Комиксы, манга, сообщество!

benracer85

Pour information, ce récit a été tout d'abord conçu comme scénario pour faire partit du concours Ki-ion. Mais suite à des imprévus, le manga qui devait en découler ne pouvait sortit dans les temps.
Je vous propose donc de découvrir cette histoire qui fait partit de l'univers de Cultimixus.   

Cultimixus City, An 2080, sur un toit de la ville situé en plein pacifique, une jeune femme attend patiemment en regardant sa montre digitale. Si on devait la décrire, elle avait une sorte d’écran transparent devant ces yeux qui part d'une sorte de casque audio mini de petites antennes sortant d'un angle de 45° et deux orifices à l'avant semblable à de micro-caméras. Le tout sera comme fixer sur son crane. Elle avait les yeux verts et les cheveux mi-long de couleur noirs. Pour finir elle est habiller d'une tenue noire.
Sa montre sonne, c'est l'heure d'y aller, la voilà qui saute du toit de l'immeuble et qui se rattrape a chaque barre des plate-formes de l'escalier de secours extérieur pour finalement atterrir en douceur au sol. Dans la petite rue déserte où elle se trouve, une porte en fer classique suivi d'un simple clavier digicode se dresse devant elle. Plutôt que de taper simplement sur le clavier, la voici qui sort de son bras gauche un outil pour ouvrir le clavier. On y découvre alors un système électronique plus complexe que ne laissait croire le boîtier. Elle remet son outil dans son bras gauche et sort de son bras droit un câble USB qu'elle relia a une prise caché dans cette usine à gaz composé de cartes électroniques et de fils de couleurs diverses. La porte s'ouvre et finit par laisser découvrir un petit couloir qui mène à une autre pièce fermée par une autre porte en fer. Après avoir refermer le boîtier et la porte on peut la voir passer en vision nocturne grâce à ce qu'elle porte sur la tête. Nous sommes devant la porte au fond du couloir et on pouvait entendre un bruit en provenir. Elle l'ouvrit et on découvre à présent une énorme gaine de ventilation qui tourne de manière assez rapide. La voilà qui pose sa main gauche sur le coté gauche de son casque et se met à parlez.
«-Interface, connexion avec le système de ventilation Sud.
-Reçu, connexion en cours. Refusé, vous n'êtes plus habiliter a accéder au système.
-Évidement, ça sera trop beau, passage en mode piratage.
-Reçu, mode piratage activé.»
Nous voici maintenant dans sa tête en train de pénétrer le système d'une société para-militaire du nom de 'E.F.I. Elite's Force Intervention'. Son logo en 3D est de forme ovale avec en son centre et en gros les trois lettres E, F et I ainsi que marquer en dessous, en plus petit et qui suit le tracé , Elite's Force Intervention. Le pare-feu qui protège ce système, similaire à un Rumicube, est craqué en moins de trente secondes et elle finit par accéder au commandes de contrôle de la ventilation Sud. Elle ordonne à la ventilation de se couper et en profite pour en verrouiller l’accès. Oui mais voilà son petit piratage fit sonner une alarme dans la salle informatique. L'homme qui s'occupe de surveiller l’écran prend le téléphone à coté de lui et compose un numéro. Il est assez corpulent, chauve et porte des lunettes.
Dans un grand et beau bureau avec le logo de la compagnie en arrière plan moulé d'une seule pièce et fixer au mur, ainsi qu'une pendule à aiguille juste au dessus, un homme dont on ne voit que la main répond au téléphone placer sur le bureau.
«-J'espère pour vous que c'est important.
-Monsieur, on vient d'avoir une intrusion dans le système, c'est elle c'est sa signature, il n'y a aucun doute possible.
-C'est ennuyeux, qu'a t-elle voulu faire?
-Et bien elle a tenter de pénétrer avec son ancien accès ce qui ne nous a pas inquiéter; mais le fait qu'elle est réussi à pirater le système a fait que j'ai dut vous appelez immédiatement monsieur, dit l'informaticien ennuyé.
-Je croyait que votre système était infaillible, dit l'homme au téléphone énerve et en tapant son poing sur la table.
-Vous savez aucun système n'est véritable infaillible, et puis vous aurez dut vous doutez que mon système seul n'allait pas l'arrêter, dit l'informaticien transpirent de sueur.
