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Asclepios

Pour fêter mon 1000ème post, je vais vous faire part d'un projet qui me tient depuis longtemps à cœur ma BD d'Héroic Fantasy "L'Elfe Grise" ( je repompe la présentation d'en des projet de Kinkgirl )

Présentation générale :

Titre : L'Elfe Grise
Genre :Heroic Heroic Fantasy/Dark Fantasy.
Public : Adolescent, adulte.
Format : Série.
Style recherché :  Manga, européen (le style importe peu du moment qu'il y ait un minimum de talent).
Inspirations : "Les Chroniques de la guerre de Lodoss" "Le Seigneur des Annaux"  "Dragon Quest : La quête de Dai" "Warcraft" "Diablo II" "The legend of Zelda" "Saint Seiya" "Babylon 5"

Pitch : Les tribulation de Brise Matinal, jeune et marginale princesse Elfe qui a quitté son son royaume  pour partir à l'aventure qui se transformera en quête de vengeance.

Premier Chapitre de la version Roman

L'ELFE GRISE

Chapitre 1 : Rencontre dans le sang

Jadis le royaume de Nomchi était une resplendissante nation. Il pouvait se targuer d'être le joyau culturel du continent de Laventry. Hélas, il ne reste aujourd'hui plus rien de cette fière nation de philosophes, artistes et hommes de sciences, et où le plus humble des sujets pouvait gratuitement apprendre à lire, écrire, et compter. Tout cela disparut suite à la longue et épouvante guerre qui secoua le pays deux siècles auparavant et qui dura cent ans. Une guerre contre un ennemi aussi inattendu que violent, une guerre contre un ennemi qui fut jadis un ami et que l'on croyait pacifique, une guerre contre les Elfes. Nul ne sait pourquoi, mais un beau jour les Elfes vivant dans les bois mitoyens du royaume attaquèrent les humains sans crier gare. Les campagnes tombèrent rapidement, mais les villes résistèrent le temps que des renforts arrivent et repoussent les Elfes dans leurs forêts. Cela aurait pu marquer la fin de la guerre, mais le roi Yçak, courroucé par cette agression, décida que ses voisins sylvestres devraient payer le prix fort pour leur offensive. Affin d'éliminer l'assaillant il décida que toutes les forces vives du pays devaient alors participer à l'effort de guerre. Les philosophes se firent alors stratèges, les hommes de sciences se mirent à inventer des machines de guerre, et les artistes s'engagèrent à remonter le moral des troupes. Quant aux écoles, elles devinrent militaire. Bien sûr plusieurs voix se levèrent contre cette décision, mais dans sa folie vengeresse le souverain les fit exécuter. Évidemment, combattre les Elfes dans leur domaine fut une erreur. Chaque soldat qui pénétrait dans les bois était automatiquement mis à mort par les armes et les pouvoirs ennemis. Le conflit s'enlisa et lorsque le roi atteignit le crépuscule de sa vie, les troupes étaient toujours poster aux lisières des forêts. Sa mort aurait pu enfin marquer la fin des hostilités, mais Yçak fit promettre à son fils Markus de continuer la guerre. Une fois roi, Markus comprit rapidement l'inutilité du conflit mais était piégé par son serment et fut contraint de le poursuivre jusqu'à la fin de sa vie. Mais plus sage que feu son père, il fit promettre à son hériter de cesser ces combats stériles. La guerre s'arrêta donc sans explication comme elle avait commencé et après cents années de conflit, le pays se retrouva irrémédiablement appauvrit sur le plan financier et culturel. Nomchi commença alors sa rapide déchéance. La longue guerre avait plongé tout le peuple dans l'obscurantisme, la haine des Elfes s'était insinuée dans le cœur de tous les citoyens, et les soldats mécontents de ce conflit sans vainqueur ni vaincu se révoltèrent et firent un coup d'état. Mais les rebelles ne gardèrent pas le pouvoir longtemps car une autre faction renégate les chassèrent. Depuis lors, le pays est en constante guerre civile, subissant coup d'état sur coup d'état, et faisant le bonheur des mercenaires et des bandits de toutes les nations avoisinantes et que l'on pouvaient trouver dans n'importe quel bouge. La taverne de l'Écorché Joyeux était un de ces coupe gorge, c'était même le pire de cette nation décadente. Tous ses clients étaient sans fois ni lois, et les tenanciers étaient probablement les pires de tous. Voleurs, assassins, violeurs, mercenaires, receleurs … Toute la lie des environs s'y retrouvaient pour dépenser leur argent acquit de façon peu scrupuleuse et souvent taché de sang. Tous attendaient bruyamment le spectacle qui les réjouissait tous les soirs depuis une dizaine d'années et qui avait fait doubler le prix des consommations.
Il y avait cependant un homme qui dépareillait avec toute cette clique. Ces habits simples mais non élimés et surtout propre, et son épée de très bonne facture montraient bien qu'il ne venait pas du même monde. Il sommait Morden et c'était un jeune noble du royaume qui, sans savoir de quoi il s'agissait, avait entendu parlé du spectacle et qui était venu par curiosité.
Soudain, alors que la bruyante liesse battait son plein, un lourd silence s'imposa. Il commença au niveau de l'entrée et tout le monde se retournant pour en savoir la cause, il se répandit dans tout l'établissement. Quant à l'origine de cet assourdissant mutisme, c'était l'apparition d'un nouveau client. Mais ce n'était évidemment pas un client comme les autres. Premièrement, il s'agissait d'une femme, bien que sa longue cape d'ébène bordé de runes dorées cachait sa physionomie, sa silhouette, sa démarche, et les rondeurs au niveau de sa poitrine trahissaient son genre. Et une femme venant seule dans ce bouge ne pouvait que susciter l'étonnement. Mais plus important encore, il émanait d'elle une puissante aura de danger ; et chez les pires crapules sentir le danger est une seconde nature car c'est le seul moyen de survie dans ce monde sans foi ni loi.
D'un pas léger, si léger qu'on avait l'impression qu'elle marchait sur l'air, et assurer la femme mystérieuse s'approcha de la table la plus proche. Tout le monde s'écarta de son chemin comme si une barrière invisible l'entourait et repoussait les badauds. La table se vida lorsqu'elle s'y installa et elle se servit dans les plats abandonnés.
