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Je suis atterré.
Après des heures de communications ensemble pour te satisfaire, et alors que tout est en train de s'arranger, tu trouves le moyen de nous faire passer pour des connards de service.
Alors pour les nouvelles diffamations :
- Contrairement à ce que tu dis, tu es libre de tout engagement au bout de deux ans, mieux, tu l'es depuis le premier jour où tu nous as demandé de l'être.
- OT "n'appartient" pas à Amilova, le contrat nous permettait juste de garder des droits d'exploitation non exclusifs.
=> Cela veut dire que tu peux en faire absolument tout ce que tu veux, et que nous, on peut continuer à le vendre. J'explique le problème pour les lecteurs : les autres éditeurs ne veulent PAS que le droit de vendre soit partagé. C'est pour ça que nous avons discuté pour lâcher ce droit, histoire que de cette aventure, Jérome garde tout, et nous, rien.
- Les "requins" pour lesquels tu nous fais passer, à cause d'une clause (citée au point précédent) que nous sommes en train de casser, alors que rien ne nous y oblige, est une protection contre les auteurs requins. Alors si un auteur encule un éditeur, tout est normal, mais si un éditeur se protège contre cela, c'est un requin. Bravo.
- "L'argent peut tout changer" se traduit en réalité par "Salagir s'arrange avec le nouvel éditeur pour ne pas foutre le feu à un stock de plus de 700 livres imprimés", chose qui était demandé par cet éditeur au départ. On a donc convenu de lui vendre notre stock (au prix de sa création), puisque on veut maintenant nous interdire de le vendre. Cela me faisait mal de détruire ces livres, et je suis bien content que cela soit évité. Mais heu, je vais pas non payer de ma poche pour vous permettre de vendre ces livres à ma place, hein...
Et que vois-je encore là ? Jerome qui nous fait passer pour des cons, déformant en public, ce qu'on a dit en privé. Liguant les auteurs contre nous. Cherchant avec chaque message à nous faire un peu plus de mal.
Et ce, notez l'intelligence suprême de l'action, alors qu'on a pas signé ! C'est hilarant. C'est donc à dire que si on voulait se venger, on arrêterait direct les négociations, tu n'aurais pas tout ce que tu nous demandes, et tu ne pourrais rien y faire.
Mais non Jérome. Tu pourras faire tout ce que tu veux pour nous faire passer pour des cons, même là alors que j'écris ce message, et que tu me donnes la haine, je ne le ferai pas. Je vais finir cette transaction, et je vais permettre Only Two d'être édité par un autre, selon ses conditions.
Car on est pas des connards. Je crois qu'on l'a montré maintes et maintes fois. Alors que cette entreprise d'édition que nous voulions être n'a pas marché, et qu'on a tout perdu dans l'histoire, on continue à dépenser notre temps, et notre argent, pour que vous les auteurs puissiez tirer le maximum.
Et je comprends pas pourquoi tu dis que "tu quittes Amilova", alors que c'est exactement ce que tu fais depuis des semaines, puisque le nouvel éditeur demande à ce que tu quittes Amilova.
Ce message de désespoir final est d'une absurdité sans nom : "Alors voilà, je compte enlever ma BD du site, leur interdire de vendre des tomes ou des ebooks, donc ne rien laisser de moi sur Amilova. Mais quand je vois comme Amilova c'est trop des salauds, et bien à la place, je vais, désespéré, quitter Amilova."
Maintenant, je ferme ce topic. Tout est en train de s'arranger, et chacune de tes participations ne fait que du mal à la situation.
On est pas fermé au dialogue, mais on est fermé à la diffamation publique. Mon samedi n'est pas fait pour que je m'explique avec toi en privé. Mon dimanche n'est pas fait pour que je réponde à des insinuations hallucinantes en public. Mon week-end n'est pas fait pour répondre à tous les auteurs que tu as chauffé.
Accessoirement, le futur d'Amilova, ce n'est pas la futur d'Only Two.
Je te serai grès d'avoir l'intelligence de ne pas nous attaquer à nouveau, autant en public qu'en privé. Ce n'est pas constructif, et tout le temps que je passe à te répondre sur ce forum, c'est du temps que je ne passe pas à répondre à ton nouvel éditeur.
Peace out. j'ai une BD sur le feu à avancer, et mon dimanche, il est fait pour ça.
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