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Chapitre 1: Comment tout à commencé
Quelque part dans une salle d’interrogatoire, un homme est en train de subir un fléau de questions.
Un autre homme debout en costume noir avec un rapport classé top secret à la main interpelle notre homme assis en fasse de lui.
«-Bien alors d'après votre rapport, vous n’êtes plus que les seuls survivants de l'expédition. C'est à dire vous et le Docteur Katty Brown.»
L'homme en noir s'assoie à présent et pose le rapport ouvert sur la table.
«-Oui mais voilà quelque chose interpelle, j'ai l’impression que vous avez omis quelques détails.»
Il fait signe à une personne derrière le miroir. Celle-ci lui apporte sur un chariot une étrange machine. Elle était composé d'un casque munis de capteurs d'une sorte d'unité centrale, d'un écran plat semi-transparent tenant grâce uniquement au deux bouts sur les coté et d'un petit ordinateur portable de 13 pouces.
«-Bien Colonel vous connaissez le principe du visualiseur de souvenirs, je n'est absolument rien contre vous mais nos supérieurs veulent des réponses claires et seuls vos souvenirs aussi que celles du Docteur Brown pourront nous en apportez. Elle subit exactement le même interrogatoire que vous dans une autre pièce. D'ailleurs nous allons devoir changer de pièce pour le reste.»
Les trois hommes sortent tranquillement de la pièce et finissent par se rendre dans ce qui semble être une salle d’expérience médicale. Il y avait deux chaises médicales à coté de l'autre et sur les coté des petits instruments de mesure. Ils y avait également des hommes en blouse blanche parcourant ici et là la salle pour régler les diverses machines. On fit s'asseoir le colonel sur une des chaises puis juste après arriva le Docteur Katty Brown qu'on fit s'asseoir sur celle d'à coté.
«-Henry, ils ne vous pas cru vous aussi.
-Non, mais d'un coté cette séance leur prouvera une partie de la vérité après ça serra a eux d'y croire ou pas.»
Les personnes en blouses blanches posent sur chacun de nos deux cobayes un casque bardé de capteurs d'activité cérébrale ainsi que des capteurs de rythme cardiaque et musculaires. L'homme en noir commença à donner ces ordres.
«-Bien avant de commencer la séance j'aimerai que vous me rappelez tous les deux vos noms, prénoms, grade ou profession et votre rôle lors de l'expédition. Commençons par vous si vous le voulez bien Docteur.
-Je m'appelle Docteur Katty Brown, biologiste en faune et en flore de toutes sortes, mon rôle était de prélever et d'analyser tous ce que pouvant trouver.
-Je suis le Colonel Henry Pendletone des forces spéciales, mon rôle était de diriger les équipes une fois sur place.»
l'homme en noir tourne à présent son regard vers une femme en blouse blanche tapant sur un ordinateur portable. Elle venait de terminer et tourne à présent son regard vers l'homme en noir.
«-Nous sommes près, monsieur.
-Parfait, mettez en route le système et préparer l’enregistrement. Mettez-moi le rendu des images sur l’écran.»
On entend à présent diverses masculines et féminines indiquant les divers états de l'état du système.
Synchronisation des données à 63%, disait une voix, Traitement des données cérébrales à 87% en disait une autre; Nos deux cobayes commencent à s'endormirent. Une fois endormi une autre voix dit: Envoi des images et sons en cours. L’écran commençait enfin à afficher une image d'abord floue puis de plus en plus nette, le son arriva juste après. Nous allons à présent voir ce qu'ils ont vécu.
Détroit, le 12 juin 2025.
Un militaire sort d'un Hummer noir et vient frapper à la porte d'une maison de banlieue. Un homme en tenue décontracté lui ouvre une bière à la main.
«-Stroscki, que me vaut le plaisir de votre visite?
-Et bien mon Colonel, je suis ici en mission, puis-je entrer?
-Bien sûr mais je suis en retraire Stroscki. Aller asseyez-vous. Je vous offre une bière?
-Pas en service mon colonel et je ne suis pas là pour ça.»
les deux hommes sont à présent assis.
«-Bien ce que je vais vous expliquer est une mission classé Secret Défense. Il s'agit en gros de diriger une troupe de personnes que nous avons sélectionnés dans une expédition pour une destination inconnue. Malheureusement je ne suis pas autorisé à vous en dire plus, néanmoins si vous accepter vous trouvez les instructions dans cette enveloppe. Sur-ce je doit vous laisser.
-Vous partez déjà?
-Oui désolé mon colonel, le devoir m'appelle.»
Le militaire laissa la lettre sur la table basse. Le voici à présent qui sort de la maison et entre dans le Hummer qui part et s’éloigne. L'homme à la tenue décontracté referme sa porte. Il finit sa bouteille et la posa sur la table basse. Après une légère hésitation celui-ci prend la lettre dans ses mains. Il s’agissait d'une lettre ordinaire au premier abord, elle était blanche avec rien d’écrit dessus. Il l'ouvrit et tomba sur une sorte de carton d’invitation. Sur le coté face était le symbole grec Delta traversé en son centre par un segment se terminant sur deux points le tout en noir. Sur le coté pile, écrit à la main, on pouvait lire le message suivant.
<Si vous avez ouvert cette lettre c'est que vous avez accepter cette mission, rendez-vous à l'aérodrome de Windsor, le 13 juin à 10h. Demander Paul, une fois sur place.>
l'homme remis le carton d’invitation dans la lettre et la posa sur la table basse. Il se rend à présent dans son garage où l'attend sous un drap une voiture. Il l'enlève et on découvrit une Ford Mustang Shelby de 1968 de couleur verte. Il passa le reste de sa journée à faire ces régalages et autres bricoles. Il est maintenant tard et après un bon repas devant la télévision, l'homme part se coucher. Le lendemain matin après son petit déjeuner, l'homme s'habille dans une tenue plus classique. Le voici à présent qui prend une paire de clé. Il éteint quelques disjoncteurs de sa maison la ferme à clé et se dirige à présent vers son garage. Il ferme à clé la porte de coté, entre dans sa voiture et met le contact. Maintenant le voici sortir de la boite à gants une télécommande qui ouvrit la porte basculante du garage et les loquets électriques ci-trouvant. Il engage une vitesse et le voici qui sort. A peine était-il arrivés au niveau du trottoir que la porte du garage se refermât toute seule. Un plan large nous montre la voiture en train de s'éloigner. Il lui faudra une heure pour rejoindre l'entrée des pilotes de l'aérodrome. Le vigile qui contrôle les entrées et sortis l'interpelle.
«-Puis-je vous aidez? C'est un accès réservée au pilotes et au personnel ici.
-En fait je viens voir Paul, j'ai rendez-vous avec lui.
-Ah vous devez être Henry, je vous ouvre. Vous le trouver dans le Hangar 3.»
La grille s'ouvre et notre chauffeur se dirigea vers la porte du hangar 3. On pouvoir y voir un Cessna 182 Skylane stationné juste devant avec un homme en tenue d'aviateur prenant appuis sur la porte coté pilote. La voiture s’arrête devant l'avion; Son chauffeur en descend et les deux hommes se rapprochent pour se serrer la main.
«-Jolie Coucou, Stroscki.
-Merci mon colonel, belle voiture.
-Merci beaucoup, Alors dites moi si vous m'avez convoqué ici ce n'est pas pour me montrer votre avion.
-En effet, pour les besoins de cette mission je devais vous emmener en avion civil jusqu'à notre prochaine destination. Profitez-en pour garez votre voiture au fond du hangar.»
Henry repris le volant et alla garer sa voiture dans le hangar. Pendant ce temps, Paul commença la liste de contrôle avant le décollage. Henry arrive et Paul allume le moteur. Les hommes sont maintenant dans l'appareil prêt a décollé avec leur casques sur la tête.
«-Dites où allons-nous?
-A la base Edwards en Californie, Nous allons rejoindre les autres membres de l'expédition pour le briefing.
-Vous aurez assez de carburant pour y aller.
-Ne vous en faites pas, il est équipé d'un moteur hybride et j'ai des panneaux solaires sur le dessus des ailes pour économiser les batteries.»
L'avion est maintenant sur la piste et décolle vers sa destination. Le vol se passe sans encombres. Les voici arrivez vers la base Edwards, un message radio est adressez au pilote.
«-Ici Tour de contrôle de la base Edward de l'USSR Force, à Cesnna 182 Roméo Bravo neuf zéro quatre Lima, vous entrez dans un zone interdite à l’aviation civil, veillez changer votre cap.
-Ici Cesnna 182 Roméo Bravo neuf zéro quatre Lima, Autorisation Yankee coma Mike Écho trois six neuf, désolé je pensait être là plus tard.
-Ici Tour de contrôle, pas de problème, mille excuses Lieutenant, vous avez l'autorisation d'atterrir.»
le Cesnna se pose sur la piste et se dirige vers un hangar. Le moteur s’arrête et un militaire haut gradé vient accueillir nos deux voyageurs.
«-Bienvenue à la Base Edward, Colonel.
-Mon général.
-Suivez moi, les autres membres vous attendent dans la salle de briefing.»
Nos deux hommes arrivent dans une salle composé de chaises orientez vers un pupitre et un tableau blanc en arrière fond. Sur les murs on pouvait voir différentes cartes aérienne et photos d'avions de chasses. Il y avait quatre personnes dans cette salle, deux hommes en tenue militaire en train de discuter et un vieil homme au cheveux dégarnit et à la barbe blanche discutant quand à lui avec une femme aux cheveux long noirs et portant des lunettes. Le général s'avance vers le pupitre, le colonel s’assoit sur une chaise du fond. Tout le monde se tue et le général commença.
«-Bien alors je me présente pour ceux qui ne me connaissez pas, je suis le général Alfred Hammer, je serai le dirigeant de toute cette opération connus sous le nom de code Tètra. Bref je vais laisser le lieutenant Paul Stroscki vous expliquer le but de cette opération.
-Merci mon général.»
l'homme en question s'avance du fond de la salle avec une télécommande. le vidéoprojecteur accrocher au plafond s'allume. Le symbole que l'on avait vu précédemment sur le carton d'invitation s'affichait en couleur et en trois dimensions.
«-Bien je pense que je doit vous expliquer comment cela à commencer, vous reconnaissez tous ceci.» Le lieutenant appuya sur la télécommande et une autre image remplaça la première. Il s’agissait d'une photo prise dans un musée. Le vieil homme répondît.
