu il ouvrit les yeux son regard étais tendre et son visage se teintas d'un sourire bienveillant
TOKI
- Je ne vois pas pourquoi tu t'énerves. Si je rigolais, c'est juste parceque ça m'a fait remonter des souvenirs…
- des souvenirs de quoi?
-des souvenirs dont il ne faut pas parler.
Cette question m'avait énervé, sa main m'avait fait repenser à la belle époque ou je vivais avec ma soeur quand elle me poursuivait dans notre maison avec un aimant à la main, et qui m'appelait son "petit Kami". Souvenir heureux qui me faisait plus de mal que de bien. Au fur et à mesure de la soirée, j'avais entamé la conversation et tout animosité que j'avais pue éprouver avais disparut.
KAMI
Je voyais à son expression qu'il commençait à être vulnérable. Je devais gagner un peu plus sa confiance.
- Pourquoi fais-tu cette tête? Me dit-il en posant sa main sur la mienne.
- Non, ça va. Juste des souvenir qui me hantent.
- C'est par rapport à tout à l'heure ? Je suis désolé de t'avoir remémoré des souvenirs si douloureux.
- Bah, ce n'est rien... j'y aurais sûrement pensé de toutes manières.
Je ne lui en voulais pas mes je voyais en ses yeux que lui aussi il avais des secret qui le pourchassés.
TOKI
J'ai vu tout d'un coup un sourire illuminer son visage. Je crois que j'ai rougi parce qu'il a ri. J'ai ri avec lui. Au cours de la soirée, je lui posai cette question :
- Tu comptes dormir ici?
- Oui, pourquoi, tu ne veux pas?
- Fais comme tu veux.
La nuit tomba. Je préparais le canapé pensant lui laisser mon lit.
- Qu'est-ce que tu fais ? Me demanda t-il.
- Je vais dormir sur le canapé, je te laisse le lit.
Il me regarda avec des yeux bizarrement tendres.
- Tu sais, nous ne sommes plus des enfants, tu vas dormir avec moi! Et il partit dans la chambre.
KAMI
Ma comédie commençait à porter ses fruits. Je le suivis, je m'assis sur le bord du lit. Il fit de même. Et dès qu'il fut à coté de moi, je glissais ma main sous sa chemise. Je sentais son souffle court sur ma nuque. Je me retournai et plongeai mon regard dans le sien.
TOKI
A cet instant, je sus à qui il me faisait penser : à celui que j'avais perdu, et la seule envie qui me traversait était de le consumer dans le foyer d'une passion dévorante.
Je le déshabillai et ôtai mes vêtements. Sur le lit, nos deux corps musclés frottant l'un contre l'autre provoqua une chaleur intense. La sueur perlait comme des diamants sur nos corps. Mon souffle sur son torse et le sien dans ma nuque accentuaient cette sensation, et ses légers gémissements me faisaient frémir de plaisir. Le poid de la couverture posait sur moi me deranger je ne pouvais pas me mouvoir a mas guise. Je la fit voler de dessu moi et elle fini au pied du lit je pouvais alors le contempler, la faible lumière que dégageait la lampe de chevet et la sueur don il était couver fesait brillait son corps. Il me regardait, un frisson le parcourait. Je voulut récupérait la couverture mais il m en as empêchait il m avais prit l'avant bras et son autre main se tenais sur ma nuque,il me tira près de lui .posant sur moi des baisers doux et chaleureux. Après sa il nus plus froid.
Le lendemain matin j'étais couché dans le lit, sa tête posée sur mon torse, une cigarette à la main. A cet instant, je me remplis d'un bonheur que je savais illusoire, car je m'efforçais de revivre une idylle qui s'était finie trop tôt lorsque mon amant avait disparut. Je savais que ça finirait mais que pour le moment il fallait que j'en profite le temps que je pouvais le faire survivre. Aujourd'hui je devais retourner voir Heike pour le compte rendu de ma mission. Je glissai doucement du lit sans réveiller Kami.
