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Pour commencer je tenais à dire que cette histoire m'a été inspiré par un dessin de Maxa qu'il avait poster sur Facebook. Je poste pour l'instant qu'une partie du chapitre 1.
Chapitre 1: Le livre
Monde d'Omoria, quelque part entre la Foret des Chênes sombres et les Monts Rouges du Crépuscule, un homme marche sur un sentier de gravier. Autour de lui se trouvait un paysage désertique fait de pics et de roches; de là où il se trouve on peut y voir plus loin des volcans crachant du feu. En léger contre-bas, se trouve une forêt de chênes noir que l'on surnomme la forêt des Chênes sombres.
Sur lui, l'homme est équipé d'un sac qu' il porte sur le dos, à sa ceinture il porte un glaive dans son fourreau ainsi qu'une poche pleine de forme rectangulaire et quatre sortes de chargeurs contenant des carreaux d'arbalètes d'une taille réduite, quand à ses poignées il porte des brassards dorés dont une plaque superposée de couleur bleue écume. Il est habiller d'une paire de bottes beige, d'un pantalon de couleur marron beige et d'un haut de même couleur avec une capuche qu'il porte sur la tête. Physiquement, il a les cheveux courts de couleur bruns avec une petite zone de couleur rousse sur la frange. Ces yeux sont de couleurs noirs, légèrement corpulent, il semble assez jeune, il doit faire 1m80 et doit avoir entre 20 et 25 ans.
L'homme s'arrête et scrute lentement l'horizon du coté de la région volcanique. Son regard s'arrête et il se met à sortir d'une poche de son sac une paire de jumelles.
«-(soupir), Je n'est vraiment pas de chance le sentier principal est bouché par un éboulement et il m'a l'air récent. Il faudra des jours pour qu'un convoi passe et dégage le passage.
(soupir), il ne me reste plus qu'une solution mais ce passage n'est pas sûr et au vue de la hauteur du soleil, la nuit ne devra pas tarder à tomber. Je n’aura pas le temps de revenir sur mes pas, je doit trouver un abri pour la nuit. Il me semble qu'il y a des grottes dans le secteur.»
l'homme scrute de nouveau l'horizon et fini par apercevoir quelque chose du coté de la région volcanique. Il reprend de nouveau ces jumelles qu'il avait dans sa main droite.
«-Tient c'est étrange, lorsque j'ai regarder la carte avant de venir, elle m’indiquait qu'il n'y avait aucun refuge dans cette partie du sentier; il semble en ruines sa doit être pour ça. Bon vu la distance j'y serai au moment où le soleil ne serra plus visible. Par contre je pense à une chose, il faut être fou pour vivre aussi prêt des Monts Rouges du Crépuscule.»
Sur ces derniers mots, l'homme remis les jumelles dans son sac et continua sa route en direction de ce refuge. Afin d'y parvenir il dut prendre un passage plutôt tortueux et assez accidentez. Une fois arrivez il découvrit une petite maison en pierre en ruine, au vue de sa conception elle aurait permit à deux personnes à vivre de manière quasi-indépendante. l'homme fait le tour de la maison et fini par trouver deux tombes dont une ouverte. A l'intérieur de cette dernière se trouva un squelette recouvert de reste de vêtements.
«-Bon je croix que j'ai trouver les restes des maîtres de ces lieux, au vue de ces vêtements je dirai que c'est un homme et la tombe sans nom d'à coté doit être celle de son épouse. Par contre je m'explique pas pourquoi ils se sont installés, à part pour la vue sinon je vois pas.»
l'homme se dirige à présent vers la porte qui s'ouvrit avec un grincement sourd avec de la poussière tombant du haut. Cette partie de la maison n'était plus utilisable, en effet une partie du mur et de la toiture était écroulés du coté gauche. On devine au vue de ce qui reste qu'il devait s'agir de la pièce à vivre en raison d'un reste de table et du four resté intact. L'homme se dirige à présent vers ce qui semble être la chambre. La porte restée entre-ouverte dévoile une partie de lit ainsi qu'un bureau.
«-Au moins ce soir, je pourrai dormir dans un lit, il m'a l'air en bonne état.»
Son regard se tourna à présent vers le bureau où un objet recouvert d'un tissu blanc l'intrigue. Sa curiosité lui fit dévoilé un livre. Il ce mit à l'ouvrir et à lire la première page.
Ce livre et tout ce qu'il contient s'adressera à la personne qui le trouvera et qui en serra digne. Vue du peu de temps qu'il me reste à vivre, Je tenais à faire part dans ces écrits des résultats de mes observations et de mes recherches sur les hommes-dragons. Toi qui lira ces lignes tu verra que si certains faits ne peuvent changer les préjugés, les choses que l'on observes soit-même permettent d'en supprimés certains.
Je m'appelle Édouard Standford et ceci est l’œuvre de ma vie.
Dernière modification par benracer85 (26 Mar, 2014 17:28:38)
«-Intéressant, sa tombe bien j'avais besoin d'un nouveau livre à lire. Comme j'ai terminé l'autre la nuit dernière. Le four semble intact je vais pouvoir faire du feu avec le reste de la table.»
L'homme déposât le livre sur le bureau et mit son sac dans la chambre, ensuite il enleva son haut qu'il posa sur le lit. On le découvre alors habiller d'une chemise et qu'il porte un étrange pendentif. Il s'agit d'un dragon à une corne longue tenant une pierre semi-transparente de couleur orangé de la forme d'une goutte d'eau ou d'une larme. L'homme le prend dans sa main droite, se met à le serrer contre son cœur et embrassa ensuite la pierre. La nuit tombe et l'homme commença par casser le reste de la table en petits morceaux pour que ceux-ci puisse rentrer dans le four. Ensuite l'avoir rempli, il sort de son sac une sorte de réchaud qu'il remis aussitôt puis c'est le tour d'une casserole et d'un pot en verre fermé contenant une préparation prête à être réchauffer. Pour démarrer le feu du four, il sortit son glaive de son fourreau, met la moitié de la lame dans le four et appuie sur un bouton qui dépasse du manche. La lame du glaive se pare alors de petits éclairs, qui finisse par mettre le feu au bois stocké dans le four. Après avoir sortit du four et remis dans son fourreau son glaive, il rempli la casserole du contenu du pot en verre et la posa sur une partie qui semble avoir été conçu pour ça. Il sort à présent un sablier mécanique dont il règle la durée à laide d'une molette.
Le voilà a présent repartit vers la chambre. Faisant maintenant trop sombre pour lire quoi que se soit il sortit de son sac une sorte de lampe à huile qu'il alluma et posa sur le bureau. Il reprit à présent le livre et continua sa lecture en s'allongea sur le lit.
Dans notre monde comme chacun le sait, les dragons sont des reptiles carnivores dont il existe deux races. Il y a Celle du désert de Harasonn qui ne dépasse pas plus de 10 mètres de long et que certains utilise comme monture. Et puis il y a celle des Monts Rouges du Crépuscule dont la chaleur de la roche en fusion leur permet d'atteindre des longueurs allant de 15 à 20 mètres. Cette dernière m'a particulièrement intéressés du fait que depuis 2 millénaires la race à quasi-disparu mais surtout par le fait que dans la même région vit des êtres dotés de la même force et apparu au moment de la disparité de la première. Surnommé les hommes-Dragons en raison de leur apparence humaine, on sait très peu de chose sur eux car les seuls individus qui ont pu s'en approcher ne sont pas revenir en un seul morceau et n'ont pas vécu assez longtemps. Néanmoins la plupart des survivants ont décrit des humains avec une peau écailleuse de couleur sombre, une queue de dragon, une grande corne sur le front, les yeux de couleur doré, de mains et pieds à trois griffes et de très grandes écailles au endroit qui cacherai les parties intimes chez les humains. On sait aussi qu'il vive en groupe d'une trentaine d'individus et qu'ils ont un comportement très primitif. Cette dernière information fut donné en rapport lors d'un raid réussi de l'armée d'Omoria sur une colonie qui dévorait les troupeaux et habitants environnants il y a 200 ans.