«-Oui bien sûr, il s'agit de la Pyramide trouvé aux abords du triangle des Bermudes il y a 5 ans.
-Et bien en fait celle que vous voyer n'est qu'un copie et puis surtout...»
L'homme zappe.
«-Il ne s'agit pas du seul exemplaire.»
On peut voir sur l’écran trois pyramides identiques et l'homme zappe de nouveau.
«-Nous en avons en réalité trouvé trois exemplaires tous quasiment identiques et ce chacun au trois points que forme le triangle des Bermudes. Nous les avons analyser au carbone 14 et rayon x et avons découvert que ces pyramides avait plus de 10 000 ans. Le plus troublant c'est quelle étaient toutes composé de quartz et de divers éléments piézoélectriques. On pensant que c'était les seuls jusqu’à ceci.»
L'homme montre à présent un photo prise dans les eaux japonaise.
«-Lors d'une patrouille d'un de nos sous-marins nous avons repêcher ceci au abords de l’équivalent du triangle des Bermudes en Asie, le triangle du dragon, il y a environ un an de cela. Il s'agit d'une pyramide différentes des autres, elle semblait quelques peu endommagés néanmoins nous avons réussi à la faire fonctionner et voici ce que nous avons observez.»
Une vidéo est en train de défiler et montre l'activation de la pyramide du triangle du dragon dans un hangar de la zone 51. Celle ouvrit son toit et on observa un rayon lumineux de couleur magenta en sortir. Les autres quand à elles ouvrit des trappes sur l'un de leur flanc et une des trois ouvrit en plus son toit pour y laisser découvrit un sorte de pyramide en verre. Rien d'autre ne se passe et c'est là qu'un des hommes présent décide avec l'aide d'un miroir d’orienter le rayon lumineux vers ce qui semble être le récepteur, le haut en verre d'une des pyramides. Les pyramides commencent à s’élever mais le rayon ne touchant plus, celles se stoppe dans leur élan. L'homme réoriente le rayon et les pyramides continuèrent de monter et de se positionner. Une fois en place en forme de triangle Là des petits éclairs d’énergie sortir des fentes et c'est alors que l'espace entre les trois pyramides se replissa d'une sorte de toile de texture eau mais de consistante plus gélatineux. Le film s'arrête et le lieutenant reprend donc la suite du programme.
«-Ce que vous venez de voir est la première expérience. Les nombreux symboles se trouvant sur la pyramide de commande nous permet de déduire qu'il s'agit d'une sorte de vortex et dont on peut en modifier la grandeur jusqu'à un certain point. Seulement on c'est aperçu que sur les deux destinations que l'on pouvait choisir, seulement une était accessible. Et c'est sur cette dernière que nous allons nous attardez. Il y a un mois de cela nous avons effectuer une autre expérience en plein milieu du Pacifique à l'aide d'un appareil de substitution monter sur le USS Barack Obama. Il s'agit d'un battleship du même gabarit que le USS Iowa. Il était accompagner du porte avion USS Ronald Reagan, de deux corvette et d'un sous-marin lanceur de missile de croisière réhabilité.»
En même temps qu'il les cite il fait défiler une photo de chacun des appareils.
«-Lorsque nous avons ouvert le passage, le Ronald Reagan a commencez par envoyer un drone et cela nous à permit de vérifier que les ondes radio passait dans les deux sens. Malheureusement nous avons perdu le contact avec le drone. C'est là que nous avons utiliser notre joker qui était le sous-marin que nous avons réhabilité en drone lanceur de satellites. Sa mission consistait a envoyer un satellite photographique pour créer un carte complète de ce monde. Une fois de l'autre coté, la mise en orbite fut un succès mais au moment de recevoir les premières images, le vortex se coupât. Impossible de redémarrer le système. Nous avons donc conclu que la durée de fonctionnement par ouverture était de 18 minutes. Cela nous aussi appris qu'il fallait au système 48 heures pour se recharger. Après ce laps de temps, nous avons pu remettre le système en marche et avons réussi a recontacter le sous-marin. Oui mais voilà au moment de lui donner des données de nouvelles instructions nous nous sommes aperçu que l'horloge interne indiquait que 2 mois s'était écoulés et le mien furent les images que celui avait stocké du satellite.»
l'homme montre à ce moment-là une carte du monde en 3D se former.
«-C'est incroyable, répondit l'un des soldats, j'ai l’impression de voir la carte d'un MMORPG.
-Puis-je finir mon exposé Capitaine.
-Désolé Lieutenant, continuer.
-Bref comme vous pouvez le voir il s'agit d'une sorte de grand continent avec une grande mer intérieur et composé autour de grande îles. Mais surtout on peut voir que les habitants sont assez évolué car on distingue des routes, des ponts ainsi que des villes et même des ports. Leur niveau technologique est similaire à celui du moyen-age. Et puis surtout ce qui nous intrigué était ceci.»
On peut voir un vue satellite montrant des pyramides Mayas cachés dans une jungle luxuriante.
«-Oh mon dieu, On dirait des pyramides Mayas, Répondit le vieil homme.
-Exact Professeur au premier abord, il s'agit bien de pyramide maya. Bref, je vais maintenant laisser le Général Hammer vous expliquer vos rôles et le déroulement de l’opération.»
l'homme cède à présent sa place au plus haut gradé de la pièce.
«-Merci lieutenant. A la fin de ce briefing, un V22 vous attendra dehors et vous déposera sur le UNBC Prospect, un nouveau type de frégate rapide. Il a été charger de deux conteneurs de matériels, quatre nouveaux véhicules légers amphibie à canon EM, trois Hummers, deux camions citerne et de deux hélicoptères Blackhawk. Une vingtaine d'hommes seront là pour servir et surveiller la base qui sera installé. Une fois sur place voici vos rôles.
Professeur August Mayers, nous avons fait appel à vous car avec votre savoir archéologique et multilingues, vous pourrez communiquer avec les habitants et les étudiez. N'hésiter pas à nous faire part s'il représente une menace.
Docteur Katty Brown, vous êtes une brillante scientifique et votre rôle sera comme dans votre domaine d’étudier la faune et la flore locale.
Capitaine Eric Rider de l'USSR Force, vos brillants états de services ont dépasser nos frontières. Que ce soit a deux, quatre roues ou un hélicoptère, il n'y a pas grand chose que vous ne sachiez pas pilotez et vous êtes également un très bon mécanicien. Votre rôle sera donc d'entretenir les véhicules et d'escorter le déplacement des cerveaux de cette expédition en cas de besoin.
Capitaine Conrad Lumens de l'EuropaCorp, vos talents d'ingénieur de l'armée vous donneront le commandement de la charge de veillez au bon fonctionnement du matériel électrique et électronique.
Quand à vous Colonel Henry Pendletone, avec vos talents de stratège, vous serrez à la tête de cet expédition une fois à terre.
Voila c'est tout ce que j'avais à dire; et sur ce, rompez.»
Tout le monde se leva et s’apprêtent à sortir de la salle. Là, le général interpelle le colonel.
«-Colonel pouvez-vous rester encore un instant, je doit vous dire un mot en privé.»
Les voici devant le V22 prêt à décoller, il ne manque plus que le colonel qui fit son apparition quelques secondes plus tard. Le V22 décolle, direction le Pacifique vers le UNBC Prospect. En cours de route on peut apercevoir sur la droite de l'appareil une sorte d'île mais il ne s'agit pas d' Hawai non c'était plutôt artificiel.
«-C'est quoi cette espèce d'île artificielle que l'on voit à 3h, demanda le capitaine Rider.
-Il s'agit du plus grand site d'enfouissement sur terre, lui répondît le professeur Mayers, vous voyer c'est ici qu'il mettent tous les déchets qu'il repêche en mer plus ceux que les gouvernements payent pour ne pas les avoir sur leur sols. Si vous voulez mon avis d'ici vingt ans, ce truc serra aussi grand que la ville de New York voir plus.»
Les voici maintenant en vue du UNBC Prospect, figé au milieu de deux corvettes et garder par le USS Barack Obama. Le V22 atterris sur le pont arrière du navire, le héliport qui peut contenir deux hélicoptères.
Sur le pont du UNBC Prospect, un homme ouvre une des portes latérale du V22 dont en entendit qu'il stoppa ses moteurs.
«-Mes hommages Colonel Pendletone, je suis le Major Enderson. Le commandant Sonart aimerai que vous le rejoignez à la passerelle.
-Pas de souci, je vous suis Major. Alors comme ça c'est vous qui aller vous vous occuper de la base durant nos déplacements.
-C'est exact mon Colonel.»
Nous voici à la passerelle du UNBC Prospect. Le commandant était en train de donner les dernières ordres avant de partir.
«-Commandant Sornart, le Colonel Pendletone est parmi nous,dit le Major Enderson.»
le Commandant se retourna et vient serrer la main du Colonel.
«-Bienvenue à bord du Prospect, Colonel, je suis le commandant Sonart. Je suppose que vous êtes au courant des manœuvres qui vont suivre.
-Non pas de toutes.
-En fait c'est très simple, d'après la carte du satellite il y a une petite baie situé non loin d'un village. Le niveau semble assez profond pour l'on puisse s'y encrer sans attirer l'attention. Nous allons arriver ici, c'est à environ une journée de traversé de notre objectif. Vos hommes ont en profiter pour vous repérer un petite clairière derrière se qui semble être une jungle. Il y a une route à coté qui mène à ce village. Ça serai donc l'endroit idéal pour installer la base à terre. Une fois sur place après avoir jouer les taxis, notre rôle sera de faire la liaison entre la base et notre monde.
-Dites comment compter vous faire sans l'artefact pour communiquer ou retourner dans notre monde ?
-En réalité Colonel, le Prospect a été équipé du même système que le Obama au cas où il faudra revenir illico chez nous. Bien je pense que tout est prêt. Attention vous aller voir l'ouverture est assez impressionnante au début.»
Une voix retenti dans la radio du Prospect.
«-Prospect, ici le Obama, préparez-vous pour l'ouverture du vortex.»
Un rayon du lumière sortit du USS Barack Obama tendit que trois pyramides provenant chacun du battleship et des deux corvettes se mettaient en place juste devant eux. Le rayon de lumière du Obama se dirige à présent vers la pyramide situé au sommet ce qui eu pour effet d'ouvrir le passage.
Un message radio retenti à bord du Prospect.
«-Pospect, ici le Obama, vous avez l'autorisation de traverser.