Voyant qu'elle était affairée à manger, tout le monde retourna à ses précédentes occupations comme si rien ne s'était passé. Seul le vide de deux mètres autour de la table de la femme rappelait sa présence. Morden par contre faisait encore exception en la regardant avec curiosité et fascination. En voyant la réaction des autres, il se doutait bien que ce n'était pas une femme normale, mais il ne pouvait s'empêcher de se demander en quoi elle était effrayante. Était-elle une guerrière d'exception ? Une puissante magicienne ? Une redoutable sorcière ? Une inquiétante nécromancienne ? Était-elle seulement humaine ? Il irait bien lui poser la question s'il ne craignait pas pour sa vie. Il se contenta donc de l'observer et de se perdre en hypothèses jusqu'à ce que le bruit d'une cloche annonçant le début du spectacle pour lequel il était venu détourne son attention.
-Attention bandes de raclures, éructa le tavernier, comme tous les soirs  voici l'heure de vider vos bourses afin que l'un d'entre vous ait le plaisir de venger nos ancêtres tués par ces foutues oreilles pointus !
Tous les clients se mirent à lancer le même hurlement de joie tendis que le tenancier tira à lui une frêle silhouette. Seuls la mystérieuse femme et le noble restèrent calme.
-Pour les nouveaux, repris le tavernier après avoir réclamer le silence d'un autre coup de cloche, ou ceux qui sont trop saouls pour se souvenir des règles, je rappelle qu'il est interdit de tuer. Maintenant les enchères sont ouvertes !
Morden serrait les poings sur sa chaise, il venait de comprendre ce qu'il se passait. Le tavernier avait d'une façon ou d'une autre trouvé un elfe et faisait payer à qui voulait le droit de le molester. C'était révoltant, même après le lourd contentieux entre les deux races cette attitude était indigne d'êtres humains, d'autant plus indigne que l'elfe ne semblait pas être plus âgé de quinze ans. Il aurait voulu faire quelque chose pour porter secours à cet enfant, mais il savait que tout ce qu'il tenterait serait voué à l'échec. Mais alors qu'il maudissait son impuissance, plusieurs râles étranges attirèrent son attention. Et lorsqu'il tourna la tête, ce fit pour voir cinq badauds gisant dans leur sang et debout à leurs pieds, la mystérieuse femme une épée à la main. Tout le monde avait assisté à la scène, et tous les clients sortir leurs armes pour se jeter sur l'agresseur. Nullement impressionnée, la femme fondit dans la foule tailladant quiconque était dans son champ de vision pour ne pas dire tout le monde. Le noble était déconcerter devant le spectacle de se massacre. Cette femme se taillait un chemin parmi ses assaillants comme s'il s'agissait de hautes herbes et d'une façon si naturelle et élégante qu'elle donnait l'impression de danser. Morden finissait même par se demander si elle n'était une divinité de la mort. Cet aspect surnaturel était d'ailleurs renforcer par le fait que pas une tache de sang ne souillait son habit et qu'aucun des coup de lame que ses victimes, pourtant, en nombre, lui avaient asséné pour se défendre ou attaquer ne l'avaient atteinte. Elle s'approcha du tavernier, le décapita et prit l'elfe dans sa main libre, lequel elfe la suivit sans se poser de question. Les quelques survivants qui n'avaient pas fuient se ruèrent encore sur elle mais même en protégeant l'enfant elle semblait invincible. Morden ne pouvait s'empêcher de regarder ce sanglant spectacle émerveillé. Mais la peur le glaça soudain lorsque la femme se dirigea vers lui. La raison, et l'instinct de survie surtout, lui commandaient de fuir, mais il était tétanisé sur son siège, incapable d'esquisser le moindre mouvement. La femme continua à s'approcher tout en épaulant l'elfe qui se laissait guider et ne semblait aucunement touché par ce qui l'entourait, et passa à coté de lui sans même lui prêter un regard, comme s'il n'était pas là. Lors du court moment où ils se croisèrent, le jeune homme portat son attention sur l'elfe autant qu'il le put car c'était la première fois qu'il en voyait un. Il pu donc se rendre compte que c'était une femelle, mais surtout à son regard vague qu'elle était sans aucun doute droguée ce qui expliquait son apathie. En revanche, mêmes s'il en était heureux, il ne comprenait pas pourquoi la meurtrière l'épargnait. Était-ce parce qu'il était le seul à ne pas l'avoir attaquée ? Avait-elle senti que ses intentions n'étaient pas aussi mauvaises que celles de ses victimes ? Était-il trop insignifiant pour elle ? Ou était-ce juste un caprice de sa part ? Qu'elle qu'en était la raison, il remerciait la Déesse Lumineuse d'avoir été épargné. Mais malgré sa survie, son corps demeurait crispé comme s'il redoutait un retour de la tueuse décidant finalement de ne laisser aucun survivant. Morden resta donc ainsi immobile jusqu'à ce que les premières lueurs de l'aube traversent les fenêtres et viennent carresser sa peau. Ce n'est qu'à cette unique stimulus que ses muscles se détendirent enfin et que son esprit put reprendre le contrôle de son corps. C'était comme si un sortilège venait de se dissiper. Lentement, Morden se leva de sa chaise et étira calmement ses membres. Il ne prêtait pas attention aux corps qui jonchaient le sol ; ou plutôt les ayant eu sous les yeux toute la nuit il s'était habitué à ce macabre spectacle n'y prêtait plus aucune attention. En fait ce qui le tracassait le plus était ce qu'il pourrait bien raconter à son père pour lui expliquer son escapade nocturne. Il ne voulait pas lui mentire, mais la vérité était si extraordinaire qu'elle ressemblait à un bobard aussi gros que leur demeure. Le fait même de dire qu'il avait vu un elfe dans ce pays qui leur était ouvertement  hostile était en soit une affirmation incroyable au sens propre. Le plus crédible était d'affirmer qu'il était sortit courir la gueuse et qu'enivré par la luxure il n'avait pas vu le temps passé. Son père serait sans doute déçu par cette attitude, mais il préférait passer au près de lui pour un jouisseur plutôt que pour un menteur. L'esprit apaisé et les membres désanquilosés, Morden se dirigea vers la sortie de l'auberge. Malheureusement, à peine eut-il passé le pas de la porte qu'il se trouva face à une épée dont la pointe était dirigée sur sa gorge, et le pire que tout, la lame était tenue par la meurtrière. Que faisait-elle donc ici ? Était-elle revenue pour faire disparaître les traces de sont massacre ? Elle n'avait quand même pas attendu tout ce temps là dehors dans le seule but sadique d'éliminer sa dernière victime au moment où elle se croirait en sécurité ?
-Pourquoi ?

