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En attendant que mon projet finit d'être préparé, je décide ici de poster l'une des histoires que j'ai en tête, ce sera en plusieurs chapitre, et pardon d'avance pour les possibles fautes d'orthographe.
LA LEGENDE DE LA FILLE ET DU TROIS-MÂTS
Chapitre 1 : Le début d'une légende
John : Hey, les enfants ! Venez !!
Lili : Qu'est-ce qu'il y a papi ?
John : Je vais vous raconter une vieille histoire, ou plutôt, une légende. Je pense en effet qu'il est temps pour moi de vous la raconter.
Vincent : Chouette ! Une histoire !
John : Bien, alors venez, mettez-vous devant moi. Ha ha ha. Bon, alors... Mon histoire commence en 1753, il y a plus de 250ans, dans un petit port français du nom de Doucelo, à plusieurs kilomètres du port, vivait...
Margerie : Papi, c'est quoi un kilomètre ?
John : Ah... Vous ne connaissez pas encore ça... Bon, disont que un kilomètre est égal à la distance entre la maison et la vieille église.
Lili : Ouah !! C'est loin !
John : Pas si loin que ça je trouve... Bon je reprend. Donc je disais qu'à plusieurs kilomètre du port, vivait un homme d'une 40ène d'année nommé Tomma, c'était un charpentier, un constructeur de navire, et sa maison, au milieu de nul part, près d'une plage vide, lui permettait d'avoir une vie tranquile à écouter le chant des mouettes. Mais un jour... il apprit qu'il avait contracté une maladie incurable, qui ne peut être soigner, et qu'il mourrait d'ici quelques années. Le pauvre, en apprenant cela, s'enferma chez lui pendant quelques semaines.
Un beau jour, il sortit soudainement de chez lui, puis parti chercher ses amis charpentier et aussi marin pour les réunir chez lui et leur exposer son dernier souhait : avoir un fils. Il leur montra ensuite les plans d'un navire qu'il avait fait durant ces quelques semaines. C'était les plans d'un trois-mâts, un magnifique navire aux voiles carré et avec pour figure de proue un jeune garçon. Tomma avait décidé d'appeler son "fils" Maxime. Ses amis décidèrent de l'aider à construire ce navire, dont le chantier se situait sur la côte pas loin de la maison.
Le chantier dur...
Vincent : Papi, qu'est-ce qu'un trois-mâts ?
Lili : Et c'est quoi une figure de proue ?
John : Un trois-mâts est un navire avec... trois mâts. Les grand battons avec les voiles.
Les enfants : Aaahh...
John : Et la figure de prou est une statue qui se situe à l'avant du navire, sculpté dans le bois, au dessus de l'eau. Au passage, la proue d'un navire est l'avant, et la poupe, l'arrière, vous avez compris ?
Les enfants : Oui papy !
John : Bien... Donc, le chantier dura jusqu'en 1757, soit 4ans. Et au fil des année, la santé de Tomma ne cessa de se dégrader, il crachait du sang de plus en plus souvent, et devenait plus faible... Mais au prix de grands efforts, ils finirent le navire.
Les amis de Tomma, à sa demande, sont parti prévenir les habitants du port de l'arrivé du Maxime, sans oublier de ce poser la question "Comment allait-il faire avancer le navire tout seul ?" ce que Tomma répondait "Je me débrouillerait". Le Maxime était comme dans les plans, sa longueurs faisait au moins 300 mètres, pour une 50ène de largeur. Sur ses trois mâts se trouvait des voiles rectangulaire, avec quelques voilent triangulaire à la proue, attaché au mât de misaine situé le plus en avant, et au mât de beaupré, le "batton" sous lequel se trouve la figure de proue. Son nom était écrit sur bois à la poupe.
Après le départ de ses amis, Tomma monta sur le navire, fit monter le petit ponton qui sert à monter sur un navire, et entra dans la cabine du capitaine où il avait une petite finition à faire.