-Ici le Pospect, bien reçu Obama. Commandant quels sont vos ordres?
-En avant toute, vitesse 20 nœuds.»
le Prospect avança tranquillement vers l'entrée du vortex qui n'était qu'a quelques centaines de mètres. Au bout de quelques minutes le commandant ordonna de prévenir tout le monde à bord de la traversé imminente du passage.
«-Ici le Commandant Sonart à tout l’équipage, préparer-vous pour la traversé du vortex.»
Sur ces mots une alarme retentit et les hommes d'équipages se mentirent tous à leur poste.
Un nouveau message radio retenti à bord du Prospect.
«-Pospect, Ici le Obama, Nous allons avoir une coupure radio d'ici quelques secondes.»
le Prospect s'engouffre à présent dans le vortex qui disparu au fur et à mesure pour apparaître de manière identique de l'autre coté. Une fois entièrement passer le navire passa un message pour rassurer la base arrière qu'il était arriver à bon port.
«-Obama, Ici le Prospect, nous avons franchi et continuons de poursuivre l’objectif. à vous.
-Bien reçu, Prospect, bonne chance pour la suite. Nous allons être coupé dans moins de 8 minutes.»
D'un coup un signal sonar vient perturber quelques peu la tranquillité de la passerelle.
«-Mon Commandant je reçoit un écho d'une masse métallique en profondeur.
-Faite une demande d'identification il doit s'agir du sous-marin.
-Comment ça, demanda le Colonel Pendletone.
-Et bien lors de la troisième ouverture nous avons perdu le contact avec le sous-marin, lui répondit le Major Enderson.
-J'envoie une demande d’identification de transpondeur, commandant.»
Quelques secondes plus tard.
«-je confirme Commandant, il s'agit bien du sous-marin.»
Le commandant se saisit alors de la radio.
«-Obama, ici le Prospect, nous avons localiser le sous-marin. Il gît à plus de 200 mètres de profondeur. A vous.
-Bien reçu, Prospect, j’espère qu'il ne vous arrivera pas la même chose.»
Fin du chapitre 1.
Chapitre 2: Bienvenue dans ce nouveau monde
Le Prospect continu tranquillement sa traversé, la communication avec la terre a été interrompu. On voyait de loin les pyramides du passage tombées lentement au fond de l’océan. Pendant ce temps sur le navire le colonel en faisait le tour. Il croisa le capitaine Rider et Lumens ainsi que le major Enderson en train de faire une partie de cartes avec d'autre hommes de l'expédition dans la soute coté submersible. Dans sa cabine le professeur Mayers était en train de lire un livre d’archéologie. Sur le passage bâbord du navire il y avait le docteur Brown en train d'admirer la mer.
«-Docteur Brown vous ne vous mêlez pas aux autres?
-Non je suis trop occupé à penser aux nombreuses choses que nous allons découvrir dans ce nouveau monde. Quand je pense que sur terre nous n'avons même encore explorer complètement nos océans. Et puis j'espère pouvoir ramener de nombreuses espèces animales et végétales mais ça je sais que c'est impossible.
-Oh pas forcement, il est vrai que vous pouvez ramener quelques plantes par l'intermédiaire d'un herbier ou de graines mais pour les animaux c'est moins sûr. Nous avons des cages dans la cargaison mais je sais pas trop ce que cela pourra contenir. Et puis je pense que l'on trouvera très certainement des animaux et plantes identiques à ce que l'on trouve sur terre. Dites vous m’écouter ?
-Désolé il faut que je vois le commandant tout de suite.»
La voilà qui se met à courir en direction de la passerelle. Le Colonel la suit. Arrivée dans le poste de pilotage elle demande à la vigie si elle peut emprunter une paire de jumelles. Elle scrute l'horizon bâbord et demande à la vigie de scruter également du coté bâbord.
«-Vous avez vu, demanda le docteur Brown.
-Non je ne vois rien, docteur Brown.
-Attendez un peu ça va revenir.»
la vigie pouvait voir un puissant jet d'eau sortir de l'eau. Le commandant intrigué demanda ce qui se passe.
«-Que ce passe t-il docteur, un problème?
-Non pas du tout commandant, je croix que je viens de repérer une espèce de cétacé et je peux dire qu'elle doit énorme.
-Désolé docteur mais si on veut arriver à temps au point de rendez-vous, je ne peux changer notre cap.
-Ce n'est pas grave, j'ai juste besoin que quelques un de vos hommes m'accompagne sur un canot pneumatique. Juste le temps de faire un aller-retour.
-Dans ce cas, pas de souci, mais soyer prudente. On ne sait pas si cette animal se nourrit de chair humaine.
-Merci beaucoup commandant, je vous revaudrait ça.»
Quelques minutes plus tard, le Prospect ralentis son allure pour permettre de mettre un canot à la mer. Une fois à l'eau on pouvait voir l’embarcation s’éloigner tranquillement du navire de guerre. Le docteur Brown était accompagné de quatre autres personnes dont une à la manœuvre. Les voilà maintenant proche d'une grande surface sortant à peine de l'eau. L'animal semblait flotter en surface immobile. Le docteur en profite pour mettre une sorte de scanner à la mer.
«-Vous en avez pour longtemps, docteur?
-Non juste le prendre un échantillon de sang et ça sera bon.»
Oui mais voilà au moment où celle-ci retire le tube de sang. L'animal se met à bouger et à plonger.
Par chance l'homme à la barre eu le réflexe de faire une manœuvre pour éviter le retournement. Le choc de la double queue arrière sur la surface de la mer a remué une certaine quantité d'eau qui arrosa copieusement l'équipage du canot. Une fois arrivé au niveau du Prospect, celui-ci ralentit de nouveau son allure pour pouvoir remonter le canot. Si les hommes du canot avait des combinaison étanches, ce n'était pas le cas du docteur Brown qui demanda à l'un des hommes de la suivre afin d'emporter le scanner et l’échantillon dans sa cabine. Étant complètement trempé, elle pris quelques affaires sec et se dirigea vers les douches. La voilà qui passe devant la cabine du Professeur Mayers.
«-Alors elle était bonne, lui dit-il avec humour.
-Oh un peu fraîche mais sa va.»
Pendant ce temps sur le pont le Colonel Pendletone et le Commandant Sonart discutent du temps qu'il leur reste avant d'arriver à destination.
«-Alors malgré le fait que nous avons dut ralentir l'allure pour permettre au docteur Brown de faire sa petite excursion, nous devrions arriver dans la baie au environ de 7h30. Je pense que le mieux sera, une fois sur place, d'envoyer le V22 faire un survol des alentours avant de lui faire décharger le matériel.
-Hum, tout a fait, je pense qu'on devrait également envoyer une équipe avec un canot débarquer sur la plage pour nous trouver un passage et vérifier que nous pouvons débarquer les unités amphibies.
-Oui, de toute façon nous devrons décharger les Hummers et les camions-citernes à l'aide du V22 et autant savoir si nous pourrons les décharger sur la plage.»
Plus tard le Docteur Brown vient montrer aux membres de l'expédition et au commandant du navire, dans la salle de communication du navire, les données qu'elles venaient d'effectuer. On pouvoir sur l’écran servant d'habitude à communiquer en vidéo avec le commandement au sol, une étrange baleine se dessiner dessus. Elle explique qu'il s'agit d'un baleine proche de celles de nos baleines à bosses et sont donc parfaitement inoffensif pour l'homme. Sa forme étrange lui permet de chasser dans les très grandes profondeurs, ce que les baleines ordinaires ne peuvent pas faire. Lorsqu'elle l'avait repérer elle était en train de se reposer et de prendre des grandes bouffés d’oxygène avant de plonger pour chasser.
Le soir tombe et alors que certains personnes s’endorment dans leur cabine, l'équipage du Prospect est là pour veillez sur le navire. En pleine nuit il localise un autre navire mais heureusement trop loin et pas sur leur trajectoire pour qu'il puisse les repérer. En effet afin de ne pas être confondu avec un phare le Prospect naviguait tout feux éteints. Le lendemain matin, le Docteur Brown est réveille par un membre d'équipage.
«-Vite Docteur Brown, venez voir c'est incroyable.
-Oui deux minutes, j'arrive.»
Nous voici sur le coté tribord du Prospect et on pouvait voir des sortes de dauphins nager en suivant la houle du navire. Ils en avait également du coté bâbord. Ils étaient bien plus grand que ceux sur terre, en gros la taille d'un orque adulte. Leur couleur quelque peu bleuté leur permet de se rendre presque invisible sous l'eau. Le Docteur Brown en profita avec un caméscope haute résolution à la main pour faire une petite vidéo. Au bout de deux heures les voici qui s’éloignent du navire et ce sont maintenant les mouettes qui s'invite à la fête. Le rivage ne doit plus être très loin.
A la passerelle la vigie signale que la terre est en vue. Il avait également repérer l'entrée de la baie. Au fur et à mesure de leur avancé la vigie annonça qu'il n'y avait rien à signaler que se soit sur la côte ou à l'entrée de la baie. La profondeur étant suffisante, le Prospect jeta l'ancre dans la baie.
Le Colonel Pendletone fait rassembler ses troupes sur le pont arrière et leur expliqua le déroulement de l'opération.
«-Bien, nous voici aux portes d'un nouveau pas pour les Nations Unies. Je suppose que vous connaissez tous a peu près le but de cet expédition mais je tenais à le rappeler.
Notre but est de prendre contact avec la population locale pour en faire des alliées et des guides précieux dans ce monde que nous ne connaissons pas. Le but de la base Tétra que nous allons mettre en place consistera à garder le contact avec les équipes au sols ou dans les airs. Elle servira aussi à récolter et analyser tous ce qui sera susceptible d'être ramener avec nous. Le Prospect permettra de garder et de prendre contact avec notre monde. Il pourra d'ailleurs nous ramener chez nous en cas de besoin. Nous avons de quoi tenir plus d'un mois, alors messieurs préparez-vous.
Vous avez chacun d'entre vous reçu des ordres précis pour la suite des opérations. Bref messieurs, rompez.»
la première phase de l'opération venait de débuter. On désamarra le V22 et on prépare l'un des canots pneumatiques. Le V22 sous le nom de code Condor est le premier à s'élancer du Prospect. Il est suivi quelques minutes après le canot pneumatique qui porte le nom de code de Colomb. Il y a à présent de nombreux échanges radio entre chaque équipe.