Leur apparition dans cette région reste un mystère mais la légende sur la question est très intéressante. En effet la légende nous parle d'un combat d'un homme en armure mécanique contre un dragon au cœur de la région des Monts Rouges du Crépuscule, sur les pentes du mont Sigmacentoris. On le décrit comme un combat de titans de part la taille du dragon qui faisait une longueur de 25 mètres de long et de part l'armure que portait cet homme. On dit que quand il la portait il faisait à peine 60% de sa taille, l'épée à deux mains qu'il magnait mesurait environ 10 mètres de long. De plus comme le dragon, son armure avait la capacité de voler. On ignore la durée de ce combat ni les raisons mais tout ce que l'on savait c'est que les deux combattants étaient si acharné que la bataille ne pris fin que lorsque les deux moururent. L'armure mécanique de l'homme n'ayant pas supporté le combat, une gigantesque explosion s'en ai suivi et fut observer de loin. On dit que l'onde de choc fut ressentie jusque dans les plus lointains villages situé à plus de 500km de là. Les retombés de manas sur la région qui en suivirent touchèrent des œufs de dragons récemment pondu. Ces retombés étant une mélange de mana humaine et de dragons qui ont eux pour conséquence de modifier les embryons et leur fit prendre une apparence humaine. Ce qui faut savoir c'est que cette légende est née en partie à cause de deux choses. La première est que le combat à réellement exister. L'homme en question s’appelait Conrad Luminis, un brillant mage-inventeur, l'armure qu'il portait faisait partit de ses inventions. La deuxième vient du faite de la similitude de certains traits des Hommes-Dragons avec les dragons même de la région. En effet les dragons ont également la peau écailleuse de couleur sombre, une grande corne sur le front, les yeux de couleur doré et des pattes à trois griffes.
En fait j'ai commencer à m'intéresser à cette espèce lorsque j’eus fini mes études des dragons du désert de Harasonn. Je me souvient bien de ce jour. Je m'était assis sur une chaise de la taverne du Sable rouge, un bar du village de Horsonn. Un homme accompagné d'une autre homme s'assoie en face et m'interpelle.
«-Je suis enchanté de vous rencontrer enfin monsieur Standford.
-Puis-je savoir à qui est-je l'honneur, lui répondit-je en prenant ensuite une gorgée.
-Je me présente, je suis le seigneur Holaf du comté de WestRock.
-Et que me vaut cette visite, votre seigneurie.»
le gorille qui l'accompagnait se mit alors à me répondre.
«-Je te pris d'avoir un peu plus de respect pour le seigneur Holaf.
-Laisser tomber Eugène, il disait ça avec humour; bref je suis venu vous voir car j'ai une offre à vous proposer.
-Écouter, je ne sais pas en quoi consiste votre offre mais je vais certainement la refusée; Je n'est pas vu ma femme depuis 2 ans et j’aimerai pouvoir enfin passer du temps avec elle. Mon travail ici étant terminé j'avais prévu de prendre des années sabbatiques et de travailler à l'université de Strongnote. Alors vous pouvez la garder et la proposer à quelqu'un d'autre.
-Et bien voyez-vous mon cher Standford, je crains que cette requête ne puisse être confier à une autre personne. Néanmoins, je tenais à vous rassurer sur un point. Ce travail est situé non loin de votre femme. Vous pourrez donc la voir aussi souvent que vous le voudrez.»
Ce Holaf m'avait l'air assez déterminé à me faire accepter son offre et semblait être prêt à accepter certaines conditions.
«-humm, dans ce cas je vous écoute.
-Et bien voilà comme vous le savez, nous savons peu de choses sur les hommes-Dragons qui peuple la région des Monts Rouges du Crépuscule, les seules choses que nous savons sur eux provient de récits de survivants et des analyses de morceau d’écailles trouver par des voyageurs sur la route 451 qui longe en grande partie cette région. On connaît aussi un peu leur type d'alimentation à cause des attaques de troupeaux et de certaines disparitions. Oui mais voilà, le conseil des 10 provinces m'a désigné comme commanditaire pour les recherches sur ces créatures. Ors pour menez à bien ces recherches il me fallait un homme qui n'a pas peur de s'en approcher et cette homme c'est vous. De plus vous habitez à Fahrenheit-bourg, qui est le village le plus proche des Monts Rouges du Crépuscule, ce qui, comme je vous l'ai dit, ne causera pas de problème pour voir votre femme aussi souvent que vous le voudrez. Je mettrais à votre disposition des hommes, du matériel et surtout vous aurez carte blanche. Nous avons déjà repérer une colonie d'une trentaine d'individus et un passage sûr pour s'en approcher. Et puis Je croix d'ailleurs qu'au vue de votre situation financière, vous ne pourrez pas refuser cette offre.
Alors Monsieur Standford qu'en pensez-vous?»
J’eus un grand moment d'hésitation, ça se voyait du fait que je tournoyait mon verre. Je finis par prendre un dernière gorgée et répondit à son offre.
«-J'accepte mais à une condition; je travaille seul.
-Comme vous voudrez, un de mes hommes vous remettra la carte qui vous permettra de vous rendre sur place chez vous dans une semaine. Sa vous laissera le temps de vous reposer et de profiter pleinement du temps avec votre femme.»
Holaf se leva et fit signe à son gorille de le suivre. Je laissa mon verre sur la table et la somme pour payer ma boisson. Je rejoignis mon hôtel afin de récupérer mes bagages et rentrer chez moi le plus tôt possible.
Une alarme similaire à celle du réveil mécanique interrompt notre homme dans sa lecture. Il mis alors une sorte de marque-page la où il était rendu et se rendit vers le sablier mécanique qu'il arrêta de sonner. Il prend ensuite la casserole qu'il reposa ce qu'il reste d'un plan de travail. L'homme se dirigea vers la chambre et sortit de son sac une fourchette-cuillère en bois et une gourde qu'il posa sur le lit. Il mis la fourchette dans la casserole et s’aménagea un siège et une table avec quelques débris du mur effondré. Après avoir récupérer sa gourde sur le lit, il prit de la main droite la casserole encore fumante qu'il posa sur la pierre qui lui sert de table, s'assoie sur l'autre qui lui sert de chaise et tourna son regard vers l'emplacement de la tombe ouverte.
«-Ainsi donc tu est venu ici pour étudier les hommes-dragons, ça explique bien des choses.»
l'homme posa sa gourde à coté de lui, s'empare maintenant de la casserole et se mit à savourer son repas. Une fois son repas terminé il se rend dans la chambre, sortit un pain de son sac et nettoya la casserole et la cuillère avec. Une fois rangé toute sa cuisine dans son sac, il y sort d'une poche un petit pot en fer qu'il ouvra. Ce pot semblait contenir une sorte de pâtes qu'il s'appliqua sur ses dents à laide et tout en frottant avec son index droit. Au bout d'une vingtaine de secondes il pris une gorgée de la gourde qu'il avait laisser de sortie pour se rincer la bouche. Il finit par crasher le contenu par dessus la petite fenêtre de la chambre. Il finit par ranger la gourde dans son sac s'empara du livre laisser sur le bureau et s'allongea sur le lit pour y continuer sa lecture.
Après trois jours passer dans la caravane qui traverse le désert. Me voici arriver à Ironblue, il me reste peu de temps pour prendre un ticket du nouveau moyen de transport mis en place depuis peu et dont c'est la seule ligne actuelle de terminée. Il appelle cela chemin de fer; le trajet entre Ironblue et Fareinheit-Bourg dure environ deux heures contre deux jours sur la route. C'est la première fois que je monte dans ce type de transport mais la deuxième classe reste sympathique, j'avais de la chance il y avait peu de monde dans le wagon où j'était. Deux heures plus tard me voici enfin arrivez chez moi à Fareinheit-Bourg le terminus de la ligne. Je frappe à la porte de chez moi, elle m'ouvre les yeux en larmes. Je n'ose pas lui dire, je ne voudrais pas gâcher ce moment et le remit à plus tard. Quatre jours se sont écoulés et un matin un homme frappa à ma porte.
«-Édouard Standford, je doit vous remettre ceci.»
L'homme avait entre ces mains un rouleau et une bourse pouvant contenir 100 pièces d'or.
«-Avez-vous un message à transmettre au seigneur Holaf?
-Oui, lui répondit-je, dites lui que je vais commencer après avoir étudier cette carte et lui enverrai mon premier rapport sous peu.»
Sur ces mots, l'homme s’éloigna et ma charmante épouse sortit enfin de son sommeil, vient m'interpeller.
«-Édouard qui était cette homme?
-Et bien ma chérie, je doit t'avouer une chose, voilà j'ai accepter un travail.
-Ah je vois tu va encore partir pendant des mois et des années; je commence à ne plus aimer cette vie, tu sais que les seules choses qui me rassurent dans ces moments là se sont les nombreuses lettres que tu m’envoie. J'aimerai enfin pouvoir enfin fondé une famille avoir des enfants.»
Je lui pris les mains et je la rassura par ces mots.
«-Écoute, Sonia, je tient à te rassurer je ne vais pas partir très loin, le travail que je doit faire ce trouve ici chez nous dans notre village, je ne serra absent que quelques jours au maximum. Je te jure c'est la vérité.
