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Rin-Rin

Bonjour tout le monde !
Aujourd'hui je vous propose de commencer la lecture d'une de mes histoires !

J'espère qu'elle vous plaira, donnez moi votre avis dessus, s'il vous plait !

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Prologue
   
La nuit avait déjà développé son manteau sur la totalité de la voûte du ciel, faisant tomber les ténèbres sur cette partie de l'hémisphère. Dans une certaine ville, tout en haut d'un certain building, qui se trouvait être le siège de la très grande société Crossing Records, maison de disque la plus influente du pays, se trouvait un jeune homme.
Sur le toit de ce bâtiment, appuyé contre la rambarde de sécurité.
Presque au bord du vide.
Son regard surplombé la ville et toutes ces lumières. Les enseignes de vitrines, les phares des voitures, les lumières des autres buildings, les rangées de lampadaires sur les trottoirs. Même la nuit, rien ne s'arrêtait en ville. L'homme posa son regard sur une des feuilles qu'il tenait dans sa main droite, il lu le contenu d'un traite avant de lever le bras au niveau du vide qui le jouxtait.

« Tu es sûr de toi ?

Une autre personne, un homme d'un age proche à celui  qui se tenait à la grille en ferraille venait d'arriver. Le jeune homme lâcha ses feuilles dans le vide sans prendre en compte ce qu'avait dit son ami. Elles tombèrent en tourbillonnant dans le vide, déjà oubliées par le bourreau qui tourna son visage vers son interlocuteur :

- Tu es arrivé trop tard pour les sauver.

Le jeune homme se rapprocha en remettant une mèche de ses cheveux d'ébène en place. Il sourit à son camarade avant de s'exclamer faussement désolé :

- Voilà que je fais un piètre sauveur, ça va me ronger jusqu'à ma mort, il s'appuya à son tour contre la grille sortit une cigarette qu'il alluma en un rien de temps, laissant échapper une bouffée de fumée il dit, Ambroise, notre parolier ne va pas aimé si il apprend que tu as assassiné ses textes.

Le dénommé Ambroise fit mine de chasser la fumée qui courrait devant son visage d'un geste de la main avant de dire contrarié :

- Et toi tu veux assassiner ton chanteur en allumant cette cigarette sous mon nez ?
- C'est ta punition, dit -il en faisant exprès de souffler un nuage grisâtre vers le visage du chanteur, pour avoir tuer des pauvres feuilles innocentes et l'orgueil d'un soit disant génie de la prose.
- Ce sera toujours un des membres de notre groupe qui écrira les textes, je n'accepte pas que le directeur nous est collé ce type, Ambroise arracha alors des mains de son ami la cigarette qu'il tenait et la jeta dans le vide, tout ça parce que c'est son neveu. Je déteste ces manières de faire.
- Ambroise, tu ne t'es jamais mis à la place des passants ? Se prendre une cigarette allumée sur la tête après une pluie de feuilles, je ne suis pas sur que ce soit au goût de tout le monde, l'homme se retourna alors pour adosser son dos contre la rambarde, Et tu as un texte de rechange au moins ?

Ambroise regarda un certain temps la ville en dessous de lui avant de fixer de ses yeux d'un vert olive son interlocuteur :

- Évidemment, il me suffit juste de l'écrire.

Le garçon aux cheveux noir de jais fit une mine suspicieuse avant de demander :

- Donc tu n'en as pas ?
- Si, dit le chanteur tout en continuant à fixer ce qui s'agitait en contre bas.
- J'ai le droit au titre en avant première alors ? Tenta-t-il de piéger son ami par cette question.
- “Lie Light”, répondit-il comme ci c'était tout naturel avant de se redresser et de faire quelques pas vers la porte menant à l'intérieur du building, les autres nous attendent. La pause est terminée Arthur.

Le garçon encore adossait contre la garde fou, posa un regard sur les lumières éblouissantes et nombreuses de la ville. Un sourire s'esquissa sur ses lèvres avant qu'il ne suive son chanteur.