Pour la première fois la femme sortait de son mutisme. Le ton de sa voix était à la fois sévère et doux, comme une mère grondant son enfant qui venait de faire une bêtise mais tout en sachant que certaines erreurs doivent être commises pour ne plus être répétés.
Pou ... Pourquoi quoi ? Balbutia Morden.
Pourquoi n'as-tu pas sauvé cette jeune elfe alors que tu en avais envie ?

La pointe de l'épée entailla légèrement le cou du noble lui faisant comprendre que tout mensonge serait deviné et puni de mort.
-Parce que je savais que quoi que je fasse pour lui venir en aide je ne m'en serais pas tiré vivant, et je ne peux pas me permettre de mourir avant d'avoir un héritier à qui transmettre mon rêve. Sinon croyez bien que j'aurais volé à son secours au péril de ma vie !
-Et quel est se rêve ?
-Rendre à ma patrie sa gloire passée que je n'ai jamais connue ! Moi et quelques comparses préparons depuis quelque temps déjà le plan qui redorera le blason de Nomchi. C'est un travail qui prendra plusieurs générations, et je veux que tous mes descendants y participe même de la façon la plus humble qu'elle soit.

La mystérieuse femme cessa de menacer Morden et rangea son épée dans sa cape avant de faire volte face et commencer à repartir.
-C'est un beau et noble rêve, je te pardonne de lui avoir sacrifié le bonheur d'une innocente.

Alors que son agresseur se retirait, Morden ressenti en lui une monté d'orgueil et de frustration qui dissipa la peur qui l'étreignait tantôt. Tout aussi dangereuse qu'elle soit, de quelle droit cette femme se permettait de le traiter de cette façon et de disparaître sans aucune explication ?
-Mais c'est quoi tout ce cirque ?! Pourquoi toutes cette mise en scène ? Pourquoi ne pas m'avoir interrogé lorsque j'étais encore immobile dans l'auberge ? Qui êtes vous à la fin ?!

La femme s'arrêta et se retourna de nouveau.
-Mes actions ne regardent que moi enfant, mais en dédommagement des épreuves subits, je vais répondre à ta dernière question.

La femme ôta sa capuche laissant s'échapper une longue et lumineuse chevelure irisé qui flottait dans les airs sans qu'aucun souffle de vent ne soit pourtant la pour les porter et qui cachaient les traits de son visage. Et défaisant le reste de la cape, elle montra un corps couvert de chaînes scintillantes et dont chaque maillon émettait un son cristallin différent de l'autre.
A cette vision Morden sut qui était en face de lui, c'était la Forgeuse de Destin, la Mère des Champions, la Voyageuse Éternelle, l'Enfant du Grand Oublie, la Nomade du Temps celle qui avait tant de nom que l'on ne pouvait pas la nommer et que le jeune homme connaissait sous l'identité de la Faiseuse de Héros. Devant la vision de cette entité quasi divine, le noble s'agenouilla en regardant le sol en signe d'humilité devant cette auguste personne.
-Relève toi Morden fils de Maiden.