KAMI
Ce matin, à mon réveil, il n'était plus là. Je pouvais enfin arrêter cette comédie, mais ce qui commençait à m'étonner, c'est que j'y prenais goût. J'avais enfin trouvé quelqu'un pour combler ma solitude, mais je ne devais pas oublier mon objectif. Et l'heure de la réunion approcher j'allais devoir leur expliquer pour qu'elle reson tout ses hommes étais mort et cela ne m'en chantais gérer.
TOKI
Lors de mon entretien avec Heike:
- Tu me déçois, Toki. Tu n'as pas su tuer ta cible. Mais sais-tu ou elle se trouve, au moins?
- Oui, je compte régler ça demain.
- Bon... mais si tu n'y arrives pas, je devrai faire un rapport.
- Ne t'en fais pas. Une lueur sombre recouvrit mon visage. Ce sera réglé.
-mes en attendant nous avons trouver le lieu de leur rencontre, tu doit finir se que tu as commencer.
-Bien.
Il me fallait bien sa pour m éclaircir les idée.
-tien! Il me tendie un morceaux de papier. Voici l'adresse normalement tu ne devrais rencontrer aucun soucie.
L'endroit indiquer étais une hoberge traditionnelle, une vielle dames en sorti. je la salua.
-bonjour jeune homme vous ete la sûrement pour la réunion. N'es pas? Me demanda t elle en me souriant.
-oui bien sur.
Je lui rendi son sourire. Elle me conduisa a l'arrière de l'hoberge.
-voila ses ici . Elle s'inclina et repartie.
KAMI
Lorsque je fut arriver il étais la. Toki se tenez devant la porte, un aire déterminer torturé son visage, mais comment avais t il pue savoir que nous avions rendez-vous ici? M avais t il découvert? Non ses impossible ou sinon il m aurais éliminer puis il se décida enfin a entrer. Au debut je n'entendie rien, mais le silence fut de courte durait des coup de feux et des crie se mie a en sortir. Mes je ne peu pas rester la je doit m en allais pour ne pas être reperais.
TOKI
J'ouvrit la porte sens me soucier du bruit qu'elle pouvais provoquer, toute les personne présente dans la pièce se retournas vers moi se qui fesais a peut près une vingtaine de personne.
- T est qui toi?
Me demandait un homme en costume qui se trouvais a l'autre bout de la pièce.
Je ne répondait et cela commencera les echaufait, Un foi a l'intérieur tout les hommes de main s'était levait et il me pointait avec les armes qu'il avait en leur posetion.
-Qu es que tu nous veux, gamin?
-Qui ta dit ou nous étions?
Je souri il ne ses doutais aucunement de se qui allers bien pouvoir leur arriver.
-RAAAAAHHHH!
Un homme vêtu d'un kimono se jetas sur moi un couteaux a la main les autre le regarder sans bouger, avant qu'il nu put m atteindre la lames de son armes se tordit et lui entailla la main se qui lui fit lâchait le couteaux des main.
-Qu es que tu fait?
Celui qui dit sa deglutis en se rendent comte de la plaie qui se trouvais sur la main.
-qu.... Que ...comment?
-TIRAIS!!!!!! Se n'est pas un ados comme les autre ses un .... GROOARGH! Tu sang jalli de sa bouche. Il dirigea sa main vers son coup le couteau de mon première a saillant lui avais traversait la nuque sans pour autant qu'il ne meurt sur le coup, les autre me regardaire avec efarement.
-MAIS QU ES QUE VOUS ATENDEZ? TUER LE!!!
Il se mire tous a tirer mes les projectile ne pouvais m atteindre, j'avansais d'un pas lent en direction de l'homme agonisant a qu'elle que pas de moi je me penchas et retira le couteau qu'il avais en travers de la gorge. Le regard qu'il me porta étais extrêmement lourd de remords.
-MES SES QUOI SE MEC??
-SES... SES UN MONTRE!!!!!
KAMI
je ne pue me résoudre a partir sens avoir jeter un yeux je voulais le voir a l'action, et je ne fit pas dessus. Mes ses spectacle me donna envie de vomir, il les éliminer ou plutôt les charcutais. Il avais un couteau a la main son visage n'affichait aucun expretion. Il passer de personne en personne mais il ne les éliminais pas il les blesser, les immobilisais leur soutiren des plainte insupportable ,Comment cela étais t il possible qu'un monstre pareille puise exister? Mes moi je l'elliminerais!