-Tu me le jure.
-Oui je te le jure.»
Je venais de lui avouer qu'une partie de vérité car s'il en savait trop elle m'aurai encourager à ne plus accepter cette mission. Je déroula le rouleau sur la table et y découvrit la carte promise plus un message signé avec le tampon du seigneur Holaf.
<Mon cher Edouard, si vous prenez connaissance de ce message, c'est que vous venez de signer le contrat de l'offre que je vous est faite la semaine dernière à Horsonn. Comme vous le constaterez le point où se situe la colonie reste assez vague car mes hommes ne pouvait approcher plus; néanmoins il ont eu l'amabilité de cartographier ce qu'il pouvait. Je vous laisserai le soin de compléter cette carte si besoin ai. Au fait, la bourse livrée avec la carte contient de quoi vous acheter du matériel, votre salaire ne sera versé que si je juge vos rapports intéressants et surtout n'oublier pas; je compte sur vous.
Signé Seigneur Holaf du comté de Westrock>
Je retira la lettre de la carte que je finis par déposer sur la table. Elle était assez détailler et je commença par repérer un passage praticable vers la croix qui devait correspondre à la colonie. Il était assez long et il le me faudrait trois jours de marche aller-retour de mon point de départ. Néanmoins je remarqua un chemin de crête qui semblait mener vers un petit plateau et situé environ à un peu plus d'une demi-journée de marche du bout de la route 451 coté Fareinheit-bourg et pour les plus courageux il faut deux heures et demi de marche en empruntant un passage accidentez et tortueux du coté de la forêt des chênes sombres. Il pourra me servir de camp base et n'est situé qu'à 3 heures de marche sur le point d'observation que j'ai défini pour voir la colonie d'assez prêt sans les déranger. Il ne me restait plus qu'à sortir en ville pour acheter et préparer le matériel pour la future semaine d'observation. Le soir venu, J'ai pu définir avec Sonia les jours où je serrai partit et les jours où je serra à la maison faisant mon rapport à holaf. J'en profite tant que j'y pense pour en revenir au présent à faire une copie de cette carte sur la double page centrale de ce livre et dont j'ai rajouter un maximum de détails. Car d'ici peu de temps je ne l’aurai plus en ma possession.
Notre lecteur intrigué marqua d'un doigt la page qu'il lisait et ouvrit la page centrale. Il y vit effectivement une carte et remarqua des passages non répertoriée sur celle qu'il possède. Le voici qui se lève, mit son marque-page dans le livre et pris la carte se trouvant dans son sac. Il posa le livre ouvert à la page centrale et la carte sur le bureau au plus prêt de la lampe à huile.
«-humm ok, alors ça c'est la route 451 et ici le sentier parallèle dangereux. Ors je remarque un autre chemin qui commence par ici et rejoint la partie finale de la route 451. Parfait je serra revenu à la date convenu avec mon oncle. Bon j'ai assez lu pour aujourd'hui j'ai enfin le sommeil qui me gagne et je serra allongé de manière confortable. (baille) Ah je vais bien dormir cette nuit.»
Il remis la carte dans son sac et fermât le livre qu'il y mit également. Il vérifie les braises du four qui s’atténuent peu à peu, éteint la lampe à huile et va se coucher. Le lendemain matin la lumière du soleil qui entre peu à peu dans la chambre fini par le réveiller.
«-Hummm, c'est déjà le matin.»
il se lève et s'étire.
«-(baille), j'ai bien dormi.»
Il se dirige à présent à l’extérieur de la maison, s'approche d'un rocher, baisse légèrement son pantalon et se soulage. Retournant à l'intérieur de la maison, une drôle de sensation l'envahit, il a le regard méfiant. Il prend son sac sur son dos, sort de la maison et s'apprête à partir en direction de ce fameux sentier.
«-C'est étrange, j'ai une légère sensation que quelqu'un m’observe, et de loin. Enfin bref, ne perdons pas de temps, je voudrais arrivez à Fareinheit-Bourg avant la nuit tombée.»
Fin du Chapitre 1, la suite au prochain palier.
Chapitre 2: La rencontre
Cela fait maintenant depuis deux heures que notre homme marche. Il arrive à ce qui devait être l'intersection sur la carte mais il découvre en réalité un passage assez étroit. Il était néanmoins suffisant pour qu'un humain puisse passer sans problème. Ce passage devait faire au moins 500 mètres de long et la hauteur devait bien faire 8 mètres de haut. De plus de part sa dangerosité si un rocher devait tomber il s'en trouverait coincer voir pire écraser. N'écoutant que son courage, il s'engouffra dans le passage et fini par atteindre l'autre bout en 5 minutes. Là il arriva sur une sorte de cuvette contenant des haut rochers quelques arbres morts et une marre d'eau; on voyait la sortie à l'autre bout. Oui mais voilà l'homme se dirigea vers la marre d'eau; il devait sans doute avoir besoin de se recharger en eau. Il observa tout d'abord au bord de la marre s'il ne trouvait de cadavres. Ensuite il sortit son glaive et plongea la lame dans l'eau. Ne constatant rien d'anormale, il le rangea. De sa main droite il prend un peu d'eau et en goûtât une gorgée. Rassurer il dépose son sac et sort une gourde différente qu'il commença à remplir. D'un coup, un bruit d'un petit éboulement l'interpelle mais il continua de remplir sa gourde. Puis c'est le tour d'un autre petit éboulement. Il n'y a plus aucun doute possible quelqu'un ou quelque chose l’observe. Par chance il finit de remplir vite fait la gourde, se dépêcha de la mettre dans son sac et s'apprête à sortir quelque chose de la poche carré attaché à sa ceinture.
«-Ma petite Nelly, on va devoir se monter persuasif.»
L'homme venait de sortir une petit arbalète qui se déploya. Elle est faite de métal forcé gravé et d'engrenages; on distingua même un nom sur le bout de l'arme, 'Nelly 500-S'. Il y enclencha un des quatre chargeurs de carreaux qu'il porta et par un mécanisme complexe permit à l'arme de se charger toute seule. Pas de bruit depuis quelques secondes et autre petit éboulement survient, il tira dans sa direction et le carreau atterrit à proximité d'un rocher. Le mécanisme de l'arbalète la recharge rapidement.
«-Ceci-ci n'était qu'un avertissement, hurlât-il, la prochaine fois je ne ferra pas semblant. Sortez de votre cachette.»
Il vit alors quelque chose courir très vite à quatre pattes et portant des ailes se dirigea vers l'autre rocher situé à sa gauche. Il n'hésita pas une seconde et tira un second carreau mais celui-ci manque sa cible.
«-Il manquai plus que ça, je suis la proie d'un homme-dragon. Et il est vachement rapide, je ne voit qu'une solution.»
l'homme se met à sortir de sa poche droite une pâte qui malaxe et mis sur le carreau enclenché de son arbalète. Il vise le rocher et tire. Celui-ci explose dans un nuage de fumée. L'homme retire le chargeur de son arbalète tout en lançait le dernier carreau rester enclencher. Il s'approche de la zone dont la fumée se dissipe et ne voit pas de corps.
«-Bon je croix qu'il a compris.»
il s'en retourne vers son sac mais il sent d'un coup une mauvaise vibration de l'air. Il se retourne et voit la créature est en train de lui foncer dessus.
«-Je ne n'aurai pas dut baisser ma garde!»
Il a juste le temps de mettre son bras gauche devant son visage pour parer l'attaque et de viser de manière approximative avec son arbalète pour riposter. On distingue à présent plus clairement la créature, il s'agit précisément d'une femelle homme-dragon de part ces grosse écailles sur la poitrine et d'une chevelure rousse longue légèrement bouclé.
C'est le choc, de par une rotation dont il évite le coup de queue, et de part un coup de pied gauche de la femme-dragon, celui-ci est projeter violemment en arrière. Heureusement pour lui sa direction lui permet d'avoir le réflexe d'attraper son sac pour se le mettre derrière le dos. Il atterrit avec violence, le sac entre lui et la paroi du passage d'où il venait. Sous Le choc il a lâcher son arbalète dont on voit qu'il avait tirer le carreau et il est à présent à genoux. Son regard se tourne vers la plaque de son brassard gauche. Celle-ci était passer de bleu écume à vert feuillage. Il leva la tête et visa du regard la femme-dragon reste immobile.
«-Bon, sens, elle très forte mais elle n'a pas dut utiliser toute sa force pour me faire valser. Heureusement que le sac à amortit le choc sinon j'aurai les os brisés.»