-Vous avez raison, il me faut à présent utiliser des méthodes plus radicales. Où est-elle?
-Oui bien sûr monsieur, elle est au niveau de la ventilation secteur sud, elle vient de la désactiver.
-Parfait réactiver la ventilation et penser a envoyer des drones dans ce secteur.
-Oui monsieur, tout de suite.»
De retour au niveau de la ventilation alors que les pales des ventilateurs sont arrêtés, la jeune femme  vient de lancer une corde et s'apprête à descendre en rappel.
Au niveau de la salle informatique, notre informaticien toujours en sueur reprend son souffle. Après avoir repris le contrôle de la ventilation, il s'arrête un moment avant de taper sur la touche finale qui relancera le système.
«-Désolé agent Alpha Bravo mais si je ne le fait pas je risque bien plus que de perdre ma place. Que le seigneur me pardonne un jour mon acte.»
l'informaticien vient d'appuyer sur la dernier touche du clavier sur laquelle il devait taper. On peut voir sur son écran que les voyant rouges sont en train de passer au vert et surtout l’animation de rotation de la ventilation se mettre à tourner.
Pendant ce temps, alors que la jeune femme continu sa descente, elle pouvait entendre la ventilation se remettre en marche. Elle accélère mais la vitesse de rotation des pales finit par couper la corde qui la retenait. Par chance, elle parvient grâce a ses pieds et à ses mains à se maintenir dans le conduit à quelques centimètres du dernier ventilateur tout en tenant le reste de la corde afin d’empêcher qu'elle ne se prenne dans les pales et l’entraîne. C'est justement la solution qu'elle choisit lorsqu'elle détacha sa ceinture. En effet alors que celle-ci s'enroule, elle finit par faire arrêter suffisamment le ventilateur pour qu'elle puisse finir le reste de sa chute. Celui-ci reprend sa rotation  au bout d’un dixième de secondes et on peut voir qu'il ne reste maintenant plus grand chose de la ceinture qui y était attaché. L'informaticien remarqua bien sûr cette courte défaillance et envoya comme prévu des drones sur ce secteur.
Le jeune femme se trouve maintenant à une croisement de trois tunnels et doit donc choisir lequel emprunter. Afin de s'y aider, elle fait appel à son ordinateur embarquer.
«-Interface, affichage du plan de la ventilation départ secteur sud intersection 1.
-Bien reçu, synchronisation pour défilement temps réel.
-Active aussi la détection de mouvements.
-Bien reçu, détection de mouvements activé.»
On pouvait voir à présent sur l'image de son casque un mouvement d'ondes régulières affichées en plus d'un plan monochrome et transparent.
«-Interface, trace mon moi le trajet le plus rapide pour accéder à la salle informatique.
-Bien reçu, prenez le tunnel de droite et ensuite tout droit sur 500 mètres.»
La voici maintenant qui s'engage dans le tunnel de droite et étant assez petit, elle est obliger de s'allonger et de ramper.
Au bout de deux minutes, alors qu'elle vient de faire environ trois cent mètres un point rouge apparaît sur son écran et une petite alarme retentit.
«-Alerte mouvements détecté à 9H, distance 300 mètres, origine non organique, identification ,Drone de surveillance SAD-100. 
-Interface, recherche itinéraire secondaire.
-Bien reçu, faites demi-tour. Alerte nouveau mouvement détecté a 6h, distance 600 mètres, identification, identique au précédent .
-Je vois il a envoyer des drones semi-autonomes pour me trouver. Pas le choix je vais devoir emprunter les couloirs; mais avant je vais devoir dissimuler ma présence à ces deux capteurs d'ennuis.»
La voici qui accélère le mouvement pour atteindre la bouche de ventilation juste devant, il ne lui reste plus beaucoup de temps et quelques secondes avant que les drones arrivent dans sa zone de vision, elle sortit des conduits d'évacuation pour atterrir dans un couloir bétonné comme similaire à une base militaire enterrée.
«-Ouf ils ne m'ont pas vu. Bon j'ai beau bien connaître la base c'est par autant que j'en connaisse bien le système de ventilation. Interface supprime l'itinéraire mais reste en mode vigilance.
-Bien reçu, itinéraire supprimé. Alerte nouveaux mouvements détectés en approche rapide, origine non biologique, identification, Drone de patrouille PAD-909.