«-Ici Condor, Colomb, nous avons repérer la clairière vous devriez avoir un passage qui y mène à partir de la plage à 9h de votre position à vous.
-Bien reçu Condor merci de l'info.
-Prospect à Condor avez-vous repérer le village et la route?
-Ici Condor, tout a fait nous avons une route de terre et un village un peu fortifié à 6h. Il doit être à 15 minutes en véhicules de la future Base Tétra.
-Colomb à Prospect. Le sol est assez dur pour un débarquement nous nous dirigeront vers le passage indiqué par Condor, à vous.
-Bien reçu Colomb, on vous envoie les unités amphibies.»
La poupe du Prospect s’ouvrit en deux pour laisser place à une cale sèche où se situait au dessus d'un rampe de mise à l'eau deux véhicules amphibies. Derrière ce trouvait deux conteneurs situé en dessous d'un trappe de chargement. Celle-ci se remplit peu à peu jusqu'à un certain niveau. Chacun des deux véhicules alluma ses moteurs et sortit un à un du devant de Prospect. Leur nom de code respectif était Salamandre 1 et Salamandre 2. Sur la plage l'équipe au sol fini par repérer le fameux passage dans les bois.
«-Colomb à Prospect, nous sommes devant le passage. Il est assez large pour faire passer Salamandre 1 et 2. Nous sommes en attente.
-Bien reçu Colomb. Salamandre 1 et 2, Colomb vous attend pour confirmer si le passage est praticable.
-Ici Salamandre 1, bien reçu.
-Ici Salamandre 2, bien reçu.»
Au bout d'une minute, les deux véhicules finissent par rejoindre la plage et atteindre l'autre équipe.
«-Ici Salamandre 1 à Prospect nous sommes devant le passage, la terre semble tasser nous tentons la traversée.»
Le véhicule s’avançât lentement dans le passage qui était assez large pour faire passer une route sur deux voies. Celui-ci ne ressentit aucun désagrément particulier si ce n'est les quelques roches qui secouât le véhicule. Au bout d'une minute, ce fut le tour de Salamandre 2 d'emprunter le passage. Le V22 toujours en vol finit par apercevoir les deux véhicules atteindre sans encombres la clairière.
«-Ici Condor, Salamandre 1 et 2 sont arrivés à bon port.
-Ici Salamandre 2, je conseille de faire décharger le reste du matériel à l'aide de Condor, a vous.
-Bien reçu Salamandre 2, nous faisons rentrer Condor à la base et alors décharger la cargaison à votre position.»
Sur le navire on s'affaire à mettre les fixations sur les conteneurs et on s'occupe à sortir l'un des hélicoptères BlackHawk pour faire gagner du temps durant les rotations. Le V22 commença par prendre les conteneurs puis ce fut le tour du BlackHawk de prendre les Hummers. On sortit alors le second Blackhawk charger de quelques hommes qui alla directement les déposer à la future base. Le V22 est maintenant rendu au dernier camion-citerne. Le second BlackHawk n'est plus qu'a son dernier aller-retour qui consiste à prendre comme passager les têtes pensantes de l'expédition. Tandis que l'hélicoptère décolle le V22 ayant terminé sa mission se pose à présent sur le pont arrière du Prospect. L'équipe du nom de Colomb était déjà retourné sur le navire depuis longtemps, de plus elle ne faisait pas partit de l'expédition mais de l'équipage du Prospect.
Sur la future base Tétra, c'est le qui vive, les hommes sont en train de mettre en place les différents équipements et protection de la base. Certains coupaient des arbres pour faire le mur de barbelés et les vigies. D'autres installaient les différentes tentes comme celle de communication, les dortoirs ou du laboratoire. La base fut monter en quelques heures et la nuit se met à tomber. Le ciel est plutôt clair et on pouvait voir deux lunes distinctes dans le ciel. L'un était légèrement plus grosse que l'autre et en même temps plus proche que la notre par rapport à la Terre. La marée descendante cette nuit-là mit la coque du Prospect à seulement 30 centimètres du fond. Heureusement pour lui il n’était pas propulser par des hélices.
Le matin fait maintenant son entrée sur la première journée véritable de cette expédition. Le docteur Brown accompagné d'une poignée d'hommes est en train de recueillir un certains nombre de plantes au niveau de la jungle. Elle finit par tomber sur une étrange pierre sculpté et gravé à la main. Elle était recouverte de symboles dont elle reconnaissait absolument rien. Elle appela donc la base toute proche à la radio.
«-Tétra, ici le docteur Brown, vous me recevez.
-Ici Tétra, je vous reçois docteur, qui y a t-il?
-Vous pouvez m'envoyer le professeur Mayers, j'ai une stèle qui pourrai l’intéresser.
-Pas de souci docteur, on vous l'envoie, terminé.
-Bon c'est pas tout ça moi je continue sur ma lancée.
-Heu docteur, ne devrions nous pas attendre le professeur Mayers avant de nous aventurer plus loin.
-Allons ne me dites pas que vous avez peur. Et puis comme nous sommes trois, il y en a un de vous deux qui m'accompagne et l'autre qui attend ici le professeur Mayers.
-Je vous accompagne alors, lui répondit l'un des soldats.»
Les voici s’enfonçant un peu plus dans la forêt, tandis que l'un d'entre est en train de monter la garde devant la stèle. Le professeur Mayers arriva deux minutes plus tard accompagné du Colonel Pendletone.
«-Mon Colonel.
-Repos, soldat, repos. Mais dites-moi où est passer le docteur Brown et l'autre gars qui était avec vous.
-Ils sont partit explorer la forêt dans cette direction mon colonel.
-Bon j’espère qu'elle sait ce qu'elle fait. Alors Professeur vous pouvez lire ce qui a écrit sur cette pierre.
-C'est fascinant, On dira une sorte de langage basé sur les aztèques mais avec plus une écriture de type hindouiste et avec des accents grec ancien et araméen.
-Donc vous pouvez le traduire ou pas ?
-Oui oui, bien sûr mais c'est plus compliqué que ça en a l'air.
-Prenez votre temps, ne vous en faites pas.»
Une minute plus tard.
«-Ah voilà donc si je traduit bien sa dit. Quiconque franchit le territoire des, j'ai pas trouver pour ça, sans l'aide d'un bon allié se verra finir sur la route de la mort. Je suppose que ça un rapport avec l’araignée dans ce cercle qui entoure le texte.
-J'ai comme un mauvais pressentiment, dit le colonel.»
Pendant ce temps, un peu plus loin en forêt.
«-Alors docteur, vous pouvez me dire ce que l'on cherche.
-la créature à l'origine des toiles d'araignées que l'on voit un peu partout.
-Okay et genre quel taille ?
-Je ne sais pas mais du genre assez grosse.»
C'est alors que l'homme aperçoit une grosse araignée d'environ 50 centimètres d'envergure descendant à l'aide de sa toile se mettre sur le dos du docteur Brown.
«-Docteur, rester où vous êtes.
-Quoi qui y a t-il, dit-elle en stoppant sa marche.
-Vous avez un grosse araignée dans le dos. Je viens vous l'enlever.
-D'accord mais faite vite.»
Aussitôt dit l'homme à l'aide de son couteau enleva l'araignée qui avait pris domicile sur le dos.
«-Et bien voilà on l'a trouver votre bestiole qui tisse ces toiles.
-Heu... je crains que ceci n'était qu'un bébé.»
Une goutte de bave se met à tomber au sol et nos protagonistes levèrent alors la tête.
Nous sommes de retour aux cotés du colonel Pendletone et du professeur Mayers. On entendit d'un coup, un grand cri de femme, suivi de coup de feux et se terminer par un chute d'un gros objet au sol. Les trois hommes se précipitèrent alors vers l'endroit du cri et des coups de feu pour découvrir le soldat qui accompagnait le Docteur Brown l'arme encore fumante. Quand à elle, on pouvait voir qu'elle était encore un peu sous le choc. Il y avait au sol une mygale morte de deux mètres d'envergure.
«-Jolie trophée.
-Merci mon colonel.
-Docteur sa va aller ?
-Oui encore un peu sous le choc mais sa va aller.
-Bon je pense que ne devrions pas trop nous attarder ici et je croix qu'au vue de la situation, je croix que ça ne serra pas nécessaire de ramener cette chose à la base.
-Vous avez raison, j'ai amplement deviner son régime alimentaire. Par contre, je prend juste quelques photos et on se tire d'ici.»
Les voici de retour à la base. Le soleil est au zénith et il est temps de prendre un repas bien mérité.
Sur la même table on pouvait voir mangeant ensemble le même groupe que lors du briefing et avec le major Enderson en plus. Ils discutent bon train.
«-Et bien sympa cette matinée alors que nous sommes qu'à la moitié de la journée, c'est quoi la suite du programme, demanda le docteur Brown.
-Normalement cette après-midi nous allons explorer un peu plus au Sud. C'est assez vallonnée j'ignore ce que nous allons trouver la-bas, répondit le colonel Pendletone.
-D'ailleurs ça ma fait beaucoup penser à un paysage d'Irlande lorsque j'ai lu la carte, dit le major Enderson.
-Dites quand est-ce que nous allons prendre contact avec les habitants, demanda le professeur Mayers.
-Demain, c'est prévu. Vous m'accompagnerez ainsi que le docteur Brown car d'un si on ne parle pas la même langue vous serrez d'une grande aide. De deux pourquoi le docteur Brown nous accompagne également et bien parce que j'aimerai pas manger quelque chose qui ne soit pas comestible, lui répondit le colonel.
-D'ailleurs en parlant de contact mon colonel. Quand est-ce que nous allons avoir une communication avec chez nous, demanda le capitaine Rider.
-Alors pour ça je peux te répondre Eric. En fait lorsque j'ai effectuer des tests ce matin avec le Prospect, nous avons déduit que pour que la communication avec la terre fonctionne, il fallait que le transmetteur de relais situé sur Le Prospect se trouve à proximité immédiate des pyramides du portail, lui répondit le capitaine Lumens.
-Attend tu veux dire que Le Prospect doit s’éloigner, mais nous n'aurons plus de porte de sortit en cas de problème.
-En effet, c'est un problème, lui dit le colonel.
-Attendez mon colonel, je n'est pas fini. En fait nous pourrons toujours essayer de chercher la pyramide de contrôle. Une fois à proximité des pyramides du portail nous pourrons l'activer sans l'aide du Prospect.