Mais pas le temps de se reposer la voici qui s'envole et tente une attaque en piquer. Il croise alors les bras avec d'un coté la main droite prête à dégainer le glaive et de l'autre la main gauche dans la poche droite en train de malaxer la pâte explosive. Elle est maintenant à quelques mètres de lui tout ce passe en quelque secondes, il lance la pâte explosive au sol pour créer un nuage de poussières. A peine à t-il réussi à esquiver qu'il empoigne de la main gauche le bras gauche de la femme-dragon et profite de l'inertie de son attaque pour la projeter au sol. En même temps, de sa main droite il chargea son glaive d’éclair. La seconde suivante alors qu'elle touche terre il lâcha prise et mis son bras gauche dont la plaque de son brassard sur le cou de son adversaire. De l'autre, il s'apprête de sa main droite à lui enfoncer son glaive dans la jugulaire. La fumée se dissipe et on peut voir qu'il s'est arrêter dans son élan. Il est essouffler mais pas tant que ça. Son adversaire qui est normalement bien plus fort que lui n'arrive étonnamment pas à se défaire de son emprise, elle semble paralyser. Il n' est genoux que du coté gauche; il se regarde mutuellement droit dans les yeux. Et alors que l'homme s'apprête à achever la femme-dragon...
«-C'est bon t'a gagner, je me rend.»
l'homme avec un étonnement soudain, lâche d'un coup son emprise et recule sur un mètre avec une marche semblable à une araignée. La femme-dragon en profite pour se relever étonnamment en douceur; l'homme quand à lui reprend sa garde avec son glaive toujours charger d’éclairs. La femme-dragon semble assez jeune, on dirait qu'ils ont environ le même âge, elle doit bien faire 1m90. En fait si on devait comparer à un homme-dragon de base, elle a la peau plus clair, la corne frontal extrêmement peu développer et les cheveux plus longs. Elle enlève les petites pierres rester sur elle et s'adresse à notre combattant.
«-Je pensais t'avoir assez facilement. Ors tu m'a eu et tu aurai pu me tuer. Je ne vais pas recommencer de sitôt, je ne pas envie de mourir.
-Si je t'ai laisser la vie sauve c'est que j'ai mes raisons. Sinon tu serai déjà en train de te vider de ton sang. Alors je te donne un conseil, part avant que je ne change d'avis. Tu a très bien vu que je ne plaisantais pas.»
Sur ces mots la femme-dragon s'envole et s’éloigne de notre homme. Après quelques secondes il éteignis les éclairs de son glaive et le remis dans son fourreau. Il se dirige vers son sac et l'ouvrit.
Les pots en verre qui étaient mis dans des poches en tissu étaient tous brisé. On y vit aussi une certaines quantités de divers tissus. Le reste par chance était intact. Il remis le sac sur son dos. Il ramassa à présent son arbalète et enclenche le chargeur qui l'avais précédemment retiré.
«-Ma petite Nelly, je croix que nous allons devoir finir notre voyage ensemble. Je n'est absolument pas confiance en cette fille. Car tu vois, ça ce voyait dans son regard qu'elle ne lâcherai pas l'affaire aussi facilement. Je vais donc devoir rester attentif à ce qui m'entoure. Allez reprenons notre route.» Notre homme traversa la cuvette et continua sa route.
Cela fait maintenant un peu plus d'une heure que le combat a eu lieu et avec son arbalète à la main, notre homme est toujours sur le qui-vive mais pour l'instant toujours rien. Une demi-heure plus tard alors qu'il vient de faire plus de la moitié du parcours à faire. Un bruit d’éboulement l'interpelle et il tira sans hésitation. Une ombre en sortit et s'envola dans les airs. Notre homme avait raison sur un point, cette fille ne lâchera pas l'affaire; de plus,une chose à ce moment là lui traversa l'esprit.
«-Comment arrive-t-elle à parler alors que son peuple en est de base incapable? Et puis elle me parlait dans un langage claire. Bon pas le temps de réfléchir continuons.»
Le voici maintenant au trois quart de son parcours, de la où il est, il peut apercevoir plus loin le village de Fareinheit-Bourg. On entend à présent un grand battement d'ailes, quelqu’un est en train de se poser.
«-Tu sais que tu ne devrais pas trop d'approcher d'un village, tu risque de t'attirer des ennuis. Et puis à ton avis ici qui est le plus dangereux les villageois, ou moi.»
l'homme se retourne et braque à présent son arbalète vers la femme-dragon, elle lui répond.
«-Croix-tu que si j'avais voulu te tuer je me serai attaquer à toi de cette façon tout à l'heure.
-C'est vrai j'ai trouver cela étrange, c'est d'une des raisons qui m'ont bloqué dans mon premier élan. Tu sais te battre mais tu manque de pratique et tu compense cela par ta force et ta vitesse. Alors explique moi pourquoi nous sommes tous les deux en vie.
-En fait en gros, j'ai juste besoin de ramener un humain à ma colonie.
-Humm, quelque chose me dit que c'est plus compliquer que ça.
-C'est exact, en fait étant la plus faible au vue des autres, pour prouver ma force je doit ramener un guerrier à la colonie. Le truc c'est que ma mère m'a interdit à attaquer des humains. J’étais pris entre deux feux. Et puis j'ai vu de la lumière là où ma mère m'a interdit d'aller et je t'ai vue. Tu correspondais à ce que je cherchait. Alors je t'ai suivi mais ta fini par me repérer. C'est là que j'ai décider de t'attaquer. Néanmoins je n'avais pas prévu que tu te défendrai aussi bien. Tu a failli me blesser tout à l'heure avec ton arbalète. Le plus étonnant c'est que tu a réussi à me paralyser au sol, je ne pouvait plus bouger mes membres inférieurs. Comment as-tu fait ça?
-C'est pas un truc que je dévoile à mes adversaires et je ne te le dirai pas. Je suppose que je doit servir de repas.
-Pas du tout, je te le jure.»
l'homme regarda la femme-dragon droit dans les yeux. Son regard était sincère.
«-Bon disons que je te croix et que j'accepte de venir avec toi. Est-ce que j'aurai la garantie que tu ne m'attaquerai plus.
-Bien sûr.
-Dans ce cas j'accepte.»
l'homme enlève le chargeur et le carreau de son arbalète et range tranquillement son matériel sur sa ceinture. La femme-dragon se retourna et commença à partir en direction de la provenance de notre homme. Quand à lui il se retourna aussi et continua sa route en direction du village. La femme-dragon s'en aperçoit, s'envole et se met à voler à coter de lui.
«-Je te rappelle que tu est censé me suivre.
-Tu sais, je n'est jamais dit que je ferai ça de suite.
-Dans ce cas.»
Elle atterrit à ce moment là devant lui.
«-Je vais devoir t’emmener par la force.
-Écoute, je suis un homme de parole, si j'ai dit que je viendrais, je viendrais. Tu ne m'a préciser que c'était presser et ça n'en avait pas l'air. De plus j'ai d'autres choses à faire avant. Donc soit tu viens avec moi soit à ce petit jeu tu risque de perdre.»
Elle hésite un instant.
«-D'accord.»
Elle se met alors à sa gauche et marchèrent.
«-Dit-moi tu en a pour longtemps.
-Sa dépend, normalement non. Pourquoi?
-Rien.
-Dit-moi étant donner que l'on va être un moment ensemble, je voudrait savoir ,comme tu sais parler. Tu porte bien un nom?
-Oui ma mère m'appelle Drigna.
-Enchanté Drigna, moi c'est Erwan.
-Enchanté Erwan.
-Tu sais Drigna, cette petite aventure va t'apprendre au moins une chose.
-Laquelle ?
-La patience.»
Fin du chapitre 2. Et oui désolé, il est assez cours. la suite au prochain palier.
Chapitre 3: Bienvenue à la maison
Le village est maintenant tout proche mais voilà que nos compères s'arrêtent. Erwan enleva son sac de son dos et se mit à fouiller dedans.
«-Pourquoi s'arrêtent-on nous? Demanda-t-elle.
-Et bien tu vois si tu te rappelle, je t'es dit que le village n'était une zone sûr pour toi. Même si ta présence est pacifique les homme-dragons sont mal vue partout. Tu risque d'être pourchassé et tuer. Heureusement pour toi, j'ai la solution à ce problème. J'ai emmener ma ceinture camomorphique que j’avais besoin pour une mission et je croix qu'il reste assez d’énergie.»
Erwan la trouve enfin dans son sac et la présente à Drigna. Il s'agit d'une ceinture fait de maille de fer et d'un ceinturon rond décoré avec un pendule à cadran blanc et chiffres romain sur la face avant. Celle-ci indique 7h45.