A Doucelo, les habitants et les amis attendaient au quai, le temps passa, puis ils virent enfin le Maxime arriver derrière les falaises. "Il a réussi" se dit l'un des amis, mais quand le navire arriva au quai, ils virent plusieurs choses étrange : personne au gouvernaille -le volant qui permet de diriger le navire-, les voiles se replièrent tout seul, l'encre se jeta également tout seul, et le ponton pour faire monter les habitant aussi... ainsi que les cordes pour attacher le navire... et pas de traces de Tomma. Finalement les amis de Tomma et certain habitant montèrent sur le navire. Ils cherchèrent Tomma, puis, allèrent dans la cabine du capitaine pour voir si il y était, et il y était, mais sans y être. Tomma était déja parti pour un très long voyage, il ne restait plus que son corps assit sur la chaise et allongé sur le bureau, il avait sa main droite ensanglanté, montrant qu'il avait toussé une dernière fois, et ils virent sur le mur un étrange symbole dessiné avec son sang, puis enfin, sur le bureau se trouvait une lettre où il demandait à ses amis de prendre soin de Maxime durant son absence.
En voyant le symbole, puis le message, les amis de Tomma eurent un petit sourir, ils semblaient avoir compris quelque chose, les habitant de Doucelo se posaient évidemment la question.
Comme dit, les amis de Tomma devinrent membre de l'équipage de Maxime, et le plus expérimenté devint capitaine, d'autre marins rejoignirent le navire qui commença son bouleau de navire : transporter la marchandise aux destinations demandé.
Les capacité du Maxime étaient incroyable, la légèreté du bois utilisé lui permit d'avoir une très grande vitesse, l'une des plus rapides du monde, et très maniable. Mais des choses mystérieuses arrivèrent rapidement à bord : parfois, le navire semblait agir tout seul, comme l'or de son arrivé à Doucelo la première fois, le sentiment d'être observé était présent tout au long des trajets, des ombres étaient vus de temps en temps et parfois, les amis de Tomma se mettaient à discuter tout seul... mais jamais rien de mauvais n'arrivait.
Mais 6ans plus tard, en 1763, une maladie mortelle s'installa à bord du navire, leur faisant rejoindre Tomma dans son long voyage dans un monde meilleur alors qu'ils étaient en route pour Doucelo.
Le navire arriva finalement à bon port... mais seul, plus d'équipage, tous parti pour ce voyage.
Vincent : Sa veut dire que Maxime est maintenant tout seul ?
John : Oui... et il le restera pendant un long moment, car par la suite, les habitants de Doucelo, voyant que le navire était revenu tout seul, avec ce malheure qui était arrivé à bord, conclurent qu'il était maudit, ou hanté, et plus personne monta à bord.
Maxime resta attaché au port jusqu'à ce que 5ans plus tard, en 1768, une jeune fille de 16ans nommé Laura arriva au port et s'approcha du navire. Laura avait fuit ses parents adoptif car ils la traitaient comme un objet, elle voyait en ce navire un moyen de quitter cette vie, peu importe où ce navire irait ensuite, ou ce qui lui arriverait si elle montai dedans, pour elle, la mort serait meilleur que la vie qu'elle a vécue juste qu'ici.
Après avoir détaché les cordes qui retenaient Maxime au quai, elle mota dedans à l'aide du ponton qu'elle prit ensuite. Mais la grande question qu'elle se posait était "Comment vais-je faire bouger ce navire ?". Elle savait tout du navire, son passé, et le fait qu'il était peut-être hanté, elle décida d'aller dans la cabine du capitaine pour y appeler l'esprit, elle y vit le symbole de sang toujours présent.
Laura : "Y a t-il un esprit ici ? Si oui, j'aimerait que tu te manifeste devant moi !" Rien "S'il te plait ! J'ai besoin de ton aide ! Je veut quitter ce port ! Et je sais que c'est toi qui fait bouger ce navire tout seul !
