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(Aller commentez, on veut la suite *_*)
Gabriel ne connait apparemment pas le sens du terme "déjà en couple" xD ou alors il attend quelque chose d'autre de sa part ? ^^
En tous cas je suis pas sure que mon copain accepte que je fasse un resto en tete a tete avec un autre gars, il m'a l'air bien cool le Luka !
Bref bonne chance pour la suite !!
Ça c'est cool !! (z'avez vu ? un c cédille majuscule !!! Je me suis pris la tête une heure hier soir pour trouver comment on fait XD bref on s'en fout...)
Luka est naïf en effet ^^ trop bon trop con ! XD
Ah ah oui on va faire un fan club de Gab ! X) T'inquiète Louise est solide !
Dans 8 coms
- Qu'est-ce que c'est que ça ??
- Laisse.
Furieux, il s'empresse de cacher son poignet. Mais je ne suis pas du genre à laisser tomber.
- Gabriel...
- Occupe-toi de tes affaires, répond-il d'un ton agressif.
- Eh, ça te dérangerai de répondre, bordel !
J'en ai assez. Je ne le comprends pas. Je pars peut-être au quart de tour, mais je déteste ne pas comprendre. D'ailleurs Gabriel me fixe, les yeux noirs.
- D'où viennent ces marques ? je réitère plus calmement.
- C'est compliqué.
- Tentative de suicide ?
- Ecoute Louise, on en parlera plus tard, d'accord ?
- "Plus tard" ? On ne se reverra pas après !
- Qu'est-ce que tu en sais ?
- Je le sais, c'est tout.
- Ah ! Ah !
Il arrive quand même à rigoler.
Le serveur revient, nos repas sur les bras. Nous mangeons en silence. Cette dispute a jeté un petit froid. C'est étrange, j'ai beaucoup de mal à le cerner. Il a l'air très complexe et renferme un passé terrible. Je veux savoir. Je veux qu'il me dise ce qu'il s'est passé. Je ressens presque le besoin de le connaitre, de savoir qui il est exactement, et surtout pourquoi il cherche mon contact.
Au final je m'étais absentée deux heures. Deux longues heures. Marie m'avait appelée, une autre collègue aussi...
- Je dois y aller, j'annonce en me levant. L'addition s'il vous plait !
- Attends Louise, je...
- J'ai assez trainé. Faut que j'y aille.
J'enfile vite fait ma veste, règle les consommations quand Gabriel s'apprête lui aussi à partir.
- Tu veux que je te raccompagne ?
- Non.
- Tu es dûre avec moi...
Il vient me faire la bise tout en posant une main sur ma hanche, que je retire aussitôt.
- Arrête ça, je lance en sortant.
Sans me retourner, je retourne rapidement au bureau. Je ne veux plus le revoir. C'est trop perturbant. C'est bon, je me suis débarassée de lui, je n'ai pas son numéro, je pense qu'il a compris que je ne voulais pas être avec lui de nouveau. Pourtant j'en crève d'envie. Tout va bien, Louise, tout va bien...
Une fois dans mon bureau, j'ai à peine le temps de sortir le plus vite possible mes affaires que Marie débarque comme une furie.
- Où t'étais, putain ??
Ses yeux me lancent des éclairs. Elle est vraiment en colère...
- J'étais sortie.
- T'es sérieuse ?? T'es sortie ? T'es au courant qu'on est au travail là ?
- Ouais, je sais Marie, je sais. Je n'ai pas trop réfléchie...
- Ah je crois oui ! En plus Jersey est furieux il te cherche partout !
Elle s'approche de moi pour me murmurer :
- C'était qui le mec avec toi ?
- ...
Je ne veux pas lui en parler. Je veux arrêter de penser à lui.
- Un vieil ami.
Son regard sceptique ne me rassure pas. Je sais qu'elle ne me crois pas. Et pourtant, après m'avoir jeté un regard sombre, elle s'en va sans dire un mot de plus. Je déteste quand elle fait ça. Ca veut dire qu'elle a compris que je mentais et je vais lui devoir des explications tôt ou tard.