Morden obtempéra, mais lorsqu'il leva la tête la Faiseuse s'était volatilisée. Il ne restait que pour toute trace de sa présence qu'un objet brillant là où elle se tenait quelque instant plus tôt. Le jeune homme s'approcha intrigué et s’aperçut que c'était un maillon de chaîne, un de ceux que la faiseuse remettait à ses protégés. Maiden savait qu'il n'était pas de ceux là et que donc cet artéfact inestimable ne lui revenait pas. Mais il se sentait irrémédiablement attiré par lui, et sans même s'en rendre compte il s'en était saisi. En ouvrant la main pour l'admirer de plus prêt, il avait disparu aussi mystérieusement que sa propriétaire, et tout comme cette dernière il avait laisser une trace, et celle la semblait indélébile. En effet, sa paume était à présent maculé d'une marque représentant un maillon. Des larmes de gratitude coulèrent de ses yeux, en plus de s'être démasqué devant lui, la Faiseuse avait donner au jeune noble la preuve que tout ce qui c'était passé cette nuit était vrai et qu'il n'aurait pas à mentir à son père qu'il respectait plus que tout et qui lui avait inspiré son rêve quant il lui racontait ses histoire du passé glorieux du royaume.

Personnages principaux

Brise Matinale

Exemple graphique

âge : 200 ans

Bio : Jeune princesse elfe des bois de Gissatutra, elle fut enlevé bébé par l'elfe noir Mal In Drin, après l'assassina de ses parents, pour l'abandonné dans le royaume humain de Nomchi qui hait les elfes. Elle passa les 15 première années de sa vie à être molestée avant d'être sauvé par La Faiseuse qui la pris sous son aile durant un siècle avant de la rendre à son peuple. Mais  cent ans plus tard, n'arrivant pas à s’acclimater et se sentant incapable de représenter son peuple, elle décida de partir en exil.

La Faiseuse

Exemple graphique

(dessin par Oizofu)

âge : Non applicable

Bio : La Faiseuse de Héros, connue aussi sous les noms de la Forgeuse de Destin, la Mère des Champions, la Voyageuse Eternelle, l'Enfant du Grand Oublie, la Nomade du Temps, Celle qui avait tant de nom que l'on ne pouvait pas la nommer. La Faiseuse donc est une entité qui parcourt le monde depuis au moins le Grand Oubli et qui prend sous son aile des enfants, souvent orphelins, de toutes les races et qu'elle instruit selon le feeling, au maniement d'arme, magie, combat au corps à corps, ingénierie, ect ect. Une fois la formation d'un de ses protéger terminé, elle lui remet un maillon de sa chaine et en l'acceptant son pupille s’engage a transmettre à son tour le savoir qu'il a reçu. Après cela, la Faiseuse repart à la recherche d'un nouvel élève. Cependant très attaché à ses pupilles elle réapparait parfois dans leur vie, stout quant ils sont sur le point de faire un choix crucial.

Objets spéciaux :

L'Oeil de Korta : Rubis sphérique de la taille d'un œil humain, il ornait jadis le visage borgne de l'orc Korta OrcNaHarg reconnu comme le plus grand guerrier de tout les temps par toutes les races, même les dragons. On raconte que la pierre précieuse a recueilli l'âme du combattant et que quiconque la possèderait deviendrait invincible.

Les annaux fourreaux

Cercles de métal magiques qui rendent émoussées les lames qui les traverses et leurs rendent leur tranchant quant ont les y retirent.

Lieux spéciaux :

Les Forges d'Ireas : La Grande Forge des Nains qui fait aussi office de palais royale

La plaine de Usurat : Lieu de rassemblement des Orcs quant vent le moment d'élire leur nouveau chef spirituel

La cité état de Nimige : Dite cité au deux rois, elle est le siège de la guilde des voleurs du Phoenix ardent qui a la main mise sur tout les actes délictueux de la ville.

La citadelle de Necra : Lieu de formation des Nécromanciens

La forteresse de Oel : Lieu de formation des paladins de la Déesse Lumineuse

La ville sainte de Vogir : Lieu de résidence du Grand Pontif, représentant de la Déesse Lumineuse

La Grande Bibliothèque de Rabil : Lieu où tout le savoir des humains depuis le Grand Oubli est réuni.

Le Tribunal de Pusicros : C'est là que sont édicté les lois qui régissent la majorité des royaumes humains du continent de Laventri.

La Forêt de Gissatutra : La plus grande étendu d'arbre du continent de Laventry C'est également là que vie la plus grande population d'elfes.

L'Arsenal de Ranicopris : citée humaine cherchant à rivaliser avec l'art de la forge des nains

Uisarqua : Pays aux neiges millénaires

la Caravane Sipequis : Caravane dont la population rivalise avec certaines grandes citées humaines, elle parcourt sans relâche le Désert de la Reine Morte.

Piosh Cuhu : Cité mythique qui, dit-on, aurais échappé au Grand Oublie. Nombreux sont ceux qui l'ont recherché, mais personne ne l'a encore trouvé.