???? : "Pourquoi veut-tu quitter ce port ?" dit une voix qui semblait venir de partout.
Laura, satisfaite et effrayé dit : "Par... parce que je veut m'éloigner de ceux qui se considèrent comme mes parents alors qui me battent et me traitent comme une esclave ! Je veut partir de cette ville rempli de mauvais souvenir !
???? : Et pourquoi n'avoir rien dit aux autres ?
Laura : Ils ne me laissaient pas le temps, toujours derrière mon dos pour me surveillé. Et si j'ausait essayer de me rebeller, ils..." Puis elle montra ses bras et ses jambes rempli de cicatrices, certaines vieille, d'autre récentes.
Elle continue : "La maladie a emporté ma mère quand j'était toute petite, et mon père faisait partie de l'équipage de ce navire, qui a été également emporté par la maladie. Comme mon père était dans ce navire, il me racontait tout ce qu'il savait, et je me suis dit que c'était le seul endroit où je pourrais aller. Je suis prête à aller n'importe où.
???? : ... Bon, je vais t'aider." Puis soudainement apparut un jeune garçon ressemblant comme deux gouttes d'eau à la figure de proue.
Laura : "Merci, je te serais redevable.
???? : Non, tu ne me devra rien, je vais t'aider à t'éloigner de ces monstres. Où veut-tu aller exactement ?
Laura : Peut importe du moment que mes parents adoptif n'y sont pas.
???? : Très bien"
Puis il disparut. Laura sortit de la cabine pour aller voir à l'extérieur. Elle put voir les voiles commencer à se détacher toute seul, l'encre se lever et le gouvernaille tourner. Le navire quitta le port.
Le jeune garçon réapparut : "Je ne veut pas être impoli, mais j'aimerais bien connaitre le nom qui a demandé mes services.
Laura : Je m'appelle Laura, et toi ? As-tu un nom ?
???? : Oui, je m'appelle Maxime, c'est comme ça que mon père m'a nommé.
Laura : Maxime ?!!!
Maxime : Et oui, je suis Maxime, le navire lui-même pour vous servir.
Laura : Mais... comment... ?
Maxime : Tu as vus le symbole dans la cabine ? C'est ce qui m'a donné vie.
Laura : Un navire vivant " Elle rit "Je vois. J'espère qu'on va bien s'entendre durant ce trajet"
Maxime : Je l'espère aussi.
Laura : Ah ! Et les vivres, j'ai oublié d'emporter des vivres !
Maxime : Ne t'inquiète pas, je suis un très bon pécheur, tu pourra compter sur moi pour avoir des vivres héhé.
Laura : Un bateau pécheur ? Décidément..."
Et ils se mirent tout les deux à se tordre de rire
Et c'est ainsi que commença leur voyage ainsi que la légende de la fille et du trois-mâts
A SUIVRE
Voilà, en espérant que ça vous plaise .
Dernière modification par lufo (11 Nov, 2011 16:13:13)
Désolé, mais je n'ai pas du tout accroché à l'histoire, j'ai même décroché à environ la moitié du chapitre, mais si je puis me me permettre un conseil il manque des parties narrative pour fluidifier ton histoire. Déjà tout commence sans que l'on sache où et quand se passe l'action, une simple phrase du genre "Nous sommes à XXXX en XXX, John un XXX hèle ses petits enfants"
sexe sans sentiments n'est que ruine de l'âme ♥♥♥
Je n'aime pas les plokes
Est-ce vraiment obligé de mettre la date au début de l'histoire ? Moi, je pensait préciser ça vers la fin. Pour le "où", je pensai laisser l'imagination des lecteurs faire le travail. En fait, tout commence comme au théâtre, on a des personnages, une scène et tout, puis on a l'histoire qui se déroule comme n'importe quelle histoire de nos jour. Et pour la partie théâtre, je ne met aucune indication narrative, juste à travers les dialogues comme le "papi" des enfant qui nous apprend que le personnage qui raconte l'histoire est leur grand père.