Je plonge la main dans ma poche pour en sortir mon téléphone quand je sens quelque chose de dûr. Curieuse, j'en sors un billet de cinquante euros et un autre morceau de papier. “Pour le repas, 06 34 76 ** **, Gabriel.”. C'est une blague ?? Il m'a eu !! Je reste un moment interdite devant son numéro de téléphone. Que dois-je en faire ? Le jeter ou le garder ? D'un côté une voix me dit : rends-toi à l'évidence, il y a quelque chose de louche entre vous, tu devrais le garder au cas où. Mais de l'autre, ma raison me rattrape : hé, on a dis qu'il fallait couper les ponts avec lui, ne fais pas l'idiote et surtout ne va pas te fourrer dans des histoires compliquées ! Faut-il toujours écouter la raison ?
- KARDAKOVA !!
Une voix furibonde retentit et je fourre par reflexe le papier et le billet dans ma poche. Jersey défonce la porte de mon bureau, une colère terrible sur le visage.
- OU ETIEZ-VOUS ?
Effrayée, je reste paralysée. Je ne l'ai jamais vu autant en colère. Les deux petites voix dans ma tête sont parties en courant, et me revoilà brutalement face à la réalité.
- J'ai pris ma pause déjeuner.
- ET VOUS REVENEZ A 15 HEURES ? VOUS VOUS FOUTEZ DE MA GUEULE ??
- Non monsieur...
Lui-même ne trouve plus ses mots, ce qui le rend encore plus impressionnant. Une grosse veine bat sur sa tempe, prête à exploser.
- SI CELA VIENT A CE REPRODUIRE PAR LA SUITE VOUS SEREZ VIRE MADEMOISELLE KORJAKOVA, VOUS AVEZ BIEN ENTENDU ?
- Oui, monsieur.
Il sort en claquant violemment la porte.
Gabriel....
Désolé Phoentra je ne sais plus jusqu'où je t'avais envoyé la fic désolé
CHAPITRE 3
What doesn't kill you makes you wish you were dead
Je ne cesse de ruminer. Dois-je vraiment garder son numéro ou non ? Que dirait Luka s'il savait ? Assis tous les deux dans le canapé, mes jambes repliées et ma main dans la sienne, je le regarde. Lui semble absorbé par la télé. Je n'aurais peut-être pas du lui parler de Gabriel, finalement...
- Ça va chérie ? Me dit-il en me voyant perdue dans mes pensées.
- Oui, très bien.
La télé semble moins l'absorber, car il fronce les sourcils :
- Dis donc ce Thomas...
Ah, je m'y attendais. Il fallait bien qu'on en parle.
- Il a des yeux drôlement bizarres, tu ne trouves pas ? On dirait la description de ceux de Gabriel.
Il me fixe maintenant, l'air préoccupé. Je ne veux pas lui mentir. Pas à lui...
- Ah, pourtant ce n'est pas lui.
Ca me fait mal de lui raconter des bobards. Il ne le mérite pas. Je suis en train de faire n'importe quoi à cause de lui. Mais qu'est-ce qu'il me prend !?
- Ca fait longtemps que vous vous connaissez ?
- Depuis la fac, alors ça fait bien cinq ou six ans.
- Ah c'est lui ? Mais je croyais qu'il vivait en Alsace ?
- Il est de passage à Paris, pour voir des amis.
- D'accord...
Quelle menteuse... Autant avec d'autres personnes je peux mentir à gogo pour arriver à mes fins autant avec mes proches c'est vraiment douloureux. Mais Luka ne remarque rien. Heureusement. Honteuse, je me lève pour aller m'enfermer dans la salle de bain. Face au miroir, je détaille mon visage. Je remarque mes traits plus tirés, mon regard moins vif et... Un soudain mal de tête me prends. Ma tête se met à cogner sans raison, et je m'appuie sur le bord du lavabo pour ne pas tomber. Qu'est-ce qu'il m'arrive ? Un drôle de pressentiment me saisit. Mes genoux n'arrivent plus à me porter, et je m'écroule au sol sans bruit. Puis... c'est le trou noir... Mon corps se met à se tordre dans tous les sens, comme pris d'une violente crise. Je n'arrive plus à me contrôler.