-Hum. j'ai aurai préférer le modèle en dessous mais il met tout en œuvre pour m'arrêter. Par chance ce modèle est sourd comme un pot.»     
Au vue de la configuration du couloir, elle couru vers une des portes et s'y enfermât. Trente secondes plus tard, Le fameux drone de couleur gris finit par arriver en marche rapide. On pouvait voir qu'il est bipède et qu'il possède une sorte de petite tourelle mini d'une caméra en son centre.
Le voici arrêter devant la bouche d'aération ouverte et entamant une sorte de scan des lieux à l'aide d'une sorte de laser. Le bruit distinctif du scan fait que la jeune femme en profite pour sortir de la pièce d'où elle était et filer en douce. Ce n’était sans compter sur le drone qui finit par se retourner et à la surprendre.
«-Halte, pas bouger, dit le drone.»
Tandis que la jeune femme s'immobilise les mains en l'air, l’œil du drone passe au rouge et la tourelle se soulève légèrement.
«-Intrus, veillez me suivre sans faire d'histoires.
-Désolé mais ceci n'est pas dans mes plans.»
Rapidement la jeune femme se retourne et fonce vers le drone. Celui-ci se met alors à tirer.
«-J'ai dit pas bouger, dit-il tout en tirant.»
Ses mouvements extrêmement rapides lui permettent non seulement d'esquiver chaque balle tiré par le drone mais en plus de lui donner un coup fatal. Celui-ci endommagé avec des pièces manquantes et des étincelles sortant d'un peu partout continue encore de croire qu'il est encore à même de l'arrêter.
«-J'ai, dit, pas, bouger...»
Le drone n'est maintenant plus en état de faire quoi que se soit et puis surtout ces coup de feux ont du en attirer d'autres dans le secteur. S’apprêtant à cette éventualité, de sa cuisse droite sort une sorte de holster portant une arme de petit calibre qui se déploie. Elle bouge la culasse pour enclencher la première balle et voici les autres drone du même type qui s’amènent. Dans un grand mouvement de gymnastique et de tirs croisés, non seulement elle esquive leurs balles mais les met également hors d'état de nuire. Elle continue de courir a travers les couloirs tout en mettant les drones qu'elle rencontre en pièces détachées. La voici devant la porte de la salle informatique qu'elle enfonce d'un selle coup de pied. On pouvait voir que cette salle était grande et comportaient pas mal d'armoires de serveurs. L'informaticien ayant entendu la porte se brisa partit se cacher dans ce dédale où circule bon nombres d'informations. Cette partie de cache cache se termina vite et surtout pas en faveur de notre informaticien.
«-Bonjour Clid.
-Mademoiselle, heu je veux dire Agent Alpha Bravo, quel bon vent vous emmène?
-Tu sais très bien la raison de ma présence, où est-il, demande t-elle tout en le soulevant avec une grande facilité.
-Et bien il est dans son bureau, je veux dire le bureau de votre père, il fait qui rester. Dit-il les yeux fermés.»
La jeune femme le relâche et l'homme finit par rouvrir les yeux.
«-Vous ne me faites rien, demanda-t-il surpris.
-Mon cher Clid, vous êtes bien trop lâche pour faire partie intégrante de cette machination. Par contre avant d'aller le voir j'ai besoin de faire quelques manipulations à partir de votre moniteur.
-Vous savez que je ne peux pas vous laisser.
-Et en pointant mon arme sur vous?
-D'accord, très bien je vous laisse faire ce que vous voulez, dit-il en s’éloignant le plus possible de l'arme pointez sur lui.
-Merci Clid, je vous conseille de filer pour sortir d'ici le plus vite possible.
-Vous n'allez quand même pas faire ce que je pense.
-Exactement Clid, il est temps de mettre fin définitivement à tous ça.»
On pouvait voir sur l’écran qu'elle en train de modifier certains paramètres du générateur qui alimente la base.
«-Il a déjà fait assez de mal comme ça et ce que mon père a mis des années à construire n'est plus, je ne doit rien lui laisser, dit-elle en y laissant quelques larmes. Aller filez.
-Je ne peux pas sortir d'ici, il me tuerai.
-Soit rester, mais je vous prévient vous n’aurez jamais assez de temps pour parvenir à reprendre le contrôle et dans le cas contraire, je vous tue de mes propres, alors a vous de voir.»
l'agent Alpha Bravo s’éloigne du moniteur et laisse donc Clid pris d'un sérieux dilemme qui le tourmente.