Dernière modification par lufo (11 Nov, 2011 15:39:05)
Je me suis mal expliqué pour le "où" sans donner un lieu géographique précis il faut quand même donné une petite idée du paysage où se déroule l'action, car même au théâtre il y a des décors pour nous donner une idée d'unité de lieu. Et le la précision "quand" devient quasiment obligatoire lorsque à partir moment où dans sont récit le papi donne une année précise. S'il s'était contenté de dire "il y a très longtemps" ou "il y a quelques siècles" le vague de l'histoire dans l'histoire s’harmonisait avec le vague dans lequel toi tu nous mettais. Quant au travail d'imagination du lecteur, il ne peut pas se faire à partir de rien, il lui faut quand même un minimum de matière pour pouvoir spéculer dessus. Un simple "dans une campagne", "près d'une fôret" "au pied d'une montagne" etc suffit. Et puis je pense que donner une idée de l'âge des enfants n'est pas superflu, car tous ce que l'on sait c'est qu'ils sont trop jeune pour savoir ce qu'est un KM (ce qui pour moi équivaudrait dans les 3 ans si l'histoire se passe à notre époque ou plus vieux si ça se passe au XIXème ou XIIIème sciècle )
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Ça veut dire que tu t'ai jamais déplacé en voiture avant cet âge là car même si un enfant ne sait pas ce que fait exactement un KM, en voyant les panneaux indicateur il sait que c'est une unité de longueur assez grande. Et on peut douter que ton histoire se passe près d'un port si les enfants ne savent pas ce qu'est un trois mats, on nous apprends un peu l'histoire de la région dans les école primaire tout de même. Moi j'ai cru à un moment que ça se passait dans le massif central quand la question a été posé.
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A vrai dire, je n'y faisais pas attention aux panneaux. Pour le lieu, je croyais que tu parlais du lieu de l'histoire raconté par le papi qui commence bien comme indiqué. Pour le lieu où se situe la maison du papi... en fait je ne comptais pas y faire attention car toute la scène se passe dans la maison, on se fiche donc un peu de l'extérieur (perso) et c'est pour cela que je laissais faire les lecteurs, penser que la maison se trouve à tel endroit... par exemple toi tu as pensé que sa se passait au massif central, certain penseront que ce sera dans un petit village en plaine campagne, etc
Dernière modification par lufo (11 Nov, 2011 16:36:25)
Où veut-tu que ça se passe ? Le coup du grand père qui raconte une histoire à ses petits enfants pendant que les parents sont absent, c'est forcément dans une maison, on suis la logique : les enfants sont chez le grand père, aucun signe des parents => ils sont absent et ont dut laisser les petits au grand père, généralement, les enfants, on les gardes dans une maison, surtout pour raconter une longue histoire.
Moi la question a propos du kilomètre m'a un peu surprise... Surtout qu'elle arrive vachement tot et que du coup j'ai cru que tu commençais une histoire éducative sur les distances qui finirait avec un problème du genre calculez la vitesse du trois mat, sur une distance x pour un vent de force y...
De plus ca me semble plus naturel qu'un gamin demande ce que veut dire "incurable" plutôt que de relever le mot "km".
Outre ces détails (et les fautes d'orthographe) j'ai commence a m'intéresser au récit lors de l'apparition de Laura, même si j'ai l'impression que tu nous emmène dans un remake de OnePiece...
"Un rêve intact est une merveille fragile." E.Estaunié ♥♥♥
Il est vrai que je sort rarement, mais je vis très bien dans mon petit village au bord de l'île de France. Moi, je pensait que c'était mieux de faire raconter une histoire pendant le calme de l'absence des parents, et quoi de mieu pour raconter une histoire qu'un grand père qui a vécu pas mal de temps et qui en connais donc beaucoup sur notre monde et ses légende ? De toute façon, je comptais éclairer un peu plus la situation de la scène avec le retour des parents à la fin.