Louise...
Une voix résonne dans ma tête, elle ne cesse de répéter mon prénom.
Louise, je t'ai enfin trouvée...
De quoi il parle ?
Puis tout s'arrête aussi soudainement que ça a commencé.
Vidée de mes forces, choquée, je reste effondrée sur le sol de la salle de bain. Qu'est-ce qu'il vient de m'arriver ?
Je crois que j'ai rarement aussi mal dormi. A trois heures du matin, je ne trouve toujours pas le sommeil. A mes côtés, Luka dors tranquillement. Je ne lui ai parlé de rien. Il n'a strictement rien entendu de ce qui c'était passé. Les rayons de la lune, pénétrants par la fenêtre ouverte face à nous, le caressent doucement. Dos à moi, Luka parait fragile. Sa peau est sans défaut, son souffle est apaisant, et ses cheveux sont toujours en train de se faire la guerre. Vêtu d'un simple débardeur, la lumière douce fait ressortir ses muscles délicats. Assise dans le lit, je ne cesse de jeter un coup d'oeil à mon réveil. Le temps défile sans que je n'arrive à fermer les yeux. Agacée, je finis par me lever pour me rendre dans la cuisine pour prendre un verre d'eau. Face à moi la baie vitrée donne sur les toits de Paris. Seulement éclairée par les rayons de la Lune, j'écoute le silence. C'est tellement agréable. Puis mon regard se dirige vers ma veste. Plus précisement vers sa poche. Il y a toujours le numéro de Gabriel, et je ne sais toujours pas quoi en faire. Je vais machinalement le chercher. Une petite voix refait surface : “garde-le”. Mais ma raison s'y mêle de nouveau : “laisse-le, il ne va t'attirer que des ennuis !”. Mais je décide d'écouter mon coeur et je prends mon portable pour enregistrer son numéro... Dans la foulée je lui envoie un modeste “c'est Louise”, histoire de. Je ne m'attendais pas à ce qu'il réponde presque aussitôt : “Je suis content ! ;-)”. Cette réponse m'arrache un sourire, puis je retourne me coucher, un peu apaisée.
Il n'a pas tenu bien longtemps avant de m'envoyer un message. Le matin même, dans le métro, quand j'ai senti mon téléphone vibrer, j'ai tout de suite compris que c'était lui. “Ce soir je t'emmène quelque part. Je viens te chercher quand tu débauches”. Etonnée par cette prise d'aise, je lui réponds aussitôt que c'est hors de question. Mais : “Je ne te laisse pas le choix”. Hum. Je n'ai pas répondu.
- Alors comment ça s'est passé ?
- Mal.
Marie ne parait pas plus surprise que ça. Elle prend son café brûlant sans un mot.
- Mais quelle idée aussi de partir pendant deux heures en pleine journée !
- C'est pas toi qui va me faire la morale, hein !
Tout à coup elle m'arrache mon café des mains et le boit sans autre forme de procès.
- Hey !
- T'avais qu'à te taire.
Je suis abasourdie. Un rictus m'échappe. Quelle tigresse !
- Et il t'a dit quoi exactement ?
- Que si je recommençais je serais virée.
- Tu m'étonnes... T'as déjà de la chance qu'il ne t'ai pas déjà virée !
- Hum... Tu me repayes un café ?
- Dans tes rêves cocotte !
Elle rit et prends son sac, prête à partir.
- Tu viens ?
- Je... désolé je ne prends pas le métro maintenant.
- Tu sors ?
- Oui.
Elle m'adresse un regard étrange.
- Louise...
- Non, non, non, ne me fais pas de discourt s'il te plait !
Son air sérieux me met mal à l'aise.
- Fait gaffe, c'est tout. Va pas tout gâcher.