Last edited by Asclepios (17 Feb, 2012 20:49:36)

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sexe sans sentiments n'est que ruine de l'âme ♥♥♥

Je n'aime pas les plokes

ranlemangaka

quand jai lu inspiré par zelda, et quand jai vu le perso. sa ma fait directement pensée à çà

abby19

Bien, comme tu me l'avais demandé sur le post de la fantasy, je vais te donner mon avis sur ton histoire. (Il est tard et si je dis des choses parfois incohérente, je te pris de me reprendre.)

Tout d'abord, la forme. Ton chapitre est bien écris, mais il y a quelques fautes d'orthographes et pas mal de redondance qui le rendent un peu longuet à mon goût (mais, c'est juste une opinion personnelle.)

Ensuite, le fond.
D'abord des questions au niveau du "background" (aka la première partie racontant l'histoire du royaume)

- Il y a un énorme décalage entre ton pitch et ton chapitre 1. Dans ton pitch, l'héroïne est présentée comme étant Brise Matinale, sauf qu'il n'en ai fait mention nulle part. Pour moi, à partir de ce que j'ai lu dans ton chapitre1, Morden est le héros, désigné par la déesse, à qui il va arriver tout pleins d'aventures différentes.

- Au niveau du début de l'histoire et de la guerre avec les elfes.

Nul ne sait pourquoi, mais un beau jour les Elfes vivant dans les bois mitoyens du royaume attaquèrent les humains sans crier gare.

Une guerre ne démarre jamais sans raison. Il y a toujours une successions d'actions qui font qu'un pays entre en guerre contre un autre. Surtout que dans une guerre, il faut des armements... La question est : "Pourquoi après une entente cordiale de plusieurs siècles entre les humains et les elfes, ces derniers veulent les éradiquer?"

- J'ai eu du mal à comprendre que Nomchi était le nom du royaume humain? et qu'il était attaqué par les elfes. Enfin, j'ai du relire plusieurs fois les premiers paragraphes pour comprendre (peut-être est-ce moi qui suis idiote, aussi, c'est possible! ^^)
- J'ai une autre question! (Moi, chiante, non! A peine... >.<) Pourquoi Markus ne peut se délier de son serment? On peut faire une promesse à un mourant la tenir ensuite, c'est fort possible. Qu'est ce qui fait que cette promesse est si spéciale?

-(En fait, je crois que j'ai pas compris le déroulement de la guerre... >.<) Pourquoi les humains ont peur des elfes? Qu'ont fait les elfes pendant le conflit? Et surtout pourquoi la nation est plongée dans l'obscurantisme seulement à cause des elfes à la lisière de la forêt? et surtout pourquoi cette guerre civile? (Dis-moi, si j'ai loupé un truc vraiment vraiment important! Parce que j'ai bien l'impression d'avoir loupé un truc important!)

                                                              *

Ensuite,la seconde partie, celle de la taverne. (Je sens que tu regrettes déjà de m'avoir demander mon avis [au pire, si t'es pas content, je supprime mon post, c'est pas un soucis!^^])

- Le fait que Morden vienne dans la taverne "juste" pour voir ce qu'il s'y passe me gène un peu (beaucoup, même!), sur deux points essentiels :
     - On ne va pas dans un coupe-gorges juste pour voir. Soit on y va par rébellion contre une autorité qui a interdit d'y aller (parent, institution...), soit on y va parce qu'on a des affaires à régler (ou des mercenaires à trouver pour une mission).
     - C'est un Noble, habillé en Noble dans un endroit rempli de voleur et autres petites frappes. Il n'aurait même pas dû rester cinq secondes en vie dans cet endroit. Même s'il est habile de l'épée, lutter contre cinquante hommes n'est pas chose facile.

- Aussi, Morden est resté immobile une partie de la nuit à cause du spectacle de la boucherie de la meurtrière... J'avoue ne pas comprendre sa réaction. Soit, cet homme est une petite nature auquel cas la stupeur aurait durée quelques secondes avant qu'il ne prenne ces jambes à son cou (être entouré de cadavres, je dois bien avouer que ça doit être fort déplaisant). Soit il a l'habitude des cadavres et il s'en moque et s'en va. Mais, personnellement, je ne laisserais pas mon personnage assit pendant des heures au milieu des cadavres. (Après, je chipote certainement).

Pfiou! Je vais m'arrêter là pour ce soir, parce que je commence à fatiguer! ^^ Y a certainement deux ou trois petites choses que j'ai pas vu! (Ou pas, parce que ton texte est quand même vachement bien! ^^)

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"Un baiser ça peut être mortel si on y met tout son cœur" Batman, le défi
"La vie ne vaut pas la peine d'être vécue si on ne la vit pas comme un rêve" Le monde ne suffit pas

Asclepios

Bien, comme tu me l'avais demandé sur le post de la fantasy, je vais te donner mon avis sur ton histoire. (Il est tard et si je dis des choses parfois incohérente, je te pris de me reprendre.)

Tout d'abord, la forme. Ton chapitre est bien écris, mais il y a quelques fautes d'orthographes et pas mal de redondance qui le rendent un peu longuet à mon goût (mais, c'est juste une opinion personnelle.)

-Y'a toujours des truc qui l'échappent même après plein de relectures, pour les redondances j'en ai malheureusement conscience mais je n'arrive pas à faire sans, je pense que ça fait partie de mon style.