«-Bien je vais t'expliquer son fonctionnement. La ceinture camomorphique permet à n'importe quel individu de modifier de manière plus ou moins importante son apparence. Elle ne peut en aucun cas modifier ni le sexe, la plupart des os, la force et le poids de la personne qui la porte. Elle mémorise une apparence par individu d'un maximum de six personnes. La pendule qui est sur le devant indique le temps d'utilisation qu'il te reste donc dès qu'elle a atteint 12h tu reprend ton apparence originale. Tu voix elle indique 7h45, il reste donc 4h15 d'autonomie, ça sera suffisant.
Tient met la autour de la taille.»
Erwan passa la ceinture à Drigna et lui expliqua comment la mettre.
«-Et pour l'activer? Dit-elle
-Tourne la molette vers la droite et relâche.»
La cadran de la ceinture se met alors à virer au rouge. l'apparence de Drigna est en train de se modifier sous nos yeux. Sa peau de couleur sombre et finement écailleuse se confond avec celle d'une peau humaine de couleur métissé. Sa longue queue et ses ailes rétrécissent jusqu'à faire environ 10% de leur taille réelle. Ses mains et ses pieds rétrécissent également, les griffes ressemblent à présent à de longs ongles. Sur chaque pied et chaque main, deux doigts se creusèrent et donne ainsi l'impression qu'elle a cinq doigts au lieu de trois. Par contre les grosses écailles et la petite corne sur le front étaient toujours là. De même que la couleur de ces cheveux et de ces yeux qui n'a guère changer.
La couleur rouge s’estompe à présent et un tic-tac se mit en marche. La ceinture est maintenant en fonctionnement. Oui mais voilà Erwan de part sa réaction est un peu déçu du résultât. il fouilla de nouveau dans son sac.
«-ça ne va pas? Lui demanda-t-elle.
-Et bien disons que je m'attendait à mieux comme résultat mais de toute façon il fallait que je t'habille un peu après la transformation.»
Erwan sort une toge et un foulard de son sac.
«-Tient met ça.»
Voyant qu'elle ne savait quoi faire de ces vêtements Erwan du montrer à Drigna comment les enfiler.
La voici maintenant habiller comme un mage avec un foulard sur ces cheveux.
Erwan sort également du sac un paire de sandales et les lance à Drigna.
«-Tu sais j'ai toujours marcher pieds nus et je ne sais pas enfiler de chaussures.
-Je sais mais quelque chose me dit que tu risque d'en avoir besoin.
-Allez cesse de parler et reprenons notre route.»
Erwan ramasse son sac et Drigna avec les sandales dans les mains continuèrent leur chemin.
Les voici à présent arriver à Fareinheit-Bourg, les gens se baladent dans les rues faites de routes et de trottoirs pavés. On y voit aussi bien des gens à pied que en train de tracter des chariots. L’éclairage est assurer par des lampadaires de style victorien; on y distingue même un système d'égouts souterrains de par des plaques d'aciers sur la chaussée et des trous d’évacuation d'eau de pluie. Certaines maisons dont certaines de style colombages possédait un système de récupération des eau de pluie fait de tonneaux de bois. Les plus récentes toutes en briques avait quand à elle une sorte de petit château d'eau en plus. Ils passèrent devant un petit garçon en train de crier: «Demandez le journal. l'empereur Marlok vient d'augmenter le budget militaire; et découvrez en avant première le test de la Mobilus. Demander le journal.»
là Drigna posa une question à Erwan.
«-Dit c'est qui ce Marlok?
-Il s'agit du dirigeant de tout Omoria, il est monter au pouvoir après la mort de son père.
-Ah je voit. Au fait tu m'a toujours pas dit ce qu'on est venu faire ici.
-Je doit aller rendre visite à mon oncle, il tient un bar à Fareinheit-Bourg. Et je doit aussi régler quelques petites affaires en ville.
-ça sera long?
-Comme je te les dit tout à l'heure, normalement non.
-D'ailleurs on est arrivé.»
En face d'eux se tenais un bar du nom de 'Lightning Steam', ils y entèrent. Le bar était un peu remplit, il faut dire que celui-ci était connu pour sa bière maison d’excellente qualité. Les voici à présent arrivez au comptoir où le barman assez costaud était en train de parler à un client.
«-Oncle Jacob je suis de retour.»
le barman se retourna et de joie il répondit:
«-Erwannn, mon cher neveu ça fait plaisir de te revoir parmi nous, lui dit-il en se serrant dans les bras. Je vois que tu est accompagné, mais dit-moi pourquoi porte-elle ses sandales dans ses mains?
-ha heu...»
là Drigna répondit:
«-En fait c'est juste que je préfère marcher pieds nus.
-Ha je vois, je me présente, Jacob Lumens, l'oncle d'Erwan et aussi le patron de ce modeste bar. Ho pardon, j'allais en oublier la politesse quel votre nom mademoiselle?
-Je m'appelle Drigna, monsieur Lumens.
-Vos parents devaient beaucoup aimer les dragons pour vous donner ce nom.
-Oui on peut dire cela, monsieur Lumens.
-Vous savez vous pouvez m'appeler par mon prénom; tout le monde ici me connaît et me tutoie.»
Il hausse le ton de sa voix.
«-Hein pas vrai les gars.
-Ouais; lui répondirent tous ceux présent dans le bar.
-Vous voyez. Alors ça fait combien de temps que Erwan et vous...
-Hein mais rien du tout, c'est compliqué et puis de quoi je me mêle, répondit Erwan d'un poil un peu énerve. Drigna intervient:
-En fait, Je suis son commanditaire.
-Oh pardon, veillez m'excusez, vous savez sa tante aimerai tant qu'il se trouve une petite amie. Elle est en cuisine en ce moment.»
Il haussa de nouveau la voix.
«-MARTA.
-Oui, Jacob, je suis occupé au fourneaux qu'est-ce qui y a de si urgent?
-Rien, c'était juste pour t'annoncer que ton neveu était de retour.
-Oh mon dieu, il est de retour le petit sucre d'orge.
-Tata, je tes déjà dit pas devant tout le monde, dit Erwan d'un air gêné.»
Une femme sort alors de la porte qui mena à la cuisine.
«-Erwan, sa faisait longtemps, dit-elle en se serrant dans les bras.
-Seulement 6 mois tante Marta, seulement 6 mois.
-Oui mais enfin tu sais très bien que pour moi c'est comme si tu était partit pendant un an.
-Heu ma tante, je voudrais te présenter quelqu'un.»
Erwan se met alors à montrer Drigna à sa tante.
«-Tante Marta, je te présente Drigna.
-Enchanté de voir que mon neveu c'est enfin trouvé une petite amie.
-Mais tu va t'y mettre toi aussi tata, répliqua Erwan.
-Madame, on se connais que depuis peu donc on sort pas vraiment ensemble, répondit Drigna.
-Appelez-moi Marta, vous me ferez plaisir.
-Hum, hum, Marta, tu ne devrais pas t'occuper de la cuisine, lui dit son mari.
-Ho où avais-je la tête. On se voit tout à l'heure.»
La tante d'Erwan s'en retourna à ses fourneaux.
«-Merci tonton.
-De Rien, tu la connais elle serra là un bon moment et aura oublier ce qu'elle avait mis sur le feu.
-Oui c'est vrai, répondit Erwan en souriant.
-Tient au fait je t'ai pas demander qu'est-ce que je vous sert les jeunes?
-Une bière blanche maison s'il te plaît.
-D'accord et pour la demoiselle?
-Heu, la même chose.»
Erwan s'étonna du choix de Drigna mais voilà que son oncle leur sert leur chope de bière.
Erwan pris une première gorgée et Drigna enfila les chaussures et en le regardant reproduit approximativement les mêmes gestes. Cela continua jusqu'à ce que les deux eurent finir leur chope. A ce moment là, Drigna commença à avoir des maux d'estomac.
«-Sa va, Drigna ?
-Je sais pas pourquoi mais il y a un truc que j'arrive pas à digérer.»
D'un coup la voici qui se lève et part en direction des cuisines.
«-Hé, les toilettes c'est de l'autre coté.
-Laisse tonton je m'en occupe, répondit Erwan à son oncle en se levant de son siège pour rattraper Drigna.»
La voici à présent qui traverse les cuisines devant Marta qui est sur ces fourneaux.
«-Mademoiselle, les toilettes c'est de l'autre coté, lui dit t-elle.» Mais la voilà en train d'arriver dans l'arrière cour. Erwan passa à ce moment là.
«-Je m'en occupe tata.»