Elle me dévisage quelques secondes avant de s'en aller.
Il est six heures. Je patiente devant mon travail, pensive. C'est pas une bonne idée. Je le sais, c'est ça le pire ! Où est-ce qu'il veut m'emmener encore ? Pourquoi est-il aussi persistant ! Ça devient bizarre... Le pire dans tout ça c'est que je me suis changée pour lui... (oui, j'ai toujours une tenue de rechange au cas où). Me voici donc vêtue d'un jean bleu très clair, d'un débardeur blanc et d'une paire d'escarpins rouge.
- Salut.
Je me retourne vivement, surprise. Il se tenait derrière moi, les mains dans les poches de son blouson, l'air serein.
- Bonsoir.
- Allez, on y va, ne traînons pas.
Il me prends par le poignet et m'emmène vers une sublime Audi R8 E-tron noire. Stupéfaite, je ne peux m'empêcher de m'exclamer :
- Eh bien dis moi la vie est belle !
- Tu n'imagines pas tout ce que j'ai fais pour pouvoir me l'acheter !
Il affiche un large sourire. C'est sûr qu'il doit être heureux !
Il démarre la voiture et pars... je ne sais où. C'est étrange cette confiance que je lui accorde.
- Alors, où on va ? je demande enfin.
- Chez moi.
- Pardon ?
Chez lui ? Mais je n'ai pas du tout envie d'aller chez lui ! Qui sait ce qui pourrait ... non ! C'est hors de question !
- Ne vas pas commencer à penser à des choses déplacées, on va juste changer de fringues.
- Pour quoi faire ?
- Tu verras.
Un sourire mystérieux naît sur ses lèvres. Pour ma part, ma première réaction fut de froncer les sourcils et de regarder dehors.
C'est seulement maintenant que je prends réellement conscience de l'aura qu'il dégage. Une image très mystérieuse. Il a un côté malsain et calculateur qui m'intrigue réellement. Et puis il y a son odeur... Puissante, sauvage et très masculine. Le genre d'odeur qui fait craquer les gamines.
- T'as une copine, toi ? je lance sans réfléchir.
Je regrette aussitôt ma question spontanée. Gabriel éclate de rire.
- Ah ah ! Non je n'ai pas de copine non. Pourquoi tu me demandes ça ?
Et voila. Il fallait bien que je fasse une bourde un jour ou l'autre, que je trouve un moyen de me mettre dans le pétrin. Eh bien voilà qui est fait.
- Je te demande juste par curiosité, ne va pas croire que tu que m’intéresses.
Gabriel eut un rictus.
- La vache, c'était méchant ça !
- Quoi, c'est vrai.
- J'aime ta franchise, Louise.
Nous n'échangeons plus un mot jusqu'à chez lui, à vingt minutes de là. Il vit dans une maison modeste, de taille moyenne. Rien de bien extraordinaire : un salon bien décoré, une cuisine américaine, un beau jardin, une salle de bain assez vaste. Mais il ne me montra pas les chambres, même pas leur emplacement. Je n'ose pas en parler.
- Tes affaires sont dans la deuxième salle de bain, au bout du couloir. Tu as un quart d'heure, après on part.
- Tu peux m'expliquer ce qu'on fait ? Luka m'attends !
- Trop tard. Et je t'ai déjà dit que tu verras plus tard.
