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#1 21 Jul, 2012 00:49:08

Philoue

Cette année j'ai participé a un concours de nouvelle organisé par le club lecture du lycée et Charlotte Bousquet, auteur jeunesse (je vous conseille la saga "la peau des rêves" smile ), nous devions écrire une nouvelle mêlant réalité et fantasy ou fantastique, et dénonçant un fait de société.

Donc je voulais vous présenter cette nouvelle, avoir votre avis smile

En ce moment j'essaye de la retranscrire en BD, je vous cache pas que c'est dur xD

Je vous fais par petits bouts, comme c'est assez long smile

_________________________________________________________________


Gris soumis (lycée)
   

Ce matin, le ciel est gris. Gris comme le sourire des passants. Gris comme les immeubles qui peuplent les rues. Tout est gris. Tout est droit, aussi, très droit, comme les lois, tout droit. Et les gens, les gens marchent, tous dans le même mouvement, passivement, rapidement. C’est l’heure de pointe, l’heure fatale, l’heure où ça chlingue dans le métro, l’heure où chaque personne est une personne de trop.


« Une petite pièce ma bonne dame, une petite pièce pour un maudit ! »


« Allez mon bon monsieur, un petit geste pour un malheureux ! »


Faire un geste, donner une pièce, pas le temps, pas les moyens. Qui parle ? Qui mendie ? Qu’est ce qu’ils en on à faire, les passants, de ce pauvre Albert qui n’a plus de dents ? Il fait froid, aujourd’hui. Il fait faim aussi. Mais il continue de chanter, Albert, il chante de vieilles chansons que personne ne connait et demande une pièce en échange. Maman ne serait pas fière de toi, hein, Albert ? C’est comme ça, il n’y peut rien : quand on est maudit, qu’est-ce qu’on peut faire ?



« Eh, t’as vu maman le monsieur, là, il vit dans un carton. »


Heureusement que les mômes sont là pour voir qu’il existe : « salut p’tit gars ! » Ah non, tu ne peux pas parler aux gamins comme ça, Albert, tu fais peur, tu le sais bien. Ça fait longtemps que le ciel n’est plus devenu bleu, ou que l’air n’ait été respirable : tout le monde porte un masque. Pas Albert « ça empêche d’avoir l’air heureux. » Mais de toute façon, personne n’est heureux, même le firmament, il fait la gueule.


Un jour, une belle demoiselle a affronté le gris de la vie. Elle est même venue parler à Albert. Toute en rouge qu’elle était habillée, même sa bouche était rouge. Le corps gris, mais tout le reste était rouge. Elle lui avait donné à manger, du chocolat au lait, ça faisait longtemps qu’on en vendait plus par ici. Elle était belle, hein, Albert, et gentille avec ça ! Mais ils l’ont prise, hein, Albert : la police la prise, tu le sais qu’elle ne viendra plus, hein Albert ? Plus personne n’a osé après ça, plus personne n’ose plus rien, maintenant. Alors tout reste gris, gris soumis. Y a qu’Albert pour faire comme si on pouvait encore sourire, comme si on Pouvait encore. Les dimanches de noces, il allait sur le parvis de l’église, les gens étaient toujours généreux là-bas, et après il allait acheter un bouquet de fleurs en papier, pour faire comme avant, quand les fleurs enjolivaient les balcons. Toutes les mariées de la ville avaient des fleurs de papiers chez elles. Un peu de couleur, ça ne fait pas de mal non ?


Ben si, c’est mal, Albert. La gentille fleuriste aussi, la police l’a prise. Encore une gentille dame qui a été prise, hein, Albert ? Alors maintenant y a plus du tout de couleurs, ni même de blanc, ni même du noir, que des nuances de sale, des nuance de nuage de pluie.
Ce matin il faisait si froid, si faim qu’Albert ne sortit pas de son carton. Il resta là, à regarder le gens. Ils étaient nombreux, les gens, si nombreux qu’on ne voyait plus les pavés, si pressés qu’Albert de ne s’entendait même plus respirer.


« Mais faites donc attention à où que vous posez vos sales pattes ! Y en a qui dorment dans les cartons ! »

#2 21 Aug, 2012 12:35:36

Freakazoid

Plutôt sympa à lire ! Y a des répétitions mais elles sont bien tournées et le récit reste agréable à parcourir.

Par contre, j'ai entendu dire que commencer un récit par une description du ciel est considéré comme très "cliché". Là, ça choque pas forcément mais bon, je tenais à le signaler.