Voici Drigna à présent dans l'arrière cour, s’apprêtant à vomir au premier abord ors c'est toute autre qui se produisit. En effet la voilà qui rehausse un peu la tête et se met à cracher une flamme en direction du tas d'ordures situé juste à coté. Erwan qui vient d’insister à la scène s'empare du sceau d'eau à l'entrée de l'arrière cuisine et courra pour éteindre le petit incendie. Il lança le contenu du sceau sur le feu qui s’éteignit aussitôt. Drigna tousse un peu et dit à Erwan:
«-Je comprend pourquoi ma mère m'a interdit de boire de l'alcool.
-En tout cas, maintenant je te déconseille d'en boire, lui répondit-il.»
Il raccompagne Drigna vers la salle du bar.
«-C'était rien, dit-il en passant devant sa tante.»
De nouveau au bar, son oncle inquiet demanda des nouvelles.
«-Sa va Mademoiselle, il y a encore quelques secondes vous étiez pas bien.
-C'était rien juste un truc qui voulait pas passer, maintenant sa va mieux.
-Ah sa me rassure. Tient c'est bizarre je sens une légère odeur de brûler.»
Jacob se met a hausser de la voix et la dirigea en direction des cuisines.
«-MARTA, je sens une odeur de brûler, ça viendra pas de la cuisine.
-Pas du tout, lui répondît-elle, ça viens de dehors je croix que quelqu’un à mis le feu aux poubelles.»
Erwan intervient.
«-Ah oui mon oncle, ça me fait penser qu'on a surpris des gamins mettant le feu aux poubelles, mais t'en fait pas l'incendie est maîtrisé.
-MARTA, le petit confirme et il y plus rien à craindre.
-Au fait, demanda Erwan, sais-tu si Bertrand est en ville, j’aurais besoin de le voir.
-Non, comme il savait que tu revenais aujourd'hui il m'a dit de te dire qu'il sera partit quelques jours pour aller chercher du matériel. Il devrait être de retour après-demain.
-Parfait, de toute façon demain, je doit aller aux bureau des quêtes pour recevoir ma prime.
-Dites, demanda Drigna, est-ce que vous pourrez m’héberger le temps que je sois en ville. En fait je ne sais pas où aller et je n'est pas assez pour me payer une chambre d’hôtel.
-Pas de souci mademoiselle, vous n'aurez qu'a partager la chambre d'Erwan, ça ne te dérange au moins?
-Non, non, dit-il en répondant d'un air timide.
-Parfait vous allez voir sa tante est un vrai cordon bleu.»
Cinq minutes plus tard, Erwan en prenant son sac invita Drigna à le suivre. Ils passèrent par la cuisine et empruntèrent un escalier en bois situé dans l'arrière cuisine menant à l'étage. L'étage était un véritable appartement indépendant. Il y avait un couloir donnant sur la gauche sur une cuisine-salle à manger avec un poêle à bois et une porte menant vers l'extérieur, des toilettes communes au fond et deux grandes chambres avec salle de bain indépendantes sur la droite. Il l’entraîna d'abord toilette pour lui expliquer le fonctionnement. Ensuite il l’entraîna dans sa chambre qui était celle du fond, elle possédait un lit deux places au centre, une table de chevet avec une lampe sur la droite, une fenêtre double avec rideaux, une armoire sur la gauche et enfin une cheminée au centre du mur de droite commun au deux chambres. Sur la gauche se tenait la porte menant à la salle de bain indépendante; Il l'ouvrit après avoir son sac au pied de son lit. La salle de bain comportait une baignoire centrale avec douche et un lavabo avec miroir. Il expliqua à Drigna comment se servir des robinets. Il sorte de la salle de bain et une fois de nouveau dans la chambre.
«-Bon il va falloir économiser l’énergie de la ceinture. Tu va devoir l'enlever le temps que tu serra dans ma chambre et surtout mon oncle et ma tante ne doivent jamais voir ta véritable forme. De toute façon sa serra juste pour ce soir car comme je l'ai mettrai cette nuit à recharger. Tu pourra la porté quasiment toute la journée demain.»
Elle lui fait signe de la tête qu'elle comprend et pour ne pas abîmer les habits qui lui sert de camouflage supplémentaire, elle doit se déshabiller. Oui mais voilà, après enlever ces chaussures et son foulard, alors qu'elle commence à soulevez sa toge, Erwan l'interrompt se retournant d'un air gêné.
«-Hum, hum, tu peux te retourner s'il te plaît.
-Pourquoi? tu m'a déjà vue sans ces vêtements.
-Pour rien t'occupe, retourne toi s'il te plaît.
-Bon d'accord.»
Drigna se retournât pour continuer de se déshabiller. Erwan toujours retourner de son coté, commença à se poser des questions intérieurs.
«-Mais pourquoi est-ce que j'ai rougit comme ça. Sa doit venir du fait que c'est la première et seule fille que j'invite dans ma chambre. Oui sa doit être ça.»
De retour à la réalité, Drigna qui n'a plus que la ceinture autour de la taille demanda à Erwan comment l'arrêter.
«-Alors pour ça tourne la molette vers la gauche et relâche.»
Elle s’exécuta et le cadran de la ceinture vira au rouge. Drigna reprend peu à peu sa véritable apparence; une fois le processus terminé le cadran redevint blanc et les tic-tac s'interrompt. Erwan se retourna puis se fut le tour de Drigna.
«-Passe moi la ceinture tu n'en a plus besoin pour l'instant.»
Drigna enleva la ceinture et la confit à Erwan qui lit l'heure indiqué sur le cadran.
«-Parfait il reste 2h15 d'autonomie, de quoi tenir le temps du repas et quelques imprévus. Bon je te laisse je descend juste en bas et je reviens.»
Sur ces mots Erwan, laissa la ceinture sur son lit et Drigna seule dans sa chambre. Alors qu'il descendit il se dit:
«-J'espère que sa va bien se passer.»
Le voici de nouveau au bar de son oncle.
«-Ah t'est descendu Erwan, ton amie n'est pas avec toi?
-Non je la laisse se reposer un peu de notre voyage. Il faut dire qu'on marche depuis un petit moment.
-D'accord, veut-tu que je te serve quelque chose? La même chose que tout à l'heure?
-C'est pas de refus, tu sais je vais te ruiner si tu continue à me servir comme ça, Dit Erwan en rigolant.
-Mais non, ah ah, t'en fait pas, je sais que tu est une personne raisonnable, lui répondit son oncle en riant également.
-Ouais tu a raison. Dit-moi j'ai l'impression que je suis en train de retrouver des sentiments que je n'est plus ressentie depuis longtemps.
-De quoi tu me parle gamin?
-Et bien disons que j'ai l'impression de ressentir des sentiments pour une personne.
-Ho, le guerrier solitaire aurait-il fini par trouver son âme sœur.
-Je ne sais pas mais disons que je commence à me sentir plus serein.
-Dit cette personne sa sera pas cette fille et puis vous ne m'avez pas raconter comment vous vous êtes rencontrer.
-Hein mais pas du tout et puis.»
Des flash-back du combat entre lui et Drigna lui revienne à la surface.
«-Disons que notre rencontre a été, précipité, et, brutale.
-D'accord.
-Bon je ferai bien de remonter savoir comment elle s'en sort.»
Erwan finit sa chope et remonta à l'étage. Il constate que la porte de sa chambre est ouverte ainsi que celle de la salle de bain. La baignoire étant rempli d'eau, une eau qui devait être très chaude de part la vapeur qui s'en échappait. Erwan curieux, rentra dans la salle de bain et plongea son index droit dans l'eau chaude.
«-WWOUAAA, ah mais c'est pas vrai ça brûle, elle doit être à 80 degrés au moins cette eau, dit t'il en tenant son index droit dans sa main gauche.»
le voilà à présent qui ouvrit une sorte de boite de rangement cachée derrière le miroir au dessus du lavabo. Il chope un thermomètre en verre et le plonge dans l'eau.
«-Ah oui c’était pas loin.»
En effet le thermomètre afficha une température de 83 degrés Celsius.
«-Drigna, ou t'es?
-Au toilettes pourquoi?
-Pour rien laisse tomber. Ha bon sang il y a plus de crème contre les brûlures dans ma salle de bain, je vais devoir aller en cherchez en bas.»