-Elle ne sera pas au fond de l'océan, parce que il me semble qu'au delà d'une certaine distance les pyramides ne s'activent pas et ne peuvent pas former le portail, lui dit le professeur Mayers.
-Et bien en réalité pas du tout, sur les données sonar du Prospect, il n'y avait aucune forme pyramidale, même légèrement enfoui au fond de l'océan là où nous sommes apparu. Et puis ce que vous ne savez pas c'est que la pyramide de contrôle émet une sorte de signal pour être retrouvée. Ors le satellite a enregistre un étrange signal assez faible au environ de là où se trouve vos pyramides Mayas, professeur.
-Donc si j'ai bien compris capitaine, nous n'avons plus besoin du Prospect pour rentrer chez nous.
-Absolument mon colonel.
-Tient sa me fait penser que le commandant Sonart attend votre feu vert pour reprendre le large, mon colonel, lui dit le major Enderson.
-Et bien vous lui transmettrez que nous avons un autre moyen de rentrer et qu'ils peuvent rester près du portail pour garder la communication avec la terre et renter au cas ou.
-Bien mon colonel.»
le repas se termine et chacun retourne à ses occupations.
En début d’après-midi, le Colonel Pendletone accompagner de trois soldats embarquèrent dans l'un des trois Hummers en direction du sud. Au bout de 20 minutes, dans une zone aussi verte que désertique, l'homme aux jumelles aperçoit quelque chose.
«-Stop, arrêter-vous, mon colonel.
-Que ce passe t-il lieutenant, demanda le colonel après avoir arrêter le véhicule.
-Vous devriez voir ça, à 9h, lui dit le lieutenant en lui passant les jumelles.»
On pouvait voir à travers de celles-ci qu'il s’agissait d'un dragon de petite taille à la peau sombre avec une grande corne frontal. Il était en train de dévorer un proie qu'il a dut capturer.
«-Très bien, avons-nous des charges hypodermiques ou paralysantes ?
-Et bien nous avons bien un fusil avec ses munitions hypodermiques mais nous n'avons pas pris nos chargeurs de balles paralysantes pour nos fusils, mon colonel, lui répondit un autre soldat.
-D'accord de toute façon nous n'avons pas le choix. Prévenez le major Enderson et le docteur Brown que nous allons leur ramener un gros lézard. Ah aussi de mettre en place la grande cage en titane.
-Tout de suite mon colonel.»
Pendant ce temps à la base Tétra.
«-Quoi, répéter un seconde, vous aller ramener quoi ?
-Non, ce n'est pas un blague, Major, le colonel a même demander de monter la cage en titane.
-J'espère qu'il sait ce qu'il fait, je ne voudrais me retrouver avec un animal qui mettrait en danger la sécurité de la base.
-Reçu, terminé.»
Alors que le Colonel Pendeltone décocha un tir avec le fusil à charges hypodermiques, à la base on s'affaire à monter la grande cage en titane pour accueillir le monstre. Les voici de retour avec dans le coffre bien attaché le dragon de 5 mètres de long. Ne restant que quelques minutes au produit, le docteur Brown se dépêcha de prendre différentes mesures et analyses. L'animal fut aussitôt mis dans la cage juste après. Il semble ne pas trop apprécier la cage au début mais finit par si habituer au bout d'une heure. Le colonel ayant vu son régime alimentaire, il fut assez facile de le nourrir. Nous voici le soir dans la tente du laboratoire où se trouve le docteur Brown en train de faire ses analyses. Le dragon est la aussi. Le Colonel vient d'entrer.
«-Merci pour le cadeau, Colonel, mais vous savez, vous étiez pas obliger de la ramener à la base, un vidéo, des photos et des notes aurait suffit.
-Attendez, vous venez bien de dire elle.
-Oui colonel, vous avez capturer une jeune dragonne et je l'est même baptiser.
-Oh non pitié, dites moi pas que vous avez donner un nom à cette chose.
-Cette chose comme vous dites s'appelle Aurore et ne semble pas apprécier que vous la traiter de chose.
-Et bien sachez que Aurore fait peur à l'ensemble de mes hommes donc à moins que vous voulez lui apprendre des tours et à garder notre base, elle devra nous quittez. Nous sommes tomber d'accord avec le major Enderson pour la relâcher là où je l'ai trouver demain après-midi.
-C'est dommage parce qu'elle fait preuve d'une certaine intelligence. J'ai comme l’impression que son espèce à la même intelligence qu'un cheval. Si ça ce trouve, son espèce doit servir de mouture. D'ailleurs quand je lui parle j'ai comme la sensation qu'elle comprend.
-Vous, vous avez trop parler avec le capitaine Lumens et Rider. Enfin si elle est assez intelligente comme vous dites. Si jamais elle tente de s'en prendre à moi, je n'hésitera pas à la transformer en bottes ou en sac à main.
-J'ai l’impression que vous venez de lui faire peur. Au vue de sa réaction.
-Tant mieux, mais qu'elle se rassure si elle n'est pas une menace, il ne lui arrivera rien. Bon sur ce je doit vous laisser.»
Le Colonel sort de la tente et c'est alors que quelques secondes plus tard rentre à son tour, le capitaine Rider.
«-Alors c'est vrai, le colonel a capturer un vrai dragon.
-Oui enfin disons une femelle dragon pour être exact.
-Elle est magnifique, Eh Conrad vient voir.»
le capitaine Lumens fait maintenant son entrée.
«-Eric, je t'ai déjà dit qu'il faut que tu m'appelle par mon grade quand nous sommes dans la base.
-Oui mais enfin depuis le temps qu'on se connaît, tu sais bien que je te charit.
-Enfin bref, pourquoi tu m'appelle depuis la tente du laboratoire.
-T'es pas curieux de voir un vrai dragon ?
-Non pas vraiment.»
Le capitaine Rider commence a approcher la main de la cage.
«-Heu, Eric si t'a envie de te faire bouffer la main, c'est le meilleur moyen.
-Le capitaine Lumens a raison, a part moi, elle ne laisse personne s'approcher.
-Ne vous en faite pas, j'ai comme la sensation qu'il ne va rien se passer, et puis on m'a toujours dit que j'avais un don avec les animaux.»
Avec stupéfaction, Alors que la dragonne resta calme, il ne passa effectivement rien. Elle se laissa même caresser.
«-Et bien c'est la première fois que je vois ça, dit étonnée le Docteur Brown.
-Eric, je croix que t'a enfin trouvé ta nouvelle copine, lui dit Conrad en rigolant.
-Ah, ah, très drôle, Conrad, en tout cas je sens qu'elle aimerai bien pouvoir sortir de cette cage pour pouvoir s'envoler.
-Malheureusement c'est impossible, enfin du moins pas avant demain.
-Tu entend ça Aurore, demain, tu retrouvera ta liberté.
-Comment vous connaissez le nom que je lui est donnée, vous nous avez écouter le Colonel et moi, demanda le docteur Brown.
-Ah non pas du tout, pourquoi, on la croisé avec le capitaine Lumens au moment où il sortait de la tente.
-Ah oui je confirme, dit le capitaine Lumens.
-Pouvez-vous venir, me voir une seconde, capitaine Rider, lui demanda le docteur Brown.
-Oui bien sûr, quelque chose ne va pas.
-Je voudrais être sûr d'une chose.»
Le docteur Brown fit asseoir le capitaine Rider sur une chaise et commença par l’examiner. Ne remarquant rien d’anormale. Elle sortit une sorte de casque munis de capteurs.
«-Capitaine Lumens, vous voulez bien m'aider s'il vous plaît.»
Voici maintenant le casque sur la tête du capitaine Rider, le tout relié par un gros câble et un boîtier de connexion à un ordinateur portable.
«-Alors vous trouvez ce vous chercher, demanda le capitaine Lumens.
-Non rien d'anormal sur l’écran.»
D'un coup l'activité cérébrale du capitaine Rider augmenta de 1% sans véritable raison apparente et redescendu aussitôt.
«-Vous avez vu ?
-Oui très bien mais c'était quoi, demanda le capitaine Lumens.
-Il y a eu un bref activité cérébrale de 1% de plus que la normale et je n'est jamais observé ça auparavant.
-Vous savez docteur, j'ai déjà subit des examens de ce type pour savoir comment cela était possible que je pilotais aussi bien mais il n'ont jamais rien trouvé, lui dit le capitaine Rider.
-Pourtant mes mesures affichent le contraire.
-Je dirais plutôt que c'est lié à cet endroit, répondît le capitaine Lumens
-Comment ça ?
-Oui justement docteur je voulais vous en parler. J'ai découvert un truc après qu'on est placer la centrale photovoltaïque. Au bout de 12h les plaques de silicium était passer de leur bleu habituel a une variante plus cyan. J'ai d'abord cru à un défaut de fabrication malgré le fait que la centrale fonctionnait toujours à 100%. J'ai donc remplacer l'un des panneaux par un de rechange et je suis venu pour voir ce qui avait fait changer la couleur du Silicium. Puis-je emprunter le spectromètre de masse?
-Oui bien sûr.»
Le capitaine Lumens découpa un échantillon de la feuille de Silicium qu'il tenais à la main et le plaça dans le spectromètre de masse. L'analyse montra en plus des composants habituels et un autre inconnu.
«-C'est vraiment très étrange.
-Qu'est qu'il a d'étrange dans ces analyses, demanda le docteur Brown.
-Et bien vous voyer, pour que ce genre de nouveau composant se créer, il aura fallu qu'il y ai réaction nucléaire. Ors lorsque j'ai passer l'un des compteurs Geiger, il ne trouva aucun trace de radioactivité. En fait il y a une particule dans ce monde qui à les même effets qu'un bombardement de particules radioactives. Ors on sait que les particules radioactives peuvent provoquer des mutations plus ou moins grave.
-Oui, tout à fait, je vois où vous voulez en venir mais on aurai dut déjà sentir l'effet de ces radiations.
-Mais ce n'est pas le cas.
-Heu dites, je peux enlever ce casque et me lever je commence à avoir des crampes.
-Oups pardon, désolé Capitaine Rider, on vous avais oublier.
-Ce n'est pas grave, par contre j'ai pas tout suivi le coup de la particule.
-T'en fait pas Eric, je te simplifierai ça. Bon et bien, on va vous laisser docteur.»
De l'autre coté du camp de base, le colonel Pendletone en train de discuter avec le professeur Mayers.
«-Alors professeur, vous pensez y arriver ?