Aussi, je n'ai pas bien cerné l'aspect "fantastique" de ton récit alors que, si j'ai bien compris, le concours demandait de mêler réalité et fantastique non ?


(There is no such thing as) Simple Love est mon premier essai manga mais j’espère que vous saurez passer outre mon amateurisme et que vous apprécierez les histoires de Benjamin, Chloé, Alice et les autres.

#3 21 Aug, 2012 17:27:03

Philoue

a crotte, j'ai pas posté la suite, en fait...mais c'est sur que l'aspect fantastique n'est pas très présent -pas inspirée-

Et merci pour l'avis smile


Vision d’horreur. L’homme qui lui a marché dessus n’exprime rien. Ses joues creuses, sa bouche masquée, son regard lointain. Mais, mais il est mort ? Mais non Albert, il est licite, lui, obéissant. Regarde toi, tu ne fais rien comme les autres et ils te font peur, tu leur fais peur. Tu devrais rentrer dans les clous, Albert, et tu auras des sous !
Mais Albert ne rentrera jamais dans les clous, et les clous, c’est pointu, donc c’est rien de bon.
C’est la première fois qu’on marche sur son carton, qu’on lui marche dessus. D’habitude, les gens contournent son carton, mais là, PAF en plein dedans. Et il a fait mal, le passant, il a bien appuyé quand il lui a marché dessus, le salaud. Il ne l’a pas vu ou quoi ? Ben non Albert, ils n’ont plus envie de te voir, ils ne veulent plus voir la misère, ça sert à rien de te voir, alors ils te voient pas. Tu vas devoir te faire a l’idée, t’es inutile à ces gens, Albert, on ne veut plus de toi ici. Mais il n’était pas comme ça, Albert, il voulait que ça change. C’était trop grave.
Alors il sorti de son carton et se leva face à la marée grise.
Mais ils font peur, les gens. Comme une armée, ils marchent tous dans le même sens, le regard fixe, la marche régulière.
« Bon sang, mais vous êtes morts ! »
Il avance à travers la foule. Une alarme brise le bruit et le mouvement des gens. Les pompiers. Le légendaire camion rouge qui ne l’est plus. Pas le droit, voyons, trop provocant. Albert continue sa marche, il doit bien y avoir quelqu’un de vivant, ici !
Ça ne peut plus durer ainsi.
« Réveillez-vous bon sang, réveillez-vous ! »
Pas de réponse. Pas même de réaction. Rien. Les gens continuent leur avancée, leur course vers les bouches de métro, les rues sont de plus en plus bondées. Ils n’entendent plus, Albert, c’est fini, on ne t’entend plus. Mais si ! Mais si ! Ils m’entendront, ils m’écouteront ! Ils ne sont pas sourds que je sache ! Ne dis pas de grossièretés Albert, on dit malentendant. Non, un sourd il est sourd, et puis c’est tout. 
Il se dirige vers l’église, les gens croient toujours au bonheur, là-bas. Mais il n’y a plus personne. Même le prêtre a déserté l’espoir. L’eau bénite est renversée, les bancs ne sont plus alignés, l’autel est sale. Je te l’avais bien dit, Albert, personne ne veut plus croire, y a plus d’espoir, pourquoi t’acharner ? Allez, rejoins le mouvement, tu ne seras plus jamais seul, tu n’auras plus faim, tu n’auras plus froid ! Que demande le peuple, hein, Albert ? Réfléchis donc ! Tu pourras manger comme tout le monde !
Mais non, il tiendra bon, Albert, hors de question qu’on le soumette. Mais pour quoi faire, hein ? Tu vas voir, un jour tu ne résisteras plus.
Le cimetière, vite, je veux dire bonjours aux miens. Ils étaient comme toi, des marginaux, c’est pour ça qu’on les a mis ici, et tu vas vite les rejoindre si tu continues. La police n’aime pas les gens comme toi, tu le sais donc bien.
Le cimetière est vide. Personne. Que des pierres silencieuses, le chat du coin et les feuilles mortes sur le sol. Il va, de tombes en caveaux, à la recherche de ses parents.
« Maman ! Que s’est-il passé, maman ? Pourquoi tout le monde est gris, pourquoi plus personne ne vit ? »
Tu crois qu’elle t’entend, idiot ? Regarde toi, tu es ridicule, lève-toi, range toi !
« Non, je ne serai pas des vôtres ! On nous avait promis un avenir meilleur, on nous avait promis de ne plus avoir faim, j’ai faim. »