Dans le couloir qui mène au bureau de la personne à qui elle doit sa venue ici, Elle tombe de nouveau né à né avec des drones qui gardent l’accès à ce fameux bureau; plutôt que de jouer de son arme à feu décide de jouer avec des armes blanches. Pour cela deux katanas se mettent sortit de son dos au niveau de ses omoplates.
Elle l'est emmanches et découpe en morceaux les drones tout en esquivant leur tir. La voici maintenant devant le fameux bureau. Elle range ses katanas et alors qu'elle s’apprête a enfoncer la double porte, celle-ci s'ouvre de manière inattendue. Là, une voix d'homme l'interpelle.
«-Entrée agent Alpha Bravo, je vous attendait.»
Elle entre dans la pièce et baisa sa garde. Ce qu'elle regretta pas la suite car la double porte se ferma aussitôt et s'en suit ensuite une embuscade puisqu’elle est à présent entouré par des véritables robots armées jusqu’au dents. La situation étant trop risqué pour répliquer, elle décide de se laisser capturer.
«-Vous ne croyez toute de même pas, que je sera ici sans une bonne protection, ces robots m'ont coûtez une petite fortune; payer par la société de votre père, bien entendu. Allons approcher mais n'oublier pas que si vous tentez quoi que se soit ils seront pour là pour faire entendre raison.
-Aller, avancer, dit un des robots.»
Empoigner par les robots qui l’escortent, la jeune femme est obliger de s’asseoir sur la chaise situé devant le bureau. De plus les robots la maintienne sur la chaise pour ne pas qu'elle s’échappe.
«-Vous savez, je me demandait en combien de temps vous alliez mettre pour venir à ma rencontre, dit-il d'un air narquois tout en rigolant.
-Vous êtes une véritable ordure, Ethan.
-Non, je sera plutôt un visionnaire. D'ailleurs tant que j'y pense comment va se cher Agent Écho Roméo ou plutôt devrais-je dire, Erwan?»
La jeune femme sur le coup de la colère tente de se lever mais est retenu de force par les robots.
«-A oui c'est vrai il n'est plus là pour nous en parler, dommage un si bon agent, mais que voulez-vous, lorsque l'on fouille dans mes affaires, je préfère me salir les mains moi-même.
-Mon père a créer cette agence pour éviter les guerres et non pour les créer, il avait confiance en vous et vous l'avez trahi.
-Je n'est fait que prendre les devants, car après tout, ce n'est que le business.
-Moi ce que je me demande, c'est pourquoi je n'est croisé personne?
-C'est très simple, je l'est tout simplement renvoyer chez eux. Il ne fallait pas d'hommes qui désobéissent aux ordres.»
Elle se calme un instant et hausse la tête pour regarder l'heure sur la pendule au dessus du bureau.
«-Dites moi Ethan, vous savez l'heure qui l'est?
-Bien sur, comme vous pouvez le voir il est 11 moins une pourquoi?
-Vous savez, Ethan, les gens comme vous commettent des erreurs, et vous aller assister à la première.»
11h sonne sur la montre de la jeune femme tout comme afficher également sur la pendule du bureau et un étrange événement se produit. Toutes les lumières s'éteignent et l’éclairage de secours s'active. En plus de cela les robots qui la maintienne sont à présent paralyser et une alarme de danger retentit.
«-Alerte, ceci n'est pas un exercice, Instabilité du réacteur, implosion dans moins de 10 minutes.» Elle en profite pour se défaire de ses liens en arrachant les bras qui la retenaient. L'homme en costume furieux constate qu'il va devoir se battre.
«-Vous m'obliger vraiment à en venir là mademoiselle Pendletone, dans ce cas laisser vous monter ma véritable forme.»
L'homme entame alors une transformation de son apparence physique. Sa peau blanche devient bleue mais surtout il gagne en musculature jusqu’à presque ressembler a un athlète pour un concours de Mister univers. Surpris par cette transformation, la jeune femme ne réagit pas de suite et le fameux Ethan en profite pour prendre le bureau et lui jeter. Elle esquive et c'est maintenant un combat au corps à corps qui s'engage. Tandis qu'en fond sonore on entendait l'alarme indiquant un compte à rebours, nos combattants se battent sans qu'il n'y vraiment de vainqueur. Néanmoins l'homme finit par l'attraper et à lui arracher ce qu'elle a sur la tête. La jeune femme est alors lancer violemment sur le sol.