-Oui ne vous en faite pas colonel, s'il parle toujours ce langage, on devrait pouvoir communiquer facilement .
-Parfait, demain matin soyez prêt nous partirons vers 9h. Bon c'est l'heure d'aller se reposer il se fait tard.
-Bonne nuit alors Colonel.»
Fin du chapitre 2.
Chapitre 3: Contact
Nous voici le lendemain matin, au volant d'un Hummer, accompagné du professeur Mayers et du docteur Brown, le colonel partit pour le village situé à 15 minutes au nord de la base. La route finissait sur une colline surmontant légèrement le village situé 2 km plus loin. Le colonel décidât d'arrêter le hummer sur la colline afin de ne pas effrayer les habitants. Laissant au docteur Brown le soit de garder le véhicule et de faire la liaison avec la base, le colonel Pendletone et le professeur Mayers continuèrent à pieds jusqu’à la double porte lourde et fermé du village. Le professeur se mit a frapper à la porte permettant de faire entrer uniquement des personnes et possédant un corridor.
Un garde ouvrit le corridor et parlant dans une langue que nos deux protagonistes ne connaissaient pas. Néanmoins le professeur réussi a comprendre ce que la personne leur demande.
«-Qu'est-ce qu'il a dit, lui demanda le colonel.
-Il me demande qui nous sommes et ce que nous venons faire ici.
-Et bien présenter nous et dites lui que nous venons discuter avec son chef.»
Le professeur avec quelques difficultés, traduis comme il put le message que tente de faire passer le colonel. Le garde lui répondit et le professeur traduisit pour le colonel.
«-Ils nous demande pourquoi nous parlons une autre langue que la leur et pourquoi un gradé et un homme de science veulent voir son chef.
-Dites lui que nous venons d'une contrée très lointaine et que nous venons traiter affaires avec son chef.»
Un nouveau dialogue entre le professeur et l'homme derrière s'en suit.
«-Bien alors je croix que nous avons un problème, il nous dit que si nous venons traiter affaires avec son chef on doit avoir une lettre de permis de passer, parce que à cause d'un dragon qui rode dans les parages, ils ont dut condamner les portes.
-Ah je vois et bien dites lui que nous l'avons perdu et que son chef nous connaît.
-Heu, c'est un mensonge ça colonel.
-Je le sais bien mais je ne voudrais pas devoir utiliser le plan B.
-Très bien alors.»
Le professeur expliqua la situation au garde qui referma aussitôt le corridor.
«-Alors, demande le colonel.
-Et bien il est partit se renseigner, il revient dans 5 minutes.»
Quelques minutes plus tard le garde ouvrit de nouveau le corridor et se mit à leur parler. Le professeur traduit juste après.
«-Il s'en excuse mais son chef ne souvient pas de nous et que sans le papier de permis d'entrer, il ne pourra pas nous laisser passer.
-Essayer de le supplier.»
le professeur parla de nouveau au garde qui se mit à rire et referma le corridor.
«-Il dit que cela ne sert à rien de lui supplier de nous ouvrir et que vu nos allures on est assez fort pour s'en sortir tout seul.
-Bon alors dites lui que s'il ne nous ouvre pas je vais pulvériser la porte à l'aide de ce que je tient entre les mains.»
Le professeur frappa de nouveau à la porte, le garde ouvrit de nouveau le corridor. Le professeur lui dit donc ce que le colonel lui a dit; le garde ria de nouveau et referma le corridor.
«-Bon en même temps, la je comprend pourquoi il a rigoler. La porte est de toute façon bien trop épaisse pour je la découpe avec mes balles. Bon je croix qu'il faut que je prépare le plan B.
-Et c'est quoi ce plan B, colonel.
-Vous aller vite comprendre.»
Le colonel appuya sur le bouton latéral de sa radio situé dans la poche haute gauche de son gilet tactique.
«-Docteur Brown, ici le colonel Pendletone, vous me recevez.
-Oui je vous reçois parfaitement Colonel.
-Très bien, vous pouvez me mettre en relation avec la base s'il vous plaît.
-Tout de suite. c'est bon vous pouvez y aller.
-Merci. Ici le colonel Pendletone, j'appelle la base Tétra, est-ce que vous me recevez, à vous.
-Ici le major Enderson, on vous reçoit parfaitement.
-Très bien, pouvez-vous m'envoyer une des salamandres le plus vite possible.
-Oui pas de souci mon colonel, je vous envoie qui?
-Et bien envoyer moi le capitaine Rider et Lumens. Ils seront les plus aptes a venir en vitesse. Dites leur de nous rejoindre en haut de la colline.
-Pas de souci, mon colonel, on vous les envoie.
-Alors c'est ça votre plan B, vous compter utiliser la puissance du canon EM pour faire un trou dans la double porte, c'est bien ça.
-Tout à fait. Bon il ne nous reste plus qu'a patientez.»
Huit minutes plus tard, alors qu'ils sont en train de patientez au niveau du Hummer, un message radio retenti.
«-Mon colonel, ici le capitaine Lumens, nous serons sur vous d'ici 2 minutes, terminé.
-Bien reçu Lumens, terminé.»
Deux minutes plus tard, on pouvait voir le véhicule au nom de code Salamandre 1 arriver à vive allure et réduire sa vitesse pour s'arrêter juste derrière le Hummer du colonel Pendletone.
Il donna quelques instructions au capitaine Rider et Lumens en leur expliquant donc le fameux plan B dont il avait fait part au professeur Mayers. Chacun d'entre eux se mettent en place. Le Salamandre se mit en peu plus loin du Hummer, restant en haut de colline prêt à faire feu avec à son bord toujours le capitaine Rider au volant et donc le capitaine Lumens au canon EM. Le docteur Brown est toujours au volant du Hummer prête à les rejoindre en cas de problème majeure. Le colonel Pendletone et le professeur Mayers redescendent en direction de la grand porte qui garde l'entrée du village fortifié. Le professeur frappe au niveau du corridor et le même homme que la dernière fois l'ouvrit. On semble comprendre malgré la barrière de la langue qu'il ne semblait pas trop ravi de les revoir.
«-Bon, il nous demande si nous avons enfin retrouvé le papier de laisser-passer, traduisit le professeur Mayers.
-Et bien dites lui que si il ne nous ouvre pas maintenant je ferrai exploser la porte à l'aide d'un grand sifflement.»
Le professeur transmit donc le message et l'homme se mit à rire tout en parlant. Il refermât juste après le corridor. Le professeur traduisit quand même au colonel se qu'il venait de lui dire.
«-Bon alors comme on a mentit avec votre arme, il aimerait bien voir ça.
-D'accord alors vous aller frapper de nouveau de lui dire de s'éloigner de la porte lorsqu'il entendra le sifflement et nous feront de même.»
Le professeur s’exécuta et frappa de nouveau à la porte. Le garde était vraiment désespéré de les revoir. Mais lorsque le professeur lui parla, on pouvait voir un étonnement dans son regard. Le colonel passe à ce moment un bref message radio.
«-Lumens, maintenant. Professeur vite courront.»
Dans le Salamandre, Lumens demanda à Rider de lui fournir un peu de puissance, ce qu'il fit en accélérant. Le coup partit dans un bruit moins assourdissant qu'un coup de canon classique mais d'une plus grande puissance.
Le colonel et le professeur sont en train de s’éloigner en vitesse de la porte d'où on pouvait percevoir un sifflement de plus en plus proche. Si on regarde du point de vue du garde, il suivi le conseil du professeur et fit de même. S'en suit ensuite une explosion qui eut pour réflexe de se mettre à plat ventre le colonel et le professeur. Des débris de bois et de fer forgé volaient un peu partout. Alors que l'explosion s'est calmé et que la poussière de l'impact se dissipe, dans le salamandre, le capitaine Lumens semblait un peu gêné du résultat.
«-Oups, je croix que j'y suis aller un peu fort.»
Il semble que ça soit le cas puisqu'il n'y a à présent plus de porte, enfin disons qu'il reste juste les charnières avec un peu de bois dessus.
Alors que nos deux hommes se relèvent, on pouvait apercevoir au loin au niveau de la porte des habitants venu voir l'origine du bruit. Ils avancèrent tranquillement en direction de l'entrée. Alors qu'ils viennent de la franchir, les habitants néanmoins curieux n’osent cependant pas s'approcher qui d'après ce que semble comprendre le professeur les soupçonne d’être à l'origine des dégâts sur la porte. Ils trouvèrent le garde entouré de curieux tentant de soigner ces blessures. En les voyant il était si apeuré qu'il n'ose parler.
«-Professeur, dites lui que nous nous excusons pour cette petite frayeur et que s'il en est encore capable, de nous emmener vers son chef.»
Le professeur traduisit donc mot pour mot ce que le colonel avait à dire. Le garde hocha la tête de haut en bas, il accepta. Une fois celui-ci relevé, il leur indiqua dans sa langue de le suivre. Nos hommes traversent se qui semble être une ville marchande de par les nombreux commerces et la très grande place du marché. Les voici arrivé devant un grand bâtiment bien gardé. Les gardes à la porte s'approchait de celui qui accompagnait le colonel et le professeur. Toujours malgré la barrière de la langue, on pouvait voir sur leur regard que le garde légèrement blesser rassura les deux autres et posa une question. Le garde demanda ensuite à nos deux protagonistes de les suivre dans le bâtiment. Il grippèrent un escalier de bois sur deux étages et finissent par atteindre une sorte de bureau. On pouvait voir qu'il s’agissait d'un haut gradé. Le garde parla donc à son chef et d'après ce que le professeur traduisit, il lui demande pourquoi il vient le déranger. Le garde lui dit que nos deux hommes sont venu pour lui parler et qu'il sont en partit responsable de ces blessures. Le haut gradé qui semble avoir le même grade que le colonel Pendletone, demande comment ils en sont en partit responsable. Le garde lui explique que malgré le fait qu'il ne possédait pas le papier requit pour entrer le colonel Pendletone en posant ses doigts sur son oreille gauche et en prononçant une formule, un étrange tonnerre grondât suivi d'un sifflement et la porte disparu dans une grande explosion équivalente à 10 tonneaux de poudre noir. Le haut gradé était surpris et compris d'où venait le bruit qu'il avait entendu. Il demanda pourquoi il ne parle pas la même langue que la leur. Le garde lui explique qu'il vienne d'une contré très lointaine et que seul le bibliothécaire et interprète du colonel Pendeltone arrive avec quelques difficultés à parler leur langue. Le terme de bibliothécaire ne plus pas trop au professeur qui lui fit une remarque que dans son pays il est un grand archéologue et qu'il ne passe pas toutes ces journées dans une bibliothèque. Le haut gradé demande au garde de sortir et il s'adresse a présent directement au professeur. Il traduit en direct pour le Colonel et ce haut gradé afin de donner une conversation claire entre les deux hommes.