Oui tu as faim, mais c’est de ta faute. Fallait suivre les lois, Albert, c’était pourtant pas compliqué ! Fallait faire comme tout le monde et tu ne serais pas là à pleurer comme un gosse ! Même les gosses ne pleurent plus maintenant !
« Mais ils ne sont pas heureux ! Ils ne sont rien, rien du tout ! »
Il hurle maintenant, il se prend la tête, à s’en arracher le peu de cheveux qu’il lui reste. A genoux, sur l’allée humide et sale, il implore, mais implore quoi ? Comment est-ce allé si vite ? Il n’y a pas si longtemps que ça, on avait encore le droit des émotions ! Tu veux savoir, hein, ce qu’il s’est passé, Albert ? Ben, pendant que tu étais dans ton carton à chanter des chansons, y en a qui ont pris le pouvoir, oui ils l’ont pris. Mais tout le monde était d’accord, tout le monde a voté pour le Pouvoir, sauf toi, Albert. Et tout le monde a voté pour la Grise, tout le monde a voté pour le tout pareil, pour la norme, pour le local. Parce que le pas local, ça prend le travail du paysan bien de chez nous, tu comprends, Albert ? On ne voulait plus de « pas comme nous » alors on les a renvoyé dans leur chez eux. Et maintenant tout le monde fait comme tout le monde, tout le monde vie comme tout le monde. Ils ont peur aussi tu sais, Albert, mais ils ne le montrent pas pour continuer à vivre sans problème. Tu vois Albert, si tu cachais ta peur, tu n’aurais plus de problème, tu n’aurais plus froid, plus faim. Tu deviendrais gris, c’est sûr, mais tu n’aurais plus peur. Allez, Albert, tu peux le faire, tu peux rejoindre le mouvement de la Grise, et tu seras comme nous.
« Mais je veux pas être comme vous, bordel, je veux rester humain, je veux vivre ! »
Ne crie donc pas si fort, pauvre con, il t’arrivera malheur. Si tu continues comme ça, tu vas te faire prendre toi aussi.
« Je ne me soumettrai pas ! »
Et Albert se met à courir, vite, très vite, à travers l’allée centrale du cimetière. Il doit y avoir une solution, il doit y avoir une issue. La Grise, je me souviens maintenant. C’était il y a deux ans je crois. Mais tout le monde disait qu’elle ne passerait jamais, que c’était juste pour faire peur. Et si. Mais que faire maintenant ? C’est trop tard, trop tard. Le gris ne partira plus. Ah, tu vois, tu vois que c’en est fini, que tu dois arrêter de te battre.
« Non ! »
Quel con, mais quel con, et tu comptes faire quoi, hein ? Qu’est-ce que tu peux faire ? T’avais qu’à voter, hein ! Maintenant soumets-toi !
Albert est à genoux, devant une grande statue érigée en l’honneur de la Grise. Elle regarde au loin, un sourire machiavélique et faussement bienveillant au bout des lèvres. Elle a gagné, loyalement, et on a tous perdu, même ceux qui la voulaient. Au final elle a menti, elle les a tous ensorcelé avec des formules démagogiques. Il se souvient. Les gens étaient comme hypnotisés par ses discours, enthousiasmé pas tant de belles promesses, émoustillés par la haine, la violence. Et le jour de sa victoire, ils firent un immense défilé, les rues chantaient, dansaient, tous étaient heureux. Mais ça a très vite changé. Les lois sont tombées les unes après les autres, de plus en plus dures. Tous les non locaux ont été renvoyés, tout le monde a été prié de se plié au gris. Tous, en gris. Même le ciel a boudé sa couleur des beaux jours.  Et maintenant, c’est toujours gris, de plus en plus. Les gens sont gris, leurs émotions aussi.
C’est bien de se souvenir, Albert, c’est bien. Tu comprends maintenant pourquoi il faut suivre le mouvement ? Oui, tout à fait, parce que sinon tu seras tués. Après tout, tu es déjà mort aux yeux de tous, Albert, puisqu’on ne te voit même plus. Il va falloir que tu te rendes à l’évidence, tu ne peux pas continuer comme ça. Allez, retourne à ton carton, et réfléchis, je suis sûr que tu changeras d’avis.
Son carton n’était plus que lambeaux. La foule avait disparu. Non ! Une femme, là-bas.