Un remake de One Piece ? Il est vrai que je me suis inspiré du klabautermann pour le coup du navire vivant, mais ici, l'histoire se passe serte en pleine mer, mais les perso principaux ne sont pas pirate (il y aura des corsères mais c'est normal), et il n'y a pas de monstre marin, en plus le navire n'est pas du tout armé, donc il ne faudra pas s'attendre à des bataille marine digne des plus grand film mais bon.
Dernière modification par lufo (11 Nov, 2011 17:03:23)
J'essaye de faire un peu original en laissant le plaisir de l'imagination aux lecteurs, après, j'ai tout de même décrit le trois-mâts. Pour la narration aussi j'ai voulu le faire original en le mettant qu'a travers les dialogues pour les enfants et le papi, après pour l'histoire du papi, c'est raconté comme une histoire normale, deux narrations différentes pour deux types d'histoires différentes.
J'ai vu sur ta présentation que tu dis être adolescent, j'en déduit que tu es encore au lycée. Je ne saurait trop te conseiller de montrer tes écrits à ton professeur de français pour avoir son avis et surtout et bien écouter les conseils qu'il pourra te donner et qui seront bien plus avisés que les miens.
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Je n'aime pas les plokes
je trouve que vous etes un peu dure , surtout toi asclepios , tes critiques serait justifier si il etait un reel ecrivain mais la c'est un amateur donc bon...ceci dit c'est bien de lui dire pour qu'il repare ses fautes mais ya une maniere plus douce et proffessionel pour le faire la on dirait que tu tente de l'arreter dans son envie d'écrire.
en tout cas moi non plus jai pas trop accrocher la parti grand-pere et compagnie mais j'aime l'histoire que papi raconte elle est interessante enfin surtout a partir de laura.
tu ecrit des histoire pour chercher des dessinateurs ?
(pour ce qui est des fautes d'orthographes je suis d'un level bien plus au dessus du tien, donc je dirai rien , je l'ai prevenu que j'etait nul en ortho dans ma presentation donc me le reprocher pas)
En fait, j'ai déja un projet en préparation avec nooey, tu peut voir un résumé de cette histoire ici
http://www.amilova.com/fr/forum/viewtop … d=1414&p=2
dans mon dernier message. J'ai plein d'autres histoires en tête, en tout genre sauf echii, j'en ai même de jeux video genre mario, cette histoire, comme ceux que je pourrais poster à l'avenir, est surtout pour le plaisir des lecteurs, pas seulement les membre d'Amilova, mais aussi les visiteurs du site, après, peu m'importe que quelqu'un décide de le dessiner, c'est juste par bonheur d'écrire et de faire partager mes histoires avec les autres .
Je compte d'ailleurs bientôt poster le chapitre 2.
Aller hop, enfin le chapitre 2
Chapitre 2 : Une journée dans les rues de Nave.
Peu après leur départ de Doucelo, Laura et Maxime décidèrent qu'il serait plus sage de débarquer dans un port français, car se retrouver dans un port espagnol ou anglais risquait de poser problème car Laura ne parlait aucune langues étrangères. Finalement, après plusieurs jours en mer sans avoir rencontré de problèmes, ils arrivèrent à Nave, petit port paisible se trouvant assez loin de Doucelo.
Après avoir accosté, Laura décendi du Maxime pour lui dire au revoir et le remercier.
Laura : Merci beaucoup de m'avoir emmené ici.
Maxime : De rien voyons.
Laura : Je ne t'oublierais jamais, au revoir.
Elle était sur le point de partir quand Maxime lui demanda : Où vas-tu aller maintenant ?
Laura : Heu... je me débrouillerais.
Puis elle parti.