«-Bien je me présente je suis le Colonel Hornox de la dixième division de l'armée royale de son impératrice Mézaline. Pour commencer, j'aimerai savoir comment vous comptez dédommager la destruction de la porte sud.
-Cela risque d'être dur nous n'avons pas d'argent sur nous mais dites toujours à combien s’élève le montant des dégâts.
-D'après ce que m'a dit l'homme de garde que vous avez également blesser, je l'estime à environ 20 000 Orias et encore je pense que je sous estime.
-Désolé mais nous ne connaissons pas cette monnaie, pouvez-vous nous dire combien coûte une baguette de pain chez vous. Cela nous permettra de faire le taux de change avec notre monnaie qui est le Dollar.
-Vous ne connaissez pas notre monnaie et je ne connais pas la votre non plus. Vous devez venir d'une contrée vraiment lointaine. Qu'est le nom de votre contrée?
-Nations Unies; mais pouvez-vous répondre à notre question également s'il vous plaît?
-Bien sûr, une baguette de pain vaut environ 50 centimes d'Orias.
-D'accord auriez-vous un boulier ou une machine à calculer, demanda personnellement le professeur.
-Oui bien sûr, tenez, répondit le Colonel Hornox en lui passer un boulier.»
Le professeur se met alors à calculer un taux de change et à en donner les résultats au Colonel Pendletone.
«-Bien colonel, en sachant que une baquette de pain vaut environ 41 Centimes de Dollars, et que leur baquette de pain vaux 50 centimes d'Orias j'obtiens donc un taux de change de 1,22. Donc ce qui fait que nous leur devons pour la porte la somme de 16 393 Dollars et 44 centimes.
-C'est moins que l'argus de ma voiture à l'heure actuelle, dit en ironisant le Colonel Pendletone.
-Donc vous compter les payer ou pas ?
-Bien sûr que non et puis nous ne sommes pas là pour ça. Vous lui demanderez une facture détaillé histoire de monter notre bonne foi. Bref continuons à en savoir plus.»
le professeur reprit donc son rôle d'interprète pour les deux colonels et la discussion tourne désormais vers des choses plus sérieuses.
«-Bien alors que me vaut la raison de votre visite Colonel Pendletone ?
-Voila nous sommes en réalité des explorateurs et nous venons récemment de débarquer dans votre beau pays. En fait nous venus ici car il s’agissait de la seule ville la plus proche de l'endroit où nous avons débarquer.
-Ah je vois, vous venez du port de Seïnmaid, c'est le seul port le plus proche de cette ville.
-Oui c'est cela d'ailleurs pouvez-vous me rappeler le nom de votre ville nous avons oublier.
-Oui bien sûr vous êtes à Almotride, la plate-forme commerciale la plus importante de ce coté du continent.»
Le colonel est satisfait des informations donnés par celui qui porte le même grade que lui. Il demande maintenant au professeur de négocier un guide et une carte.
«-Merci beaucoup, on n'ose pas trop vous le demandez mais nous sommes à la recherche d'un guide et d'une carte de la région. Est-ce que cela serai possible ?
-En tout cas je constate qu'un de mes hommes ne serra pas nécessaire car quand je vois la manière dont tient votre Colonel ce qu'il a entre les mains il doit s'agir d'une arme. Je pourrai éventuellement vous envoyer ma fille, elle qui rêve de voyager, mais je ne sais pas grand chose de vous. Pour la carte ça ne saura pas un problème mais il faudra me proposer quelque chose. Alors j’attends votre proposition.»
Le professeur et le colonel Pendletone se retourne pour discuter de se qui pourrai lui proposer en échange.
«-Ils sont à la recherche d'un dragon on pourrait leur proposer celui que j'ai capturer hier après-midi et qui est gentiment dans une cage à la base, dit le colonel.
-Je croyais qu'on devais la relâcher cette après-midi.
-Disons que c'est ça, on la laissera juste entre les mains plus experte de ces gens qui seront plus aptes à savoir quoi en faire.
-Ils risquent de la tuer et d'en faire ce que vous avez dit dans la tente hier soir.
-Vous écoutez au porte maintenant Professeur.
-Pas du tout, mais les informations circulent vite dans la base.
-Hum je vois, de toute façon nous n'avons pas d'autre choix car il est ors de question de leur fournir des armes ou tout autres matériel qui leur sont inconnu.
-Vous avez raison, je vais tenter de négocier.»
Nos deux protagonistes se retournent et le professeur dit au colonel Hornox leur proposition.
«-Sérieusement un dragon, décrivez le moi, demandât le colonel Hornox.
-Il est sombre avec un corne frontal et fait 5 mètres de long.
-J'espère que vous avez capturez la mère également.
-Comment ça ?
-Et bien l'alerte qui aurait dut vous empêcher d'entrer concernait un magicien qui contrôlerait une mère et son petit. Et comme on ne connaissait pas le visage de ce magicien on a fait un système de laisser-passer. Tout le monde a été mis au courant de cette procédure. Rassurez-moi vous avez bien capturer la mère également, demanda le colonel Hornox d'un air inquiet.
-Non mais petite question, Elle fait combien la mère ?
-25 mètres de long pourquoi ?
-Bon rassurez-vous, dit le professeur en voyant l'air encore plus inquiet du colonel Hornox, nous avons capturer le petit très loin d'ici et ne se trouve a Seïnmaid, ni ici.
-Ah vous me rassurez, elle pourra retrouver facilement son petit par contre comme je croix en votre histoire je vais vous confier une carte sans rien demander au retour.»
Le colonel Hornox se mit a fouiller dans un des tiroir de son bureau et finit par trouver la carte qu'il cherchait. Il la confia au professeur qui s'empressa de la dérouler pour la lire. Le colonel Pendletone est inquiet car il n'arrive pas à joindre la base sur la canal d'urgence.
«-Rider, Lumens, pouvez-vous contacter la base sur le canal d'urgence.
-Non impossible, j'ai l’impression que quelque chose brouille certaines fréquences radios, mon colonel, répondit le capitaine Lumens.
-Entendu, ordre de retourner à la base le plus vite possible, je croix qu'ils ont des ennuis, essayer en chemin de les contacter sur le canal relais.
-Bien reçu mon colonel, nous mettons les gaz.
-Docteur Brown, vous me recevez, à vous ?
-Oui, Colonel, que ce passe-t-il?
-Passer immédiatement sur le canal relais, c'est un urgence.
-Qu'est-ce qui se passe colonel, des ennuis, je viens de voir Éric et Conrad partirent a vive allure?
-Disons que j'espère qu'il ne soit pas trop tard.»
Le colonel Hornox fit un remarque que le professeur lui traduisit.
«-Il demande à qui vous êtes en train de parler car il ne vois aucune sphère de communication dans vos mains.
-Et bien dites lui que c'est normal et qu 'il s'agit d'un nouveau modèle. Base Tétra, ici le colonel Pendletone , me recevez-vous.
-Il dit que cela ne peut être un nouveau modèle et demande si nous venons vraiment d'un contrée lointaine.
-Base Tétra, ici le colonel Pendeltone, est-ce que vous me recevez, à vous. Dites lui que la contrée d'où nous venons n'est pas afficher sur la carte.
-On devrait peut-être lui dire que nous venons du portail, colonel.
-Écoutez dites lui ce que vous le voulez moi j'essaie par dessous tout de contactez mes hommes.»
Tandis que le professeur expliqua leur véritable origine, le colonel Hornox stupéfait demanda s'il ne serrai pas les anciens dieux. Le professeur lui expliqua que non et qu'il existe un autre monde derrière le portail. D'un coup, la radio du colonel reçu un appel d'une voix essoufflé.
«-Mon colonel, ici le major Enderson, ne rentrer pas à la base, je répète, ne rentrez pas la base.
-Je vous reçoit major que se passe-t-il ?
-Nous sommes attaquer par un version géante du dragon que vous a capturer, j'ai pus rétablir en partie la liaison radio, mais ce n'est pas tout il est accompagner d'une personne qui fait valser nos hommes dans tous les sens.
-Tenez bon major, nous revenons au plus vite à la base, Rider et Lumens sont déjà en route avec le salamandre.
-Non il ne doivent pas rejoindre la base, tous les véhicules sont H.S. Nous n'avons plus aucune défense et aucune issue de secours. Je croix qu'il m'a repérer je vais essayer de... HAAAAAA!!!»
le signal vient de couper. Le colonel voulut tout de même se rendre sur place et en agrippant le professeur par le col pour lui faire signe de le suivre, les deux hommes laissèrent en plan le colonel Hornox tout en descendant en courant l'escalier du bâtiment où ils étaient. Arrivez au rez de chaussé, les deux gardes postés au devant de la porte se demandant par leur regard se qui leur arrive. Une fois dans la rue et toujours en courant en direction de la porte sud, le colonel appela le docteur Brown sur la radio en lui demandant de rentrer dans la ville pour venir les chercher.
Ainsi deux minutes plus tard, on pouvait voir le hummer rentrer à vive allure dans la rue principale de la porte Sud en effrayant quelques personnes au passage qui se demandait se que cela était et surtout pour l'éviter. En vue de nos deux hommes arriver en courant et en ayant atteint l'entrée sud du marché elle fit un dérapage contrôlé de 180 degrés. Nos deux hommes sont au niveau du véhicule à l'arrêt et interpellant au passage une foule de curieux.
«-J’ignorai que vous saviez aussi bien conduire docteur Brown, dit la colonel.
-Mon père était pilote de rallye, c'est lui qui m'a appris à conduire avant de passer mon permis, lui-répondit-elle alors qu'ils ont en train de monter dans le véhicule.
-Dans ce cas, je vous laisse le volant et foncer.»
Afin de faire partir surtout ceux s'étant mis devant le véhicule elle fit rugir quelques peu le moteur tout en avançant un peu. Les curieux devant le Hummer se poussèrent et laissa le champ libre au véhicule pour avancer. Après quelques mètres elle remis les gaz et sortirent a environ plus de 90 Kilomètres par heure comme indiqué sur le compteur de vitesse. Le colonel en profita pour dire un mot au professeur.