« Madame ! Madame ! Avez-vous un cartons s’iouplait ? Allez soyez gentille, j’ai plus de quoi dormir ! Vous m’entendez ? Eh oh ! a quelqu’un là-dedans ?! Vous ne comprenez pas ? Vous savez, il faut que vous vous réveilliez, sinon, on va tous y passer ! Mais oui ma bonne dame, on va devenir de vrais zombie avec ces connerie de gris uni ! Et je suis sûr que vous n’êtes pas heureuse, hein que c’est vrai, hein que j’ai raison ? Allez, donnez-moi au moins un carton, j’en ai besoin, c’est qu’il fait froid dehors, vous savez. Mais allô ! Répondez bon sang ! »
Tu crois que tu es bien là pour elle ? Tu crois que tu existes vraiment ? Qui sait, cela n’est peut-être qu’un mauvais rêve ? Non, tu ne rêves pas, elle est bien là la bonne dame, eh non elle ne te voit pas, t’entend pas. C’est étrange, n’est-ce pas ? Viens on va voir un truc encore plus étrange !
« Mais je la vois, je l’entends qui respire, pourquoi ne me voit-elle pas ? »
Viens, je vais te montrer.
Albert avance dans la rue qu’il a déjà traversée avant. Quelque chose traine par terre, son chapeau. Ton chapeau oui, il n’est pas sur ta tête, c’est fou non ?
Un vent fort souffle, et Albert a l’impression de se décomposer. Sa vue se trouble comme si un voile lui cache les yeux. Noir. Puis il se voit.
Mon corps est étendu là au milieu des pompiers et infirmières. Tout est blanc, j’en ai mal aux yeux. Cela fait bizarre tant de lumière pour ma fin. Les mots « hypothermie » et « sous-nutrition » retentissent dans la chambre immaculée. Je me sens tellement bien, comme si j’avais pris le meilleur des repas, dans une pièce chaleureuse et illuminée. Ils parlent de m’enterrer près de mes parents. Heureusement que j’ai gardé mes papiers sur moi ! Il n’y a plus rien à faire pour que je me réveille. Ils débranchent toutes leurs machines. Soudain, le blanc s’atténue, par la fenêtre, je vois les arbres retrouver de belles feuilles vertes. Le ciel de dégage doucement, et devient bleu, bleu éclatant. Même le soleil flirte avec le firmament.
Une musique douce zinzinule dans les fourrée parsemées de petites fleurs de toutes les couleurs. Les gens commencent à retrouver le sourire, une femme rie. C’est la belle dame en rouge ! Il fait beau ! La statue de la Grise a été recouverte de lierre et de nids d’oiseaux. Les cloches de l’église sonnent joyeusement : un mariage ! Les familles dansent, rient. Les mariés se regardent amoureusement, un sourire radieux illumine leurs visages d’enfants. « Je t’aime » lui souffle-t-elle à l’oreille.  Au coin de la rue, la fleuriste remplit sa vitrine de couronnes et d’arrangement chatoyants.  Là-bas, sur la grande place de la mairie, les enfants jouent au ballon, vont au carrousel, circulent entre les grands jets d’eau de la fontaine. Tout le monde discute, chante, rit. Ce n’était pas arrivé depuis des années.
Ils embarquent mon corps, ils ne savent pas trop où le mettre. Pour l’instant ils me laissent à la morgue. Tant mieux, je pourrai admirer un peu plus le paysage qui devient si beau.
La plaine se couvre de verdure, il y a même des animaux qui batifolent. C’est extraordinaire. Dommage que je ne puisse pas en profiter plus longtemps.
Tu vois Albert, ce n’était pas possible, tu ne pouvais pas vivre dans un monde pareil.
« Tais-toi un peu, laisse-moi donc savourer le bonheur des autres. Au final, c’est tout ce que je voulais, que les hommes soient heureux. Ils en ont l’air, tu crois qu’ils se sont rendus compte qu’ils avaient tort, tu crois qu’ils sont vraiment heureux ? Est-ce que c’est ça, le bonheur ? »
Non, mon cher Albert, ça, c’est le paradis.





Voila smile

#4 21 Aug, 2012 18:03:39

Freakazoid

Toujours bien écrit mais le propos manque peut-être un peu d'originalité (dénonciation d'une dictature... assez classique).


(There is no such thing as) Simple Love est mon premier essai manga mais j’espère que vous saurez passer outre mon amateurisme et que vous apprécierez les histoires de Benjamin, Chloé, Alice et les autres.

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