TOKI
Quand je fus rentré à l'appartement, il prenait une douche. Je n'ai pu m'empêcher d'aller le rejoindre.j'avais tout fait pour ne plus pensais a lui même rester en compagnie de ses déchet mes il étais toujours la dans mon esprit. Moi aussi j'en avais grand besoin le sang du carnage que j'avais perpétuer me coller a la peau et sont odeur me degoutais.
L'eau qui coulait le long de son dos faisait ressortir sa musculation. je retirait les vêtement souiller qui me couvrait et entra dans la douche.
Je le plaquai contre la parois de la douche, Je le maintenait tout en lui faisant glissait mon autre main le long de son dos jusqu a ses reins ,je lui fit écarter légèrement les cuisses.
-Hum...
Ce petit gémissement ! Il n'en fallait pas plus pour augmenter encore plus ma soif de désir. Je le pénétrait et il en poussa d'autre. La moiteur suave de nos deux corps en proie à la passion, me trensportais ailleurs loin d'ici de se monde absurde, au moment de l'apogée il tandis le bras pour s'agrippais a la renbarde qui se trouvais sur le haut de la paroi.
quand se fut fini il sorti et moi je me mis a enlevait toute les tache de sang qui avais passer outre mes vêtement. Et la seulement la il réapparu a mon esprit ses geste me rappela tant de souvenirs, des souvenir douloureux pourquoi etaise aussi dur. Je restait la, la tête contre la paroi, je laissait coulait l'eau sur moi en espérant qu'elle emporte avec elle ses souvenir qui me tourmente en même temps que le sang qui souillée ma chaire.
KAMI
Le soir venus je me mis à preparer le dîner . Toki me regardait d'un air mélancolique.
-Qu'est-ce qu'il t'arrive ? Depuis que tu es rentré de ta promenade je te trouve bizarre.
- Demain je dois faire un travail et je voudrais que tu viennes avec moi.
- Si tu veux... c'est quoi comme travail?
- Je te ferai la surprise.
Son aire dure qu'il avais pris au début de cette conversation ne la pas quitter,il étais temps que tout cela finisse.
- Ok.
Je lui souris à nouveau avec cet air enfantin qui lui rappelle tant celui qu'il a perdu.
Cette nuit-là nous sommes restés allonges l'un contre l'autre et cela me suffisait car cette nuit serait la dernière. L'illusion aller prendre fin et cela devais me faire prendre tous l'éclat qui mes due.
TOKI
Le lendemain, lorsque je me réveillai, il n'était plus là. Je me suis demandé pendant un instant s'il n'était pas parti, mais ce n'était pas le cas.
Il se trouvait dans la cuisine.
- Qu'est-ce que tu fais? Je me frottai les yeux à cause de la lumière soudaine.
- Je prépare des sandwich. Comme je ne savais pas ce que tu aimais, j'en ai fait un de chaque. Tu n'auras qu'à choisir.
Il se lécha les doigts, ce qui me provoqua des arrières pensées, mais ce n'était pas le moment. Il était temps de lui montrer qui j'étais et ce que j'avais fait.
- Oui tu as bien fait. Partons tout de suite.
- Quoi, déjà?
- Oui, il y a une longue route à faire.
KAMI
Je savais que cette vie illusoire que j'avais crée allait se terminer et que l'un de nous allait mourir. Le voeux son réserver au enfants mes j'aurais tellement voulut que tous ceci soi vrais et non une mascarade pour nourrir mon ambition.
Le trajet fut long. L'impression de longueur était renforcée par un silence pesant. Le calme avant la tempête. Je regardais par la fenêtre et voyais défiler les paysages, mais ce moment de calme presque irréel allait prendre fin.
TOKI
Kami était plongé dans une rêverie, mais ce n'était plus le moment, nous étions arrivés.
- On est arrivé. J'avais essayé de le dire calmement, mais c'est sorti sèchement.
- Mais qu'est-ce que tu as à faire dans un endroit pareil ?