Je soupire et file m'enfermer dans la salle de bain. Un vêtement est accroché : je découvre une sublime robe noire sans manche, toute en dentelle, avec seulement un tissu noir dessous qui me fait un bandeau sur la poitrine et part en évasé à partir de la ceinture. Un collant voilé très fin attend près d'escarpins hauts noirs. Je suis partagée entre le désir de l'enfiler ou de crier à Gabriel qu'il est hors de question que je sorte comme ça. Mais je sais qu'il va m'engueuler sévère si je ne le fais pas, alors j'enfile le tout, sans oublier de travailler un petit peu ma coiffure. Après m'être coiffée et maquillée (merci mon sac à main avec une trousse de maquillage au cas où), je m'observe dans le miroir. La robe est vraiment courte quand même... Ça me fait des jambes encore plus longues que d'habitude, et j'avoue que cela donne bien. Tout de même pas ultra à l'aise sur les escarpins neufs, je... neuf ? Ce mot tilte dans ma tête. Tous ces vêtements sont neufs ? Il les a achetés exprès pour moi ? Ces phrases tournent dans ma tête tandis que je reviens vers le salon, mais... merde, ici c'est l'autre salle de bain. Où est le salon ? Perdue, j'ouvre une porte au hasard, quand soudain je m'arrête net : la chambre. Bouche bée, j'avance un peu : la pièce est remplie d'objets bizarres... Les murs sont gris foncé, un tapis rouge sang s'étale sur le sol, où sont dessinés des symboles incompréhensibles. Sur le mur du fond, une sorte de bouc étrange dans une étoile est peint. Une commode s'aligne le long d'un mur, jonchée de bougies de toutes sortes, ainsi que des pierres. Une longue robe noire est accrochées dans un coin, une cloche se tient sur une table, et d'épais rideau noir empêche la quasi totalité de la lumière de passer. Un lit est posé sommairement dans un coin de la pièce immense. Cette pièce dégage une force sombre qui m'effraye : je ferme la porte, le cœur battant à toute allure.
- Louise !
La voix de Gabriel retentit, et je m'écarte rapidement de la chambre, en état de choc. Il vient dans le couloir, visiblement agacé. Instinctivement je me précipite dans le salon, rassurée par la lumière. Je viens de découvrir quelque chose de terrible...
- Je t'avais dit un quart d'heure ! On est en retard, maintenant !
Il s'active à faire je ne sais quoi quand il pile tout-à-coup en m'inspectant de la tête aux pieds. Son regard sur moi est assez insistant, mais ça ne me gêne pas vraiment.
- Ça te va très bien, me dit-il doucement avant de fermer la porte à clefs.
- Merci... Tu es... très classe.
Il me sourit deux secondes puis démarre la voiture. Il est vêtu d'un costard noir basique, mais à la coupe parfaite qui lui colle au corps. On ne remarque presque que sa carrure et ses yeux. Il n'a toujours pas réussi à dompter ses cheveux, ce qui le rend encore plus... rude. Soudain une sonnerie de téléphone m'arrache de ma contemplation.
- Allo ?
- Louise ? Tout va bien ?
- Salut chéri, je réponds à Luka.
Un sourire illumine mon visage. Luka...
- Tout va bien, ne t'inquiète pas pour moi.
- Tu as loupé ton métro ? Je peux venir te chercher si tu veux je viens de débaucher.
- Oh...
Je suis gênée. Je n'avais pas vraiment prévu qu'il m'appelle, et je me sens encore obligée de lui mentir. Quelle idiote je suis...
- En fait je ne sais pas si je vais rentrer ce soir...
- Quoi ?
- Je... je suis avec des collègues qui me font une surprise et... je ne sais pas où elles m'emmènent.
Un silence radio me répond.
- Et tu avais l'intention de me prévenir un jour ? me dit-il finalement d'un ton de reproche.
- Bien sûr Luka ! Je suis désolée, elles ne m'ont pas laissé trop le temps jusque là.
Je sens sa tristesse malgré son silence. Je m'en veux ... mon cœur se serre.
- Bon, eh bien dans ce cas amuse-toi bien.
Et il raccroche avant que je n'ai le temps de répliquer. Je ne peux m'empêcher de me mordre violemment la lèvre. A côté de moi, Gabriel ne pipe pas un mot. Même si au bout d'un moment le silence devient trop lourd :
Ah cool t'as repris !
J'ai trop de la peine pour Luka ! Mais je sais pourquoi je sens qu'il va finir par devenir important pour l'histoire ^^
Un bouc, une étoile (pentacle?) ... Je commence à me douter dans quel genre d'affaires trempe Gabriel et ça sent pas vraiment bon pour Louise ...
Vivement la suite !!
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