«-Comparé a vous, nous les proteusiens, nous n'avons pas besoin de nous installer des implants pour augmenter nos capacités physiques. Et vu ton état tu n'est plus à même de me combattre, dommage j’aurai voulu que tu résiste plus longtemps, dit-il en l'attrapant par les cheveux.»
Oui mais voilà trop occupé à rire de la situation et ayant les bras le long du corps, la jeune femme en profite pour sortit l'arme du holster situer dans sa cuisse gauche.
«-Quoi, dit l'homme surpris.
-Erreur numéro 2, ne jamais sous-estimer la capacité d'un corps cybernétique.»
Elle tire une balle et blesse l'homme qui se me à faire couler du sang vert et à la lâcher.
Il pose la main sur sa blessure pour constater les dégâts.
«-Tu m'a bien eu mais tu crois qu'une simple balle peut me m'arrêter.»
L'homme fonce sur la jeune femme qui se met tirer tout ce qu'elle pouvait.
Criblé de balles, l'homme finit par tomber à terre juste devant elle.
«-Pitoyable, tu sais, d'ici quelques minutes je vais me relever de mes blessures et là tu ne pourra plus rien contre moi.
-Sauf si je t’achève avant.
-C'est impossible tu viens de vider tout ton chargeur sur moi, dit-il en rigolant.
-Alors dit moi ce qu'est ceci, dit-elle en montrant une balle.
-Quoi mais d'où vient-elle?
-D'une personne à qui je tenais énormément et qui a utiliser son dernier souffle pour me la donner, la seule balle qui serrai capable de te tuer, dit-elle en la chargeant.
-Non c'est pas vrai il avait avec lui depuis tout ce temps, répondit l'homme contrarié.
-Le condamnée a t-il une dernière parole a prononcer, demande-t-elle en chargeant la balle dans le canon.
-Abelina Pendletone aller vous faire...
-De la part, d'Erwan.»
la jeune femme vient de tirer la fameuse balle dans la tête de l'homme à terre. Au vue de son regard vide, on peut dire qu'il est on ne plus mort.
Le retour à la réalité fut brutal lorsque l'alarme annonça un compte à rebours restreint.
«-Alerte, ceci n'est pas un exercice, Instabilité du réacteur, implosion dans moins de deux minutes.»
la jeune femme se alors à courir à travers les couloirs et finit par atteindre la zone des garages situé dans une immense parking souterrain. Elle enfourche une moto qui se trouvait là et c'est que les premières explosions commencent. Pour remontez à la surface au plus vite, la moto empruntent une sorte d'accès de service qui est un anneau circulaire de parking souterrain; le tout poursuivit par une série d'explosions. Pendant ce temps dans la salle informatique, on pouvait voir un plan de Clid l'informaticien s'était donner la mort et le compte à rebours qui défile. La moto approche de la surface et on peut voir que derrière un sas d'acier lourd se levant, l'anneau circulaire donne accès à l’intérieur d'un entrepôt désert. A la sortie, la moto va si vite qu'elle fait un léger saut.
Des jets de flammes sortent de là d'où elle vient, la jeune femme continu sur sa lancée et fonce vers la porte fermé de l’entrepôt qu'elle perce.  Elle atterris dans une rue avec une légère circulation et s'engage entre quelques voitures qui passaient par là. D'un coup on peut voir sur un plan large, l’entrepôt qui s’écroule sur lui même, ce qui vit également la jeune femme en regardant dans son rétroviseur droit. La voilà qui s'engage sur une voie rapide et commence à penser aux conséquences de ces actes.
«-Voila c'est fini, l'E.F.I. n'est plus et plus personne ne pourra la prendre. Je doit avouer que même si j'ai pu venger la mort d'Erwan en le tuant de mes propres mains, j'ai le sentiment que cela ne servirai à rien si à présent je n'utilise mes talents pour aider ceux qui sont dans le besoin. Le crime est bien trop important dans cette ville pour la Police seule quand elle-même n'est pas corrompu. Erwan, toi qui me regarde de là-haut, j'ai décider de donner un nouveau sens à mon existence, je serai le couteau de la justice qui sévit dans la nuit, je serai Night Knifer.»