- Mon travail.
Je fis claquer la portière de la voiture. Juste en face de nous, nous pouvions lire la pancarte d'entrée pour "le cimetière des Camélias".
Nous marchions lentement vers l'endroit fatidique.
KAMI
Cette endroit se ne pouvais pas être une coïncidence, il ses qui je suis mes pourquoi ne me tu t il pas?
Une fois arrivés, je lus le nom qui se trouvait sur la tombe. Je levai les yeux vers Toki et vis son visage froid, dénué de sentiment.
C'est maintenant que tout allait prendre fin.
- Tu croyais vraiment que je ne ferais pas le rapprochement entre toi et Daijin ?
me dit il avec distance.
- Tu savais depuis le début?
- Non. Je ne l'ai pas vu tout de suite, mais j'avais des soupçons et la ressemblance m'a sauté aux yeux lorsque tu m as souris : tu as la même expression que ton frère.
Je me mis à rire d'un rire presque malgré moi.
- Mon frère et moi nous ne nous ressemblions pas.
- Oui, c'est vrai : ton frère ne méritait pas son sort, lui. Mais toi.... toi, tu as osé tuer ton propre frère!
Que comte t il faire a quoi tous cela pouvais bien servir ,mes cela me donne une occasion.
TOKI
Je sentais que mon visage s'était durci.
- Tu parles de lui comme s'il ne méritait pas ce qui lui est arrivé, mais c'était loin d'être un saint !
Me dit Kami en me regardent droit dans les yeux.
- Il n'était peut-être pas un saint, mais tout ce qu'il a fait, il l'a assumé. Même toutes ses erreurs de parcours, il vivait avec.
- Moi je n'ai fait que prendre sa place, mais pour cela il fallait l'éliminer.
- Il ne voulait pas que tu prennes sa place, c'était trop dangereux. Il voulait te protéger et toi qu'est-ce que tu as fait? Tu as prémédité un carnage tout ça pour quoi? De l'argent ? Du pouvoir?
- Non, pour te tuer. Grace à ta mort, je deviendrai l'assassin du code breaker et prendrai la place qui me revient : celui de chef de la pègre. Et pour ça je ferai ce qu'il faut.
KAMI
En disant ça, je sortis un pistolet de ma ceinture et le pointai sur lui.
- Que comptes-tu faire ? Tu sais bien qu'aucune balle ne peut m'atteindre!
- Oui, je sais. Mais uniquement les balles en métal, n'est-ce pas?
Dès qu'il eut fini cette phrase, il tira. BANG!
TOKI
Je ne pus détourner la trajectoire et pris la balle en pleine épaule. Je compris ce qu'il avait voulu dire : cette balle n'était pas ordinaire.
- Tu vois, tu n'es pas si infaillible que ça. Au revoir, Toki!
il me regardais d'un aire conquérant se qui m exaspérés.
- Ce que tu ne sais pas, c'est que le percuteur d'une arme est toujours constitué de métal.
- Et alors, qu'est-ce que tu veux que ça me fasse?
- Oeil pour oeil, dent pour dent... Et pour le mal, le marteau de la justice.
KAMI
-Arrê.... Argh!
Je ne pouvais pas finir ma phrase, durant le temps que j'avais pris à l'écouter, il avait modèle le percuteur de mon arme et l'avait fait traverser ma gorge.
Je m'effondrai au sol et me vidai de mon sang sur la tombe de mon frère.
Toki, lui, me regardait mourir sans détourner le regard. Bien qu'une expretion de tourment le trahisais.
TOKI
J' étais touché à l'épaule, le sang coulait le long de mon bras, mais j'étais soulagé.
Cela avait fait deux ans que je j'avais été à la recherche de l'assassin de Daijin.
Maintenant que justice était faite, je pouvais tourner la page sur cette partie de mon passé. La seule envie qui me traversa l'esprit à ce moment, fut de m'en griller une. Je m'éloignai donc, par cette douce journée de mars, une cigarette entre les lèvres.
FIN
On peut très bien vénérer quelqu’un qui n’est pas du côté du bien. On peut même être conscient de cette noirceur… Mais la préférer à la solitude.
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