Erwan redescendit en bas en fermant la porte de sa salle de bain et chercha une boite de crème dans l'armoire à pharmacie de l'arrière cuisine. Il fini par la trouver et s'en appliqua sur son index droit rougeâtre. Il remonte à présent, le doigt moins douloureux qu'à l'instant. Il rechigne encore un peu du peu de douleur de sa brûlure à l'eau presque bouillante. Il entre dans sa chambre et se dirige vers la salle de bain le pot de crème à la main gauche. L'indicateur de fermeture du loquet indiquait que la porte était ouverte. Il ouvrit la porte et tomba sur Drigna dans la baignoire. Ses deux grandes écailles de poitrine à moitié décollés ainsi que la transparence de l'eau dévoilèrent une poitrine de taille moyenne. Surpris de voir Drigna et une partie de son anatomie, Erwan gêné referma la porte aussitôt derrière lui.
«-Sa ne va pas Erwan?
-Tu aurais pu fermer la porte de la salle de bain.
-Tu me l'aurai dit je l'aurai fait, mais pourquoi?
-Et bien disons que si deux personnes ne sont pas ensemble, elles n'ont pas le droit de voir l'intimité de chacun.
-On est pas ensemble, c'est-à-dire?
-Disons qu'on est pas amoureux de l'un l'autre, on est pas fiancé ou marié, je sais même pas si tu vois ce que je veux dire par ressentir des sentiments bien particulier envers une personne.
-Un peu mais je vois pas trop.
-Bon je te laisse finir ton bain. vue l'heure on va dîner dans un moment.»
Erwan posa son pot de crème sur la table de chevet et se mit à sortit de son sac le livre trouvé précédemment dans le refuge en ruines. Il s'allonge sur son lit, enleva le marque-page et poursuivit sa lecture.
Revenons à présent le jour du départ de ma première expédition dans les Monts Rouges du Crépuscule. Je viens de terminer de préparer mon matériel, il y a de quoi prélever divers échantillons, de la nourriture pour trois jours, soit le temps que je serrais là-bas, une paire de jumelles sans oublier mon fameux carnet de notes flambants neuf et bien sûr de quoi écrire.
J'embrasse ma charmante épouse et lui dit que je reviens dans trois jours. Je suis à présent partit et j'approche de mon objectif. J'arrive au environ de la colonie au milieu de l'après midi, le point d'observation indiqué par les hommes de Holaf est excellent mais même avec mes jumelles je ne vois pas assez bien. Il faut donc que je me rapproche un peu. Je repéra facilement un endroit qui ne risque pas de les déranger et surtout d'attirer leur attention.
Au bout d'environ d'une heure de marche, j’arrivai au point que je mettait fixer. Je posa mon sac non loin de moi et en sortit ma paire de jumelles. Holaf m'avait dit la vérité sur un point il s'agit bien d'une colonie d'une trentaine d'individus enfin si on compte ceux présent à ce moment, car je pense que la colonie complète compte plutôt presque une quarantaine d'individus. En effet je compte une vingtaine d'adultes, 8 femelles dont deux enceintes et 12 mâles, une dizaine de jeunes dont 4 ados, 3 nouveaux-nées et 3 enfants. La dizaine restant doit être en train de chasser car je remarque aucune affinité envers les adultes présent. 6 Femelles s'occupe des petits présent tandis que les 2 ados mâles se bagarrent en utilisant leur corne frontal. Les 2 ados femelles sont plutôt en train de prendre un bain de soleil. Pas grand chose à dire et voilà que les autres membres de la colonie reviennent petit à petit avec leur butin. Une chose est sûr ils sont bien carnivores, sa va du simple lapin au grand cerf mais étrangement pas d'humain. Bref le soir ne va pas tarder, il me faut donc regagner mon point de couchage. Le soir je prévoyait de rester plus longtemps le lendemain étant donné que j’aurai plus de temps. Le lendemain malgré un sommeil difficile je me suis remis au travail et arriva tôt à la colonie. Toujours pas grand chose à dire, je ne remarque d'ailleurs aucun reste, de leur proie d'hier. J'imagine que leur estomac doit être assez puissant pour pouvoir digérer des os. Les femelles n'allaitent pas leur petits j'imagine que les plaques d’écailles qui leur sert presque de cache-seins n'est que juste là pour indiqué le sexe de l’individu. Les ados sont encore en train de se bagarrer et je croix deviner pourquoi. L'une des deux femelles ados doit être en chaleur et le combat sert à désigner qui en sera le reproducteur. La journée fut longe mais revenus le soir à mon point de couchage, je peux enfin me reposer. Il me reste que demain matin avant de rentrer chez moi et j’espère pouvoir prélever des échantillons. Le lendemain toujours pas grand chose si ce n'est le combat entre les deux adolescents. En effet, celui-ci est beaucoup plus violent que les deux premiers jours, les deux se servent à présent de leur griffes et ils se blessent mutuellement. Le combat s'arrête lorsque l'un des deux n'est plus à même de combattre. La femelle impressionné par le vainqueur se laisse séduire. les deux s'envolent et s’éloignent du groupe jusqu'à ce que je ne puisse les voir. La matinée se termine et il me faut à présent retourné chez moi pour faire mon premier rapport.
Alors que je marche sur le chemin du retour j’aperçois deux corps allongés sur le ventre sur le bord du chemin. Je m'approche et m’aperçut avec effroi qu'ils s'agissait du couple d'homme-dragons qui s'est formé lors de la bagarre entre les deux ados. De part leurs blessures respectives, je pouvais constater qu'ils ont été les victimes de braconniers. En effet il n'avait plus leur corne frontal qui avait été coupé et avec chacun une flèche dans leur crane. Il faut dire qu'il s'agit d'un objet de luxe qui aurai la propriété une fois en poudre de servir de potion de résistance au feu. De plus d'après l'état des corps cela a dut se passer il y a environ une heure. Je pose mon sac et m'empare de mon couteau pour les examiner. Je commence par le mâle et constate que la plaque qui sert à protéger sa partie intime était à moitié décollé et ce de manière naturelle. En me retournant et en regardant bien je constate la même chose chez la femelle. Je suppose que cette plaque se décolle lors des rapports sexuelles et pour mettre bas chez les femelles. Afin d'en savoir plus sur leur anatomie qui semble similaire à celle des humains, je décide d'entamer une autopsie du mâle. Je le mit sur le ventre, pris mon couteau et commença par lui ouvrir le ventre. Je sentis que mon couteau n’apprécie pas le sang des hommes-dragons à cause des bruits chimiques que j’entendis. Je découvris un corps dont les organes sont disposé de manière identique au notre. Mais voilà que par mégarde je pose ma main sur mon couteau couvert de sang. Par chance, je constate que le sang des hommes-dragons ne ronge pas la peau humaine. Je me dépêcha pour être sûr de prendre un chiffon et une gourde dans mon sac. Je réussi à me nettoyer la main ainsi que le couteau qui avait subit la réaction chimique du sang. Je préleva des échantillons de la substance visqueuse sur la plaque cachant l'organe sexuel chez le mâle et un peu de sang. C'est maintenant au tour de la femelle. Je la retourne et m'aperçoit que ces deux plaques d’écailles semblable à des cache-seins allait me gêner; je me devait donc de les enlever. J’enrobai mes mains de tissus et souleva avec difficulté les deux plaques finalement assez légères. Avec stupeur je constate, si on enlève le fait qu'elle avait des ailes et une queue, d'avoir l’impression de voir une véritable femme humaine. Oui car sous ses plaques se cachait une véritable paire de seins avec tétons recouvert en plus d'une substance visqueuse. Je pris un échantillon de la substance en question et commença mon autopsie. Comme chez le mâle les organes et leurs disposition sont semblables à ceux chez les humains. Je préleva également des échantillons dont un de l'estomac. Il me faut à présent reprendre la route car je commence à ne plus supporter l'odeur de plus en plus forte des deux cadavres.
Enfin arrivez à la maison, je fut chaleureusement accueilli. Je lui annonçait également une bonne nouvelle car je devais analyser mes échantillons je ne peut repartir sur le terrain sans les avoir étudier au préalable. La soirée fut merveilleuse et le lendemain commença ma longue série d'analyses. Dès le matin je commença par faire et envoyer mon premier rapport à Holaf.
Ensuite dans mon laboratoire, je m'attaqua à mes analyses en visionnant d'abord le sang au microscope. Ne constant rien de flagrant je décida de tester les réaction sur différents supports en rappel de ce que mon couteau avait subit. Je versa donc une goutte de sang sur une plaque de fer, une en cuivre , une en bois, une en caoutchouc, une en verre et un tissu en coton. Après deux minutes, je pouvais observer un trou sur la plaque de fer, un autre sur la plaque de cuivre mais rien sur le reste. Afin de séparer l’élément chimique du sang qui provoque la dissolution des métaux je mis un peu de sang dans une éprouvette et la mis dans ma centrifugeuse. Je moulina pendant une minute et obtient une excellente séparation. Je constate une étrange substance entre le plasma et les globules rouges. Elle était de couleur crème. Heureusement, je possédait une seringue en verre et piston en bois pour aspirer le contenu que j’isolais dans une fiole pour continuer les analyses plus tard. Je compte maintenant à m'attaquer au suc gastrique et salivaire mais il se fait tard et je continuerai donc demain.