Dans les rues de Nave, Laura se remémorait la question de Maxime, elle n'avait pas d'argents sur elle, et rapidement, midi arriva et la faim se fit ressentir. Elle s'arrêta devant des marchants de fruits, mais n'ayant pas d'argent, elle ne pourrai rien acheter. Mais elle essaya quelque chose :
Laura : S'il vous plait monsieur le marchand, pouvez-vous me donner quelques-uns de ces fruits ? Je suis affamé et je n'ai pas d'argents pour acheter quoi que ce soit.
Dit-elle avec des yeux presque en larme.
Marchand : Si tu n'as pas de quoi payé, je ne te donnerais rien, aller ouste !
Laura : Mais...
Marchand : Du vent j'ai dit ! Aller !!
Finalement, sa tentative avait échoué...
Les heures passèrent et Laura fouillait chaque rues et ruelles à la recherche de quoi manger, et elle ressaya à plusieurs reprise sa tentative de tout à l'heure sur d'autres marchand, sans plus de succès...
Fatiguée, elle s'assit dans un coin de rue pour se reposer, les passant continuaient à faire leur chemin sans prêter attention sur elle, et les rares qui le faisait continuaient quand même leur chemin en offrant à peine un regard de pitié ou de dégoût.
La nuit tomba et Laura était toujours dans son coin de rue, affamée et gelée, les passant étaient de moins en moins nombreux. La pluie commença à tomber à son tour, Laura se leva et commença à parcourir la ville à la recherche d'un abris, sans en trouver. Elle finit par se retrouver au port toujours à la recherche d'un abris, et c'est une surprise qu'elle trouve devant elle : le Maxime était encore là !
Elle décida de s'approcher. Maxime se tenait au bord comme si il l'attendait.
Maxime : Je savais bien que tu reviendrais
Laura : Mais pourquoi... ?
Maxime : Ahah, il y a plusieurs raison au fait que je sois resté : déja, comme toi, je n'ai nul part où aller, ensuite, sachant que tu n'avait nul part où aller et que tu n'avais surement pas pensée à prendre de l'argent avec toi, je suis rester en attendant que tu revienne.
Laura : ...
Des larmes commençaient à apparaître dans les yeux de Laura. Maxime, en mettant le ponton
Maxime : Allons, tu monte ? Se sera mieux à l'intérieur que de rester dehors par ce temps.
Laura monta le ponton, puis se dirigea aussitôt vers la cabine du capitaine où l'attendait une surprise : sur le bureau se retrouvait un magnifique repas comme Maxime les faisait si bien avec le poisson qu'il pêche. Maxime arriva par derrière et mit une couverture sur Laura pour la rechauffer. Laura craqua et prit Maxime dans ses bras en pleurant de toutes ses larmes.
Laura : Mer... merci... merci beaucoup...
Plus tard, après le repas.
Laura : c'était délicieux, merci pour ce repas.
Maxime : Héhé de rien.
Laura : Maxime, je suis désolé si ça te dérange mais... est-ce que...
Maxime : Bien sur que tu peut rester ici, on a bien vus que tu ne peut plus rien faire sur terre.
Laura ne savait pas quoi dire.
Maxime : Bon, la pluie s'est calmé, on peut mettre les voiles.
Laura : Oui ! Il est temps de partir découvrir le monde !
Maxime : Découvrir le monde ?
Laura : Ben oui. Puis que je suis sur un bateau, autant partir à la découverte du monde avec.
Maxime : Tu n'as pas tord, je n'ai moi même pas vus grand chose en dehors des ports où j'allais quand je transportais de la marchandise.
Et donc, le Maxime commença son long, très long voyage à travers le monde, prêt à découvrir les nombreux océans qui le compose, ainsi que ses mers, ses dangers, et ses mystères.
Vincent : Quel genre de mystères papi ?
John : Ooooh les mystère du monde de l'océans infini, ils sont nombreux, et vous verrez lesquels.
Lili : Et les dangers ?
John : L'océan est rempli de danger, les tempêtes, les corsaires... vous verrez.
A suivre.
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