«-Et bien professeur Mayers malgré votre âge, je ne vous saviez pas aussi en forme.
-Merci colonel, il faut dire que certaines de mes découvertes ont commencer par ce genre de pratique sportive. Au moins maintenant nous avons une carte papier de la région sa devrait nous aider, dit-il en regardant celle qu'il avait dans sa main gauche.
-Ce que j'espère c'est que nous n'arriverons pas trop tard, dit le colonel.»
Quelques minutes plus tard, à l'approche de la base, on pouvait voir une grande fumée noire et grise s'en échappées. L'inquiétude du colonel grandissait de plus en plus qu'il s’approchait de la base. Ils ont à présent juste devant de ce qui reste de la base Tétra, un amas de bois et de tissus en feux, des véhicules endommagés plus ou moins sévèrement. Le salamandre est arrêter dans la cour avec assis sur les deux bas de portes arrières grandes ouvertes, le capitaine Rider et le capitaine Lumens en train de se remettre de leur émotions. On pouvait voir des cadavres jonchés ici et là, les dégâts étaient très importants, on ne distinguait aucun signe de vie. Alors que tout espoir semblait perdu, un bip radio se fit entendre parmi le silence qui régnait sur la base. Le colonel fut remarqua le premier à le remarquer.
«-Vous entendez?
-Quoi donc colonel, demanda le docteur Brown.
-J’entends des bips radio irréguliers.
-Je n'entend rien, mon colonel, répondit le capitaine Lumens.
-Alors chut et écouter.»
De nouveaux bips irréguliers se font entendre.
«-Vous avez entendu?
-Oui mon colonel et je peut même vous dire que ça vient de la tente de communication, répondit le capitaine Rider.
-Enderson, dit le colonel en courant en direction de la tente de communication, suivi de près par les autres.»
Arriver sur place, on pouvait voir une paire de jambes en sang dépassé d'un morceau de ce qui reste de la centrale photovoltaïque. Des sons de douleur et une dernière série de bips irréguliers en sortait.
Pendant qu'ils s'affairent à enlever les débris qui recouvre le corps, le colonel reconnu la voix du major Enderson.
«-Tenez bon major on va vous sortir de là.»
Une fois le major dégagé, le docteur Brown demanda au colonel de lui laisser d'abord l'examiner.
«-Comment vous sentez-vous major, demanda-t-elle.
-A part être un peu secoué, je croix que ma jambe gauche est cassé ainsi que deux ou trois côtés faillés, dit-t-il en reprenant de temps en temps son souffle.
-Oui je confirme; je peux vous voir en privé colonel.
-Oui bien sûr.»
Alors que les capitaines Rider et Lumens ainsi que le professeur Mayers se dirige vers le major Enderson, le docteur Brown et le colonel Pendletone s'en éloigne pour discuter en privé.
«-Alors docteur il va s'en sortir.
-Malheureusement je crains qu'il ne lui reste que quelques heures à vivre. l'une des cotés cassé à percer son foie.
-Je voix, bon laisser moi lui parler.»
Ils retournent et reviennent vers le major Enderson. Au regard que faisait le colonel et le docteur Brown il compris que quelque chose.
«-Alors, mon colonel, c'est bien ce que je pense, je suis foutu, combien de temps il me reste, dit-t-il en se tordant de temps en temps de douleur.
-Quelques heures major, dites-moi avez réussi à contacter le Prospect.
-Non quelque chose brouilla certaines fréquences radio dont celles pour joindre le Prospect et le canal d'urgence. Par chance, le canal relais fonctionnait encore et c'est comme ça que j'ai reçu votre communication et pu vous joindre.
-Dans combien de temps, le Prospect va tenter un contact avec la base.
-Dans environ une vingtaine de minutes, mon colonel, sinon ils appliqueront l'ordre 40.
-Oui je connais la procédure, major. Lumens combien de temps pour remettre la radio en état.
-Au vue de ce qu'il en reste, je pourrai juste amplifier celle du Salamandre en 18 minutes, mon colonel.
-Parfait mettez-vous tout de suite au travail, il ne faut pas perdre de temps. Nous, pendant ce temps, allons creuser des tombes pour pouvoir enterrer nos camarades.
-A vos ordres, mon colonel.»
Ainsi pendant ces vingts minutes, le colonel sauf le major Enderson et le capitaine Lumens sont en train de réunir les différents corps et de creuser la vingtaine de tombes. Pour s'aider ils utilisèrent des brancards trouvés intact dans les décombres de l'infirmerie. Afin d'en enterrer le plus en un minimum de temps les trous des tombes état peu profonde, d'environ un mètre de profondeur. De plus malgré le fait qu'il était à quatre sur la tache seule 12 tombes furent creuser en cette période de temps. Le major Enderson fut d'ailleurs mis sur l'un des brancard lorsqu'ils trouvèrent ceux intact de l'infirmerie. Le capitaine Lumens fait à présent signe au colonel Pendletone qu'il vient de finir son bricolage sur la radio du Salamandre. Il lui passe le micro et tente un premier essai.
«-UNBC Prospect, Ici la base Tétra, est-ce que vous recevez, à vous.»
Répétant cette phrase deux fois de suite, il ordonne au capitaine Lumens de passer sur le canal d'urgence. Il répète une nouvelle fois, la phrase et une réponse du navire s'en suit juste après.
«-Ici le UNBC Prospect, on vous voit reçois colonel, que se passe-t-il, on allais vous joindre sur le canal standard, pourquoi nous appelez-vous sur le canal d'urgence ?
-Dites simplement au commandant Sonart, que la mission a été compromise.
-Ici, le commandant Sonar, je vous écoute colonel, comment ça la mission a été compromise ?
-Nous venons de subir une violente attaque de la base, nous n'avons plus qu'un Hummer et un salamandre en état et nous ne sommes plus que cinq survivants. Pensez-vous pouvoir organiser une mission de secours.
-Négatif, colonel, nous n'avons pas assez de carburant pour venir vous chercher et le V22 non plus. Voulez-vous que l'on vous envoi des secours une fois revenu de l'autre coté.»
Après une longue hésitation, le colonel finit par donner une réponse.
«-Négatif, commandant, je ne voudrais perdre non plus l'équipe de secours, exécuter simplement l’ordre 40. Nous allons revenir par d'autres moyens dont par celui dont on vous avez fait part.
-Bien reçu, colonel , c'est vous qui voyer.
-Bien et une dernière chose.
-Oui, colonel.
-Afin de ne pas laisser n'importe qui passer le portail, vous devrez leur dire de me demander un mot de passe.
-Très bien et qu'elle est-il?»
Il demande alors au capitaine Lumens de sortir afin qu'il soit connu de lui seul. Une minute plus tard, le colonel sort à son tour du Salamandre. Tout en parlant, les deux hommes se dirigent vers les autres membres restant de l'expédition.
«-Alors mon colonel, vous compter réellement trouver cette pyramide de commande pour nous ramener chez nous.
-Tout à fait, cela nous permettra par la même occasion de continuer la mission comme prévu.
-Dites moi qu'elle est donc son fameux ordre 40 ?
-Rassembler tout le monde, Je peux maintenant vous l'expliquer.»
le capitaine Lumens sonna la pause bien mériter et tandis que le colonel leur explique en détail l'ordre 40, pendant ce temps à proximité du portail, une sorte de drone a quatre pales équipé du système de commande du portail se met à activer les trois pyramides situées plus au fond. Elles remontent à la surface, se mettent en position et le jet de lumière sortant de la pyramide de verre situé sur le dessus du drone se dirige vers la pyramide du sommet se qui activa le vortex. La passerelle passa un appel radio au Barack Obama resté de l'autre coté. Le commandant Sonart annonça la mauvaise nouvelle du déroulement de la mission mais signala tout de même nos cinq survivants. Il expliqua également qu'il ne pouvait pas les ramener à bord pour des raisons techniques et que le colonel Pendletone préférait revenir par leur propre moyen plutôt que de voir l'équipe de secours subir le même sort. Le commandant Sonart donna les détails du moyen qui va permettre au colonel Pendletone ainsi qu'au autres survivants de revenir parmi eux. Il parla bien sûr de la fameuse pyramide de commande qui semble se trouver dans les fameuses ruines Mayas. Le Barack Obama confirma alors l'ordre 40 donner par le colonel Pendletone au commandant Sonart.
Le Prospect avança donc en direction du vortex et une fois celui-ci franchi, il envoya une commande d'auto-destruction au drone. L'explosion de celui-ci rompu net le vortex des deux cotés.
Revenons du coté de nos survivants où le colonel Pendletone vient d'expliquer la procédure de l'ordre 40. Après cette pause explicative, les voici qui se remettent au travail pour terminer de creuser les tomber et enterrer tous leurs camarades. Nous sommes maintenant au milieu de l'après-midi, il ne reste plus qu'une tombe de vide celle du major Enderson en train de rendre ses dernières souffles.
«-Mon colonel, je sens que je ne vais tenir plus longtemps.
-Sa va aller, major, on est là, on vous laissera pas partir sans un adieu dans les règles.
-Alors je croix que c'est le moment pour ça, mon colonel, sa été un plaisir de servir sous vos ordres.
-Ouais, mais avant de partir, J'ai oublier de vous demander si vous avez pu voir à quoi ressemblait votre assaillant ?
-En effet mon colonel, sa aurez bête que je m'en aille sans vous donner ce renseignement. Tout ce que je peux dire c'est que... des gants en fer....une robe grise....un masque d'or, dit le major Enderson en donnait son dernier souffle.»
Voila c'est officiel, ils ne sont plus que cinq survivants.
Fin du chapitre 3.
Alors que le Colonel Pendeltone décocha un tir avec le fusil à charges hypodermiques, à la base on s'affaire à monter la grande cage en titane pour accueillir le monstre. Les voici de retour avec dans le coffre bien attaché le dragon de 5 mètres de long. Ne restant que quelques minutes au produit, le docteur Brown se dépêcha de prendre différentes mesures et analyses. L'animal fut aussitôt mis dans la cage juste après. Il semble ne pas trop apprécier la cage au début mais finit par si habituer au bout d'une heure. Le colonel ayant vu son régime alimentaire, il fut assez facile de le nourrir. Nous voici le soir dans la tente du laboratoire où se trouve le docteur Brown en train de faire ses analyses. Le dragon est la aussi. Le Colonel vient d'entrer.
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harry
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