Deuxième jour d'analyse de mes échantillons, je m'occupe des sucs gastriques et salivaire. Comme pour le sang je testa avec les mêmes matériaux les réactions et constate que les sucs gastrique dissolve presque tous sauf le verre et le caoutchouc. Pour la salive rien de particulier à noter. C'est alors que je commença à faire des mélanges dont un qui ma particulièrement impressionné. Je me souvient qu'alors je mélangeai du suc gastrique et salivaire, je rajouta par mégarde de l'alcool et j’eus droit à un beau feu quasi-instantané. On aura cru une explosion par le bruit et j'ai eu le droit à des remarques à la fois inquiétantes et agressives de la part de Sonia. Mais enfin bon tout était rentrer dans l'ordre. Il ne me restait plus qu'à tester les derniers échantillons qui était la substance sur les parties intimes ainsi que celle sur la poitrine de la femelle.
Voila que Drigna sort de la salle de bain en train de finir de s’essuyer les cheveux. Elle remarque Erwan en train de lire.
«-Qu'est-ce que tu lit, lui demanda-t-elle.
-Hum, oh disons qu'il s'agit d'une histoire autobiographique, en gros ça résume la vie de l'auteur de ce livre.
-D'accord et c'est sur qui?
-Un certain Edouard Standford.
-Ce n'est pas un livre imprimé, tu la trouvé où?
-Dans un refuge en ruine pourquoi?»
Drigna ne répondait pas à la question, son regard en disons long sur les émotions qui étaient en train de remonter.
«-Laisse moi seule s'il te plaît.»
Elle s'en retourne dans la salle de bain et ferma la porte à clé. Erwan intrigué de sa réaction se leva en laissant le livre ouvert et se mit à tendre l'oreille à la porte de la salle de bain. Il entendit très faiblement des pleures. Compatissant, il tourna son regard vers le lit. Il s'avance et saisit le livre de la main gauche en utilisant son pouce comme marque-page.
«-Je ne sais pas quel est votre lien avec Drigna mon cher Standford, mais quelque chose me dit que la réponse est dans ce livre.»
Erwan s'allongea de nouveau dans son lit et repris donc le cours de sa lecture.
Le matin de ce jour alors que je m’apprêtait à tester les échantillons, on m'interpelle dans mon laboratoire. Un homme vient m'apporter un lettre et un sac de pièces d'or. Après m'avoir remis le tout en main propre il repartit. La lettre portait le sceau du seigneur Holaf, je l'ouvrit.
<Mon Cher Standford, Je suis assez impressionné par ce que vous avez appris en seulement trois jours et je suppose qu'à l'heure où vous recevrez ce message vous serez en train de faire vos expériences. Oui mais voilà j’aimerai que vous rapportiez plus d'informations quitte à ce que vous restiez plus longtemps sur place. Ah, j'oubliais votre premier versement est joint avec ce message et n'oubliez pas de me faire part de vos résultats de vos expériences également. Signée seigneur Holaf du Comté de Westrock.>
Avant de continuer je décida de répondre à sa lettre.
<Seigneur Holaf du comté de Westrock, je tenais tout d'abord par vous remercier de l'intérêt que vous portez à mes travaux ensuite concernant votre requête, il ne met pas possible non pas niveau volonté mais matériel, de rester plus de trois jours sur place. Mais j'ai déjà la solution à ce problème et je tenais à vous en faire part. Il me faudra pour ça que j'ai accès à un sorte de refuge auquel je puisse revenir rapidement en cas de problème; J'ai déjà repérer un endroit assez grand et que j'utilise lorsque je me rend là-bas. Je vous fais parvenir le point de ce lieu sur une carte et attend votre réponse pour savoir ce qu'il en est. Vous aurez également le résultât final de mes expériences à ce moment-là. Signée Edouard Standford.>
la matinée se termine et j’envoyai mon message en début d'après midi. Je me rappelle du reste de cette journée qui particulièrement cocasse. En effet, lorsque j'ai voulu récupérer le contenu dans mes pots le morceau de bois dont je me suis servit cassa et resta collé. Même si je pouvais le bouger pas moyen de le dégager. Je testa une première solution qui constata a utiliser de l'eau chaude; ce fut moyennent efficace. Même s'il bougea avec plus de facilité il resta collé à la substance. Je sens quelle solution utilisée mais je n'est pas ce produit. Il me faut me rendre chez un alchimiste. Je me suis donc retrouvé chez Alfred un vieil ami. Je me rend dans sa boutique en ville pour lui passer une commande.
«-Tient Edouard, ça faisait un bail, qu'est-ce tu devient?
-Oh toujours en train d'étudier la faune, dit moins, aurai tu de la PEA et de l'octrine?
-heu... oui, pourquoi? tu compte faire un aphrodisiaque ou un filtre d'amour ou quoi?
-Pas du tout c'est pour mes expériences.
-Et quelles genres d’expériences a besoin d'hormones pur, tu peux me le dire?
-heu pas de suite. Disons que je te raconterai le résultât lors de ma prochaine visite.
-D'accord pas de problème.»
Je le paya mais vue l'heure je ne pourrai continuer que le lendemain. Le matin je repris là où j'en était en portant un foulard sur la bouche afin de ne pas respirer les vapeurs hormonales. J'ai commencer par la PEA seule et obtenu un meilleur résultat mais pas aussi probant qu'avec l'eau chaude. Le bout de bois resta toujours aussi collé. Ensuite ce fut le tour de l'octrine seule mais rien ne produisit. C'est alors que je mélangea les deux et obtenu enfin le résultât escompté. La substance était devenu liquide et perdit en totalité son pouvoir collant. Seulement voilà le résultât de cette expérience mais fit prendre conscience d'une chose; Comment cela se fait t'il que les plaques reste collé même après un rapport; il doit y avoir un truc mais bon je verrai sans doute cela une fois retourné là-bas. En tout cas je lui est trouvé un nom, Colle de chasteté. L'après midi je reçu une lettre de Holaf.
<Chez Stanford, j'ai la joie de vous informé que le conseil et moi-même acceptons votre requête sans difficulté. Je vous enverrez des hommes et du matériel pour construire votre refuge à l’endroit que vous m'avez indiqué. Ils y seront dans deux jours. Pour vous remercier du service que vous nous offrez le refuse vous sera gracieusement offert, ça vous ferra une sorte de maison de vacances. Pensez bien à m’envoyer votre rapport sur les résultats de vos expériences. Signé Seigneur Holaf du Comté de Westrock.>
Voila ça y est, demain il me faudra partir de nouveau pour continuer mes recherches. J'en profite pour rédiger le rapport des expériences que je posterai. Je parla à Sonia le soir que cette fois je m'absenterai la semaine. Je lui explique également que la mission constituait à observer des hommes-dragons. Elle rougit.
«-Tu sais je le savait, ce n'était pas la peine de me le cacher. J'ai l'impression que lorsque l'on porte nos colliers on se comprend sans avoir à dire quoi que se soit. Je me rappelle le jour de notre mariage tu disais que ces colliers nous permettront d'exprimer notre amour s'en avoir besoin de paroles et j'avoue que cela s'est vraiment vérifier par la suite.»
Je la serra fort dans mes bras et elle tenais son collier contre son cœur. J'ai reproduit leur forme sur la page marqué d'un haut orange afin de ne pas oublier.
Erwan curieux arrêta sa lecture et ouvrit le livre à la page à la marque orange. Il y voyait dessiner deux colliers de pierre en forme de larmes dont une qui lui rappelait étrangement la sienne. Il pris son collier en main et fixa la pierre.
«-C'est sans doute une coïncidence.»
Pas le temps de reprendre sa lecture que Drigna sort de la salle de bain.
«-Sa va, lui demande-t-il d'un air inquiet.
-Sa va merci. Dit quand tu aura fini de le lire tu pourra me le prêter.
-Bien sûr, il n'y a pas de problème. Par contre j'ignore quand est-ce que je l'aurai fini.
-Prend ton temps, t'en fais pas je ne suis pas presser.»
Mais voilà qu'un bruit de chaises en train d'être ranger s'entendit. Jacob et Marta , l'oncle et la tante d'Erwan sont en train de fermer le bar.
Fin du Chapitre 3.
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