Ensuite, le fond.
D'abord des questions au niveau du "background" (aka la première partie racontant l'histoire du royaume)

- Il y a un énorme décalage entre ton pitch et ton chapitre 1. Dans ton pitch, l'héroïne est présentée comme étant Brise Matinale, sauf qu'il n'en ai fait mention nulle part. Pour moi, à partir de ce que j'ai lu dans ton chapitre1, Morden est le héros, désigné par la déesse, à qui il va arriver tout pleins d'aventures différentes.

-C'est étudié pour, je voulais que lors du premier chapitre on pense que Morden est un personnage important de l'histoire, mais il est prévu aussi qu'il revienne au bon souvenir des lecteurs dans l'un des derniers chapitres.

- Au niveau du début de l'histoire et de la guerre avec les elfes.

Nul ne sait pourquoi, mais un beau jour les Elfes vivant dans les bois mitoyens du royaume attaquèrent les humains sans crier gare.

Une guerre ne démarre jamais sans raison. Il y a toujours une successions d'actions qui font qu'un pays entre en guerre contre un autre. Surtout que dans une guerre, il faut des armements... La question est : "Pourquoi après une entente cordiale de plusieurs siècles entre les humains et les elfes, ces derniers veulent les éradiquer?"

-Il y a effectivement une raison, mais elle n'est pas dite dans ce chapitre, et c'est aussi le ressenti des habitants de Nomchi, je devrais préciser ça dans la réécriture du chapitre.

- J'ai eu du mal à comprendre que Nomchi était le nom du royaume humain? et qu'il était attaqué par les elfes. Enfin, j'ai du relire plusieurs fois les premiers paragraphes pour comprendre (peut-être est-ce moi qui suis idiote, aussi, c'est possible! ^^)

-Faudrait l'avis d'une troisième personne car étant l'auteur c'est évident pour moi que Nomchi est le nom du royaume humain.

- J'ai une autre question! (Moi, chiante, non! A peine... >.<) Pourquoi Markus ne peut se délier de son serment? On peut faire une promesse à un mourant la tenir ensuite, c'est fort possible. Qu'est ce qui fait que cette promesse est si spéciale?

C'est une licence scénaristique pour faire durer la guerre au de là de règne de Içak et cesse après celui de Markus affin qu'elle fasse à peu près 1OO ans. Mais je peux en effet expliquer que Markus est lié à une sorte de "dernière volonté du roi" qui est une tradition du royaume.

-(En fait, je crois que j'ai pas compris le déroulement de la guerre... >.<) Pourquoi les humains ont peur des elfes? Qu'ont fait les elfes pendant le conflit? Et surtout pourquoi la nation est plongée dans l'obscurantisme seulement à cause des elfes à la lisière de la forêt? et surtout pourquoi cette guerre civile? (Dis-moi, si j'ai loupé un truc vraiment vraiment important! Parce que j'ai bien l'impression d'avoir loupé un truc important!)

En cherchant à te répondre j'ai trouvé certaine chose qui était clairement dite et d'autres non.

Ce qui est explicite :

-les humains de Nomchi n'ont pas peur des Elfes, il les haïssent.

-La guerre civile commence avec le mécontentement sur la façon dont la guerre s'est terminée, puis s'est poursuivit avec les désirs de diriger de différentes personnes

Ce qui est implicite et devra être mieux expliqué

-Le crime principale des Elfes est leur attaque sans motif apparent, après il y a la travail de propagande qui les a diabolisé.
-L'obscurantisme est du que la génération qui a vécu la fin de la guerre n'a jamais connu Nomchi dans ses beaux jours et a été formé uniquement pour le combat.
                                                              *

Ensuite,la seconde partie, celle de la taverne. (Je sens que tu regrettes déjà de m'avoir demander mon avis [au pire, si t'es pas content, je supprime mon post, c'est pas un soucis!^^])

- Le fait que Morden vienne dans la taverne "juste" pour voir ce qu'il s'y passe me gène un peu (beaucoup, même!), sur deux points essentiels :
     - On ne va pas dans un coupe-gorges juste pour voir. Soit on y va par rébellion contre une autorité qui a interdit d'y aller (parent, institution...), soit on y va parce qu'on a des affaires à régler (ou des mercenaires à trouver pour une mission).
     - C'est un Noble, habillé en Noble dans un endroit rempli de voleur et autres petites frappes. Il n'aurait même pas dû rester cinq secondes en vie dans cet endroit. Même s'il est habile de l'épée, lutter contre cinquante hommes n'est pas chose facile.

Alors déjà je te suis reconnaissant pour ta critique qui va me permettre de grandement amélioré mon chapitre 1.

-Morden ne va pas dans la taverne voir ce qui s'y passe mais pour assister au spectacle dont il a entendu parlé, dixit l'extrait : "Il sommait Morden et c'était un jeune noble du royaume qui, sans savoir de quoi il s'agissait, avait entendu parlé du spectacle et qui était venu par curiosité."

-Morden n'est pas habillé en noble, je dis bien qu'il est vêtu simplement mais que ses vêtements son trop propres pour être malhonnêtes ^^. Mais tu as raison sur le fait que les habitués doivent le voir comme une cible, mais même si c'est vrai ils sont pour l'instant plus intéressé par le "spectacle", mais une fois celui-ci terminé ...