- Monsieur le chanteur de Zeta Crisis, vous êtes effrayant. »

Plus loin dans cette même ville et à la même heure, dans un autre building éloignée du siège de la maison de disque Crossing Records se tenait un autre siège important du show-business.
L'agence de mannequinat la plus importante de tout le pays dont la majorité des mannequins étaient connus pour être devenu à un moment où à un autre de leur carrière les égéries des plus grandes marques de luxe. Cette agence, la Elegancy Ground, prospérait dans le milieu sans inquiétude, ayant annexé la plupart des petites agences de mannequinat. En réalité, toutes les autres agences étaient plus ou moins des sous groupes de la compagnie principale.
Dans un des studios de photographies de l'agence, une dernière séance pour le lancement d'un nouveau produit de la ligne de cosmétique la plus en vogue venait de se terminer dans un shoot exceptionnel qui constituerait les affiches publicitaires de la marque.   
Dans la salle, alors que le photographe remercia le mannequin qui venait de poser durant des heures, une jeune femme qui était au fond du studio assise à une des tables de repos, fit signe au mannequin. Ce dernier alla la voir, s'installant à la table le très grand jeune homme, remit une mèche de ses cheveux blond doré derrière son oreille, dégageant son intense regard bleu lagon :

“ Lynne, il y a un problème ? Pourquoi es-tu ici ?

La jeune fille secoua la tête de droite à gauche, avant de répondre rapidement :

- Non, pas du tout. J'ai demandé aux garçons de me déposer ici, avant de rentrer. Je voulais savoir où tu en étais. Tu as fini pour ce soir, Stéphane ?
- Pas encore, annonça l'intéressé en prenant un gorgée de la bouteille d'eau qui gisait sur la table. Il s'adossa plus confortablement sur sa chaise, donnant un peu de répit à son dos qui le supportait debout depuis plus de quatre heures, le shoot est terminé, mais comme nous avons prit du retard avec l'absence imprévue du directeur artistique, nous n'avons plus d'autre choix que d'enchaîner tout de suite avec les répétitions du  tournage pour le clip promotionnel.

Lynne esquissa une mine inquiète à l'intention de celui à qui elle parlait :

- Je vois, j'espère que tu vas tenir le coup. Un shoot c'est déjà éprouvant alors enchaîner avec un tournage, elle croisa les bras et dit plus contrariée, ces types profitent au maximum de mon grand frère je ne sais pas comment je dois le prendre. Ça m'énerve de ne pouvoir rien faire pour t'aider.
- Ça ne me dérange pas spécialement, la carrière d'un mannequin est dure à entretenir, pour durer dans ce métier et garder sa célébrité il faut redoubler d'effort. Se faire un nom dans le mannequinat, ce n'est pas simple.
- Arrêtes de plaisanter, rétorqua la sœur du mannequin, tu es déjà connu par n'importe qui dans le pays. Tu as été et est l'égérie des plus grandes marques. Tu passes de marques de luxe en marques de luxe, je ne suis pas sur que tu es encore besoin d'en faire toujours plus pour garder ta célébrité maintenant. Tu es un icône Stéphane et aussi, la jeune fille sortit alors un magazine de son sac à main, qu'elle avait pendu au dossier de sa chaise. Elle chercha rapidement une page, ceci fait elle plaqua le magazine sur la table, tu es l'homme le plus populaire auprès des femmes du pays !

Stéphane étouffa un rire avant de prendre le magazine de sa sœur, un journal people. De la lecture de caniveaux. L’ingénuité de sa sœur était comme toujours une vraie bouffée d'air frais et de vitalité. Pour lui elle était un pilier indispensable dans sa vie, mais hélas, il n'avait plus le temps de discuter avec elle.

- Lynne, je vais devoir reprendre le travail, tu devrais rentrer.
- Oui.... répondit soudainement avec un air triste et tendue la jeune fille au long cheveux d'un marron praliné.
- Un problème ? Questionna son frère avant de comprendre rapidement qu'est-ce qui pouvait avoir si rapidement provoqué un changement d'humeur chez sa sœur, il demanda un air amusé au visage, dit-moi c'est demain que tu commences ton travail dans une société de musique, c'est ça ?
- La jeune fille ouvrit de grands yeux ronds et rougit un peu, elle n'aimait pas que son frère se moque de ce qu'on pouvait clairement appelé son anxiété, oui, c'est demain, répondit-t-elle sans grande motivation.

Devant la mine dépitée de sa sœur, Stéphane finit par dire en se relevant pour rejoindre son équipe de travail.

- Je viendrai te rendre visite là bas dans l'après-midi. Alors soit forte jusque là. »

Lynne donna comme réponse à son aîné, un merveilleux sourire. En la voyant Stéphane, ne put se dire qu'une chose.
Sa sœur était destinée à avoir toujours un sourire comme celui ci aux lèvres.

Zorga

J'ai lu rapidement... Fais gaffe dans la mise en forme de tes dialogues. Y a des codes pour bien séparer le dialogue lui-même, et la narration qui l'accompagne î_î.

phoentra20

J'ai lu Faut suivre mais ça m'intéresse, j'aime bien les histoires qui se passent dans le monde de la musique ^^ J'attend d'en lire plus pour te donner un avis plus tranché.