- Aussi, Morden est resté immobile une partie de la nuit à cause du spectacle de la boucherie de la meurtrière... J'avoue ne pas comprendre sa réaction. Soit, cet homme est une petite nature auquel cas la stupeur aurait durée quelques secondes avant qu'il ne prenne ces jambes à son cou (être entouré de cadavres, je dois bien avouer que ça doit être fort déplaisant). Soit il a l'habitude des cadavres et il s'en moque et s'en va. Mais, personnellement, je ne laisserais pas mon personnage assit pendant des heures au milieu des cadavres. (Après, je chipote certainement).

La j'ai clairement dit que c'est son corps qui refusait de bouger, et sous entend même qu'il est victime d'un sort. Après il sort calement car en effet après avoir passer plusieurs heurs au milieux de cadavre il est habitué à leurs vision.

Pfiou! Je vais m'arrêter là pour ce soir, parce que je commence à fatiguer! ^^ Y a certainement deux ou trois petites choses que j'ai pas vu! (Ou pas, parce que ton texte est quand même vachement bien! ^^)

Je te remercie pour cette excellente critique qui va me permettre de remanier au mieux mon chapitre. Sinon j'ai aussi remarqué que tu avais confondu "La Faiseuse" avec la "Déesse Lumineuse" car je n'ai pas bien expliqué la culture des humains, et je me demande si un prologue expliquant le "fonctionnement" du continent de Laventry ne serait pas utile.

Last edited by Asclepios (26 Feb, 2012 12:47:32)

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Je n'aime pas les plokes

abby19

Je me permets de répondre à ton post pour éclaircir encore certaines choses! ^^

(en fait, je crois que j'ai compris pourquoi j'étais chiante à ce point quand il s'agit de critiquer des oeuvres et aussi pourquoi j'arrive jamais à finir un de mes écrits. J'utilise la règle des "Pourquoi?" que j'ai vu en cours. Je me demande toujours pourquoi telle action est là et quelle est la relation avec les autres.
   Par exemple, prenons une guerre. Pourquoi deux peuples sont-ils en guerre? Parce que les deux rois se haïssent et qu'un jour ils [blablabla!]. Mais pourquoi les deux rois se haïssent? Parce qu'ils se jalousent. Pourquoi? Parce que leur père...
Bref, on peut aller très loin avec cette méthode, mais cela permet de voir là où il y a des incohérences et là où on peut améliorer des choses! ^^)

-Y'a toujours des truc qui l'échappent même après plein de relectures, pour les redondances j'en ai malheureusement conscience mais je n'arrive pas à faire sans, je pense que ça fait partie de mon style.

Il y a aussi peut-être le positionnement dans lequel tu te places en tant que narrateur qui est parfois bizarre. Parfois, j'ai l'impression que tu nous délivres la guerre comme si elle était écrite dans un manuel scolaire du royaume de Nomchi.
Je pense que donner certains détails croustillants, qui pourraient paraître insignifiants, mais qui aurait tous leurs sens dans quelques chapitres pourraient aider le lecteurs à mieux comprendre cette guerre. Mais aussi la haine que les humains éprouvent envers les elfes...
Dans tous les cas, en tant que narrateur, j'ai eu clairement l'impression que tu t'étais placé du côté humain de la guerre.

-C'est étudié pour, je voulais que lors du premier chapitre on pense que Morden est un personnage important de l'histoire, mais il est prévu aussi qu'il revienne au bon souvenir des lecteurs dans l'un des derniers chapitres.

Un peu de mystère pourquoi pas. Mais, en tant que lectrice, je n'aime malheureusement pas trop me séparer longtemps d'un personnage avec lequel je me suis attaché. Et en général, c'est au premier chapitre que l'on s'attache aux personnages et au monde dans lequel ils vivent. On découvre ce qu'ils sont et ce qu'ils font...

- J'ai eu du mal à comprendre que Nomchi était le nom du royaume humain? et qu'il était attaqué par les elfes. Enfin, j'ai du relire plusieurs fois les premiers paragraphes pour comprendre (peut-être est-ce moi qui suis idiote, aussi, c'est possible! ^^)

-Faudrait l'avis d'une troisième personne car étant l'auteur c'est évident pour moi que Nomchi est le nom du royaume humain.

Nous attendons un aimable âme pour nous aiguiller!

- J'ai une autre question! (Moi, chiante, non! A peine... >.<) Pourquoi Markus ne peut se délier de son serment? On peut faire une promesse à un mourant la tenir ensuite, c'est fort possible. Qu'est ce qui fait que cette promesse est si spéciale?

C'est une licence scénaristique pour faire durer la guerre au de là de règne de Içak et cesse après celui de Markus afin qu'elle fasse à peu près 1OO ans. Mais je peux en effet expliquer que Markus est lié à une sorte de "dernière volonté du roi" qui est une tradition du royaume.

C'est mieux de l'expliquer, en effet. Le lecteur n'aime pas trop ce genre de "Deux ex Machina"! ^^

En cherchant à te répondre j'ai trouvé certaine chose qui était clairement dite et d'autres non.
Ce qui est explicite :
-les humains de Nomchi n'ont pas peur des Elfes, il les haïssent.

Ma question est Pourquoi? (comme c'est étonnant! ^^). Pendant la première guerre mondiale, les français haïssaient également les allemands, mais, il y avait une raison à cela (ou plutôt un enchevêtrement de raisons) qui durent depuis des siècles.Mais, toute haine à un point de départ. Après, à toi de voir s'il est utile de l'expliquer au lecteur ou non.

-La guerre civile commence avec le mécontentement sur la façon dont la guerre s'est terminée, puis s'est poursuivit avec les désirs de diriger de différentes personnes

D'accord! ^^

Ce qui est implicite et devra être mieux expliqué

-Le crime principale des Elfes est leur attaque sans motif apparent, après il y a la travail de propagande qui les a diabolisé.
-L'obscurantisme est du que la génération qui a vécu la fin de la guerre n'a jamais connu Nomchi dans ses beaux jours et a été formé uniquement pour le combat.

Ok. Après à toi de voir si l'histoire de la guerre entre Elfe et Humain ne peut pas faire l'objet d'un prologue si elle est trop longue à expliquer dans le chapitre 1. Car après tout, le seigneur des anneaux commence bien par la vie de Bilbon dans sa maison.

                                                              *

Alors déjà je te suis reconnaissant pour ta critique qui va me permettre de grandement amélioré mon chapitre 1.

De rien! ^^

-Morden ne va pas dans la taverne voir ce qui s'y passe mais pour assister au spectacle dont il a entendu parlé, dixit l'extrait : "Il sommait Morden et c'était un jeune noble du royaume qui, sans savoir de quoi il s'agissait, avait entendu parlé du spectacle et qui était venu par curiosité."

Donc, Morden est un genre d'aventurier. Si son comportement dans le reste de l'histoire le prouve, pas de soucis. Mais mon soucis, c'est qu'est ce qu'il pousse quelqu'un à vouloir voir quelque chose comme ça, sachant qu'il peut se faire tuer rien qu'en mettant le pied dans la taverne. Ici, la question n'est plus pourquoi, mais, qu'est ce qu'il manque dans la vie de Morden pour qu'il fasse quelque chose comme ça?

-Morden n'est pas habillé en noble, je dis bien qu'il est vêtu simplement mais que ses vêtements son trop propres pour être malhonnêtes ^^. Mais tu as raison sur le fait que les habitués doivent le voir comme une cible, mais même si c'est vrai ils sont pour l'instant plus intéressé par le "spectacle", mais une fois celui-ci terminé ...

Il aurait pu également acheter ses vêtements au pecnot du coin pour ne pas se faire embeter et pour plus de soucis de réalité.

La j'ai clairement dit que c'est son corps qui refusait de bouger, et sous entend même qu'il est victime d'un sort. Après il sort calement car en effet après avoir passer plusieurs heurs au milieux de cadavre il est habitué à leurs vision.

Je suis d'accord sur le fait que tu as clairement dis que son corps refusait de bouger. Mais, à aucun moment, je n'ai pensé à un sort! Plutôt à une crise de tétanie! x) Il faudrait éventuellement l'expliquer plus en détail.

Sinon j'ai aussi remarqué que tu avais confondu "La Faiseuse" avec la "Déesse Lumineuse" car je n'ai pas bien expliqué la culture des humains, et je me demande si un prologue expliquant le "fonctionnement" du continent de Laventry ne serait pas utile.

Eventuellement, mais après, c'est tes choix d'écrivain qui décideront s'il y a prologue ou non.

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"Un baiser ça peut être mortel si on y met tout son cœur" Batman, le défi
"La vie ne vaut pas la peine d'être vécue si on ne la vit pas comme un rêve" Le monde ne suffit pas

Asclepios

Tu as parfaitement raison pour mon placement du narrateur du coté des humain pour ce chapitre car j'ai prévu de raconté du coté des Elfes dans le chapitre suivant, car j'adore raconté une même histoire sous des angles de vu différents. Il faudra donc que je précise dans la narration que la guerre est contée d'après les chroniques humaines.

Je comprends ton attachement à Morden et moi même en le créant, alors qu'il ne devait être qu'un observateur, je lui ai donné plus d'importance avec le temps. A l'origine il ne devait d'ailleurs pas existé, je l'avais créés pour donner un point de vue subjectif sur l'action, je voyais mal le narrateur demandé qui était la femme qui venait d'entrer ou faire les comparaisons, mais je vais peut être faire un mix des deux pour la refonte du chapitre.

Si tu ni vois pas d'objection je t'enverrais par MP la version remanier du chapitre ainsi qu'un brouillon du prologue pour avoir ton avis.

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abby19

Pas de soucis!
Bon courage pour la réécriture!

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Asclepios

Petite piqure de rappel pour mon projet de BD Phantasy

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Marialexie

J’espère que tu arriveras  à trouver un dessinateur, perso je suis overbookée pour au moins 10ans...Désolée.

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Une Apocalypse Zombie, Deux frères solidaires... Lisez "Aux Armes !"
Venez découvrir 30cm de Bonheur avec Roberto Fellassionni
Des zombies, un huit clos lisez " Nzumbe "

ranlemangaka

moi aussi je suis en mode a la traine pour construire un scénario
mais bonne chance pour ta recherche asclepios

Asclepios

Grandement merci pour vos encouragements gentes